Aujourd’hui, Solène-je-ne-sais-pas-quoi m’a écrit pour me demander si je voulais renouveler le mobilier de Paris 8.
Je n’ai pas osé aller voir le site, de peur de presser par inadvertance sur un bouton « commande en un clic » qui m’obligerait à payer cinq cent tables et trois mille chaises.
Tu n’a as fait suivre le mail à la direction de l’université (ou à quiconque tient le carnet de chèque) ?
ah non, c’eût été la bonne idée.