Si je peux me permettre, j’ajouterais volontiers à cette liste:
La bombe, Peter Watkins, 1965
Le jour d’après, Nicholas Meyer, 1983
Malevil, Christian De Chalonge, 1981
Waterworld, Kevin Reynolds, 1995
Le bunker de la dernière rafale, Caro & Jeunet, 1981
Planète hurlante, Christian Duguay, 1996
Le dernier combat, Luc Besson, 1983
Terminus, Pierre-William Glenn, 1987
@sf : mais c’est assez intéressant ces histoires de fins du monde évitées, très présomptueux, « on s’en sortira toujours ». Dans le genre j’ai bien aimé Sunshine, où le problème (rallumer le Soleil !) est réglé, mais dont les héros ne reviennent pas.
Ça ne rentre pas forcément dans les catégories habituelles de fins du monde (qui parlent plutôt de la fin des civilisations humaines, généralement) mais dans le film « Nothing » (Vincenzo Natali, 2003), deux personnages découvrent que le monde a littéralement disparu du jour au lendemain, ne laissant qu’un espace blanc qui s’étend à perte de vue.
je ne l’ai pas vu, mais « Les derniers jours du monde » des excellents frères Larrieu, traite aussi de ce sujet…
et sinon, Follamour, tu es certain que ça prend 2 L ?
et sinon, un de mes profs de ciné prétendait que le fondu enchaîné au début du « Septième sceau », c’était l’ellipse la plus longue du cinéma : un fondu entre le début et la fin du monde… à toi de voir, mais ça doit pouvoir se défendre…
Deux films de Konstantin Lopushansky (qui fut l’assistant de Andrei Tarkovsky sur Stalker) :
– Dead Man’s Letters (Lettres d’un homme mort – 1986) http://en.wikipedia.org/wiki/Dead_Man's_Letters
– Visitor of a Museum (Le Visiteur du musée – 1989) cineaenima.blogspot.com + http://goo.gl/bd3ZD
Le premier m’a beaucoup marqué et je n’ai malheureusement pas eu l’occasion de voir le second.
Ceci dit doit-on mettre dans le même sac les films de fin du monde (avec explosion de la terre ou a minima extinction de la race humaine) avec les films post-apocalyptiques, qui sont nettement plus nombreux.
après effectivement il y a tous les films de zombies à peu près, avec les Romero, ceux de Danny Boyle et Cie. ou encore la série The Walking Dead.
et enfin aussi, un jeu nommé I Am Alive, peut-être un vaporware (?), annoncé en 2008, ayant des airs de Je suis une légende : http://www.youtube.com/watch?v=HZ6Aely9YrQ
ou encore S.O.S. The Final Escape, encore un peu méconnu du grand public malgré ses suites.
Parler de « Je suis une légende » sans faire mention de l’original au cinéma « Le survivant » de Boris Sagal avec Charlton Heston… Je suis déception =(
La bédé When the Wind Blows de Raymond Briggs a été adaptée au cinéma en 1986 par Jimmy Murakami. Je n’ai pas encore eu l’occasion de lire la bédé, mais il me semble que l’histoire est la même (un couple de retraités anglais face à l’holocauste nucléaire, devinez qui gagne à la fin) et ce film m’a fichu un sacré choc quand je l’ai vu pour la première fois : le contraste entre l’animation toute ronde et toute douce et ce qui se passe à l’écran est terrible. Il n’y a que la bande originale qui ne colle pas trop (David Bowie et Genesis en 1986… hrm).
@Ælfgar : la bande dessinée est assez étrange, au crayon de couleur, toute ronde et douce effectivement, venant d’un pays qui a une tradition limitée (en volume en tout cas) de la bande dessinée… Et c’est vraiment pas mal. Je suis tombé dessus par hasard et j’ai plutôt aimé.
Je me sens idiot : il y en a un exemplaire à la bibliothèque de mon département à la fac. Ça va être mon petit plaisir bouche-trou d’entre-cours de demain matin, je sens.
Bonne nouvelle, »4:44 Last day on earth » d’Abel Ferrara sort en France juste avant la fin du monde : le film sera en salles le mercredi 19 décembre sous le titre « 4h44 Dernier jour sur terre ».
Toutes les infos sont sur Facebook : http://www.facebook.com/pages/4h44-Dernier-jour-sur-terre/
Je propose « Holocauste 2000 », super nanar avec Kirk Douglas, que j’ai vu à 12 ans en cachette de mes parents, très sévères quant aux activités culturelles autorisées (musique, livres, bédé, cinéma, tévé… tout était soigneusement sélectionné) : un copain de collège m’avait prêté la cassette (Oui, oui ! En ce temps-là, on utilisait des cassettes).
Inoubliable pour le gamin que j’étais alors, persuadé d’avoir vu chef d’œuvre du film fantastique. Parfaitement oubliable pour le reste de l’humanité, et parfaitement oublié d’ailleurs !
Dans un registre apparemment peu spectaculaire, une fin de l’humanité causée par une épidémie qui détruit progressivement les cinq sens. Sujet très intéressant :
Perfect Sense de David Mackenzie 2012
Si je peux me permettre, j’ajouterais volontiers à cette liste:
La bombe, Peter Watkins, 1965
Le jour d’après, Nicholas Meyer, 1983
Malevil, Christian De Chalonge, 1981
Waterworld, Kevin Reynolds, 1995
Le bunker de la dernière rafale, Caro & Jeunet, 1981
Planète hurlante, Christian Duguay, 1996
Le dernier combat, Luc Besson, 1983
Terminus, Pierre-William Glenn, 1987
Ajouté ! Merci. Je ne connais pas Planète Hurlante ni Terminus.
Bonjour,
Dans un registre plus intime mais tout aussi fin du monde, Melancholia de Lars von Trier, c’est pas mal 🙂
Bien sûr !
Terminus le sous madmax avec Johnny Hallyday, erf.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Virus_%28film,_1980%29
Celui-ci m’avait marqué, je ne sais plus pourquoi.
« New York ne répond plus » de je ne sais plus qui, avec Yul Brynner.
« Dawn of the Dead » de Romero
Et la planète des singes, 1968, Franklin J. Schaffner
Je suis une légende, Francis Lawrence, 2007
Menace de fins du monde with happy end (abstraction faite de la qualité scénaristique):
Fusion, 2003
Deep Impact, 1998
Armageddon, 1998
@sf : mais c’est assez intéressant ces histoires de fins du monde évitées, très présomptueux, « on s’en sortira toujours ». Dans le genre j’ai bien aimé Sunshine, où le problème (rallumer le Soleil !) est réglé, mais dont les héros ne reviennent pas.
Les autres films de zombies de Romero aussi, pendant que j’y pense, Day of the Dead, Land of the Dead…
Ça ne rentre pas forcément dans les catégories habituelles de fins du monde (qui parlent plutôt de la fin des civilisations humaines, généralement) mais dans le film « Nothing » (Vincenzo Natali, 2003), deux personnages découvrent que le monde a littéralement disparu du jour au lendemain, ne laissant qu’un espace blanc qui s’étend à perte de vue.
La Fin du monde – 1930 – Abel Gance
http://www.animalattack.info/wordpress/la-fin-du-monde
@Benoît : ajouté !
je ne l’ai pas vu, mais « Les derniers jours du monde » des excellents frères Larrieu, traite aussi de ce sujet…
et sinon, Follamour, tu es certain que ça prend 2 L ?
@Annie : merci pour la référence. Sinon Folamour prend un seul L tu as raison.
Et ça passe en ce moment sur canalsat…
J’ai acheté le DVD, je vais essayer de trouve un moment pour le voir.
et sinon, un de mes profs de ciné prétendait que le fondu enchaîné au début du « Septième sceau », c’était l’ellipse la plus longue du cinéma : un fondu entre le début et la fin du monde… à toi de voir, mais ça doit pouvoir se défendre…
Je le re-regarderai avec cette théorie en tête
Last Night de Don McKellar (1998) avec David Cronenberg dans le rôle de l’employé du gaz perfectionniste !
http://www.imdb.com/title/tt0156729/
Deux films de Konstantin Lopushansky (qui fut l’assistant de Andrei Tarkovsky sur Stalker) :
– Dead Man’s Letters (Lettres d’un homme mort – 1986)
http://en.wikipedia.org/wiki/Dead_Man's_Letters
– Visitor of a Museum (Le Visiteur du musée – 1989)
cineaenima.blogspot.com + http://goo.gl/bd3ZD
Le premier m’a beaucoup marqué et je n’ai malheureusement pas eu l’occasion de voir le second.
Kaboom de Gregg Araki.
Ceci dit doit-on mettre dans le même sac les films de fin du monde (avec explosion de la terre ou a minima extinction de la race humaine) avec les films post-apocalyptiques, qui sont nettement plus nombreux.
@lplp : ce sont des thèmes voisins, j’essaie d’explorer dans tous les sens…
Mais ceci dit Kaboom rentre bien dans la catégorie des fins du monde et non post-apocalyptiques (mais il faut attendre le dernier 1/4 d’heure…)
+1 > « Kaïro » de Kiyoshi Kurosawa
http://en.wikipedia.org/wiki/Kairo_%28film%29
Phase IV, peut-être ? (mais je ne l’ai pas vu)
@Wood : ouais ! Je l’ai vu mais il y a carrément longtemps.
The Mist.
Les nouveaux barbares.
Cassern.
Clash of the War Lords.
Zardoz.
Rage.
Super cette liste soit dit en passant !
genre apocalyptique :
Prédictions, 2009, d’ A. Proyas avec Nicolas Cage.
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=59827.html
thx pour ce blog 😉
@darkM : je l’ai vu et je l’ai complètement oublié 🙂
On peut trouver d’intéressantes suggestions en cherchant « postnuke » sur My Duck Is Dead :
http://www.myduckisdead.com/search?q=postnuke
Notamment « Sins of the Fleshapoids » (Mike Kushar – 1965) : http://www.myduckisdead.com/2010/08/sins-of-fleshapoids-1965-mike-kuchar.html
Mais aussi pas mal de sous-Mad Max italiens parfois mâtinés d’un peu d’Escape from New York (Les Guerriers du Bronx d’Enzo G Castellari)…
Donnie Darko et la fin du monde programmée.
après effectivement il y a tous les films de zombies à peu près, avec les Romero, ceux de Danny Boyle et Cie. ou encore la série The Walking Dead.
et enfin aussi, un jeu nommé I Am Alive, peut-être un vaporware (?), annoncé en 2008, ayant des airs de Je suis une légende : http://www.youtube.com/watch?v=HZ6Aely9YrQ
ou encore S.O.S. The Final Escape, encore un peu méconnu du grand public malgré ses suites.
Parler de « Je suis une légende » sans faire mention de l’original au cinéma « Le survivant » de Boris Sagal avec Charlton Heston… Je suis déception =(
Mais si il y est : The Omega Man. Et ce n’est pas l’original, qui est en fait L’Ultimo uomo della terra (1964).
La nouvele série produite par Spielberg : « Terra Nova »
@jj : la bande-annonce aperçue sur Canal m’intrigue
La bédé When the Wind Blows de Raymond Briggs a été adaptée au cinéma en 1986 par Jimmy Murakami. Je n’ai pas encore eu l’occasion de lire la bédé, mais il me semble que l’histoire est la même (un couple de retraités anglais face à l’holocauste nucléaire, devinez qui gagne à la fin) et ce film m’a fichu un sacré choc quand je l’ai vu pour la première fois : le contraste entre l’animation toute ronde et toute douce et ce qui se passe à l’écran est terrible. Il n’y a que la bande originale qui ne colle pas trop (David Bowie et Genesis en 1986… hrm).
@Ælfgar : la bande dessinée est assez étrange, au crayon de couleur, toute ronde et douce effectivement, venant d’un pays qui a une tradition limitée (en volume en tout cas) de la bande dessinée… Et c’est vraiment pas mal. Je suis tombé dessus par hasard et j’ai plutôt aimé.
Je me sens idiot : il y en a un exemplaire à la bibliothèque de mon département à la fac. Ça va être mon petit plaisir bouche-trou d’entre-cours de demain matin, je sens.
Bonne nouvelle, »4:44 Last day on earth » d’Abel Ferrara sort en France juste avant la fin du monde : le film sera en salles le mercredi 19 décembre sous le titre « 4h44 Dernier jour sur terre ».
Toutes les infos sont sur Facebook :
http://www.facebook.com/pages/4h44-Dernier-jour-sur-terre/
vous m’invitez à l’avant-première ? (je plaisante, je doute d’avoir le temps)
un autre film apocalyptique : « le sacrifice » de andrei tarkovsky (attention film long et lent, mais bien si on se laisse embarquer dans l’histoire).
@denis : du Tarkovsky long et lent ? Ce serait bien la première fois ! 😉
Hrem
tiens jean, un peu de tarkovsky pour toi, cet extrait est super, je trouve :
http://www.youtube.com/watch?v=k0stXu60iVE
Je propose « Holocauste 2000 », super nanar avec Kirk Douglas, que j’ai vu à 12 ans en cachette de mes parents, très sévères quant aux activités culturelles autorisées (musique, livres, bédé, cinéma, tévé… tout était soigneusement sélectionné) : un copain de collège m’avait prêté la cassette (Oui, oui ! En ce temps-là, on utilisait des cassettes).
Inoubliable pour le gamin que j’étais alors, persuadé d’avoir vu chef d’œuvre du film fantastique. Parfaitement oubliable pour le reste de l’humanité, et parfaitement oublié d’ailleurs !
Dans un registre apparemment peu spectaculaire, une fin de l’humanité causée par une épidémie qui détruit progressivement les cinq sens. Sujet très intéressant :
Perfect Sense de David Mackenzie 2012
Bonjour, belle liste !
J’y ajoute « la cinquième saison » de Peter Brosens et Jessica Hope Woodworth, 2013
Film belge d’auteur, pré et post effondrement