Alors le roi des chats s’adressa à ses sujets en ces termes :
« Allez de par le monde, côtoyez l’humain, et que chacun d’entre vous goûte et aime un aliment des hommes, afin que nous les connaissions tous. Et si on ne vous offre pas spontanément ces nourritures, chapardez sans honte. »
Et c’est ainsi que j’ai eu : le chat qui aime la salade assaisonnée ; le chat qui mange les olives ; la chatte que les petits beurres rend dingue.