
Par l’immense Gary Larson, bien entendu.
Date inconnue. Les références au jeu jeu Super Mario Bros situent le dessin après 1985. La console fait penser à la NES (1985-1995). Le gag situe implicitement l’âge adulte de l’enfant en 2005.
Par l’immense Gary Larson, bien entendu.
Date inconnue. Les références au jeu jeu Super Mario Bros situent le dessin après 1985. La console fait penser à la NES (1985-1995). Le gag situe implicitement l’âge adulte de l’enfant en 2005.
Le LLM français « Lucie » a été rendu public avant d’être suffisamment testé, ce qui lui a fait fournir des réponses amusantes comme le faisait chatGPT à son lancement. Mais ce n’est peut-être pas son seul ni son pire problème !
Contrairement à Claude.ai, qui utilise un prénom épicène (quoiqu’on sache qu’il est une référence à Claude Shannon), et à l’instar d’Alexa, Siri, Tay, et d’autres, l’IA conversationnelle d’openLLM se (pré-)nomme Lucie…
Le visuel enfonce le clou, avec un visage de jeune femme blonde coiffée et maquillée à la manière (le drapeau renforce cette idée) d’une concurrente au titre de Miss France, de mannequin de salon de coiffure, ou d’influenceuse identitaire rêvée par des incels — et évidemment blonde aux yeux bleus. Le tout plein de pixels qui disent « c’est numérique ! ». L’imaginaire déployé ici n’est pas d’une grande richesse.
Le logo rappelle (et ça n’est finalement pas le pire dans ce visuel) les Mariannes en timbre-poste. La référence est apparemment le film Lucy1 : deux heures de Luc Besson pour transformer Scarlett Johansson en clef USB, quel modèle étrange !
Ici, la personne en charge de l’article a copié-collé la reformulation par chatGPT… sans même la lire !