Profitez-en, après celui là c'est fini

Comment je suis revenu sur Twitter

février 21st, 2015 Posted in Lecture, Personnel

ina_global_4gInA Global publie dans son numéro quatre, qui vient de sortir1, un article dans lequel j’explique les raisons de mon départ de Twitter. Pourtant, avant même la publication de la revue, j’étais déjà retourné sur le réseau de micro-blogging, n’ayant réussi à m’en tenir éloigné que quarante-huit jours — j’ai compté. Je crois que le fait même d’écrire cet article pour expliquer mon départ fait partie des raisons qui m’ont ramené à Twitter, puisque, en me remémorant les années que j’y ai passé, je raconte tout ce que j’en ai tiré, et donc, tout ce que j’abandonnais en m’en allant.
À l’origine, ma résolution était pourtant ferme, je comptais bien m’en aller pour de bon, lassé par le climat électrique qui entoure certains sujets et finit par provoquer des ruptures entre personnes qui s’accordent pourtant sur à peu près tout, sinon un point de vocabulaire négligeable ou l’analyse d’une situation.
De temps en temps, pourtant, je m’identifiais par automatisme sur Twitter, et ce réflexe malheureux réactivait aussitôt mon compte pour trente jours, me forçant à le détruire à nouveau. Passé un mois, j’ai créé un nouveau compte, destiné à annoncer les articles publiés sur mes blogs. Et puis j’ai fini par me dire que mon retour n’était qu’une question de jours, je n’y tenais plus. De temps en temps, en pleine nuit, je revenais le temps de poster une image énigmatique et puis je repartais comme un voleur. Je ne me demandez pas de vous expliquer pourquoi, je n’en sais rien moi-même. Enfin, j’ai fini par décider de revenir pour de bon. Au cours du mois et demi précédent, j’avais pourtant ennuyé le monde entier sur le sujet, à coup d’articles justifiant mes positions — ce que je continue en ce moment même, d’ailleurs. Un peu narcissique, tout ça.

  1. Ina Global, publié par l’Institut National de l’Audiovisuel, est un « mook » (magazine/book) que l’on peut acheter en librairie, ou en ligne. Ce trimestriel se donne pour but d’observer les mutations des médias. Ce numéro quatre contient notamment des articles, sans doute (je ne les ai pas encore lus) bien moins anecdotiques que le mien, par Jean-Marc Manach, Antonio A. Casilli, Louise Merzeau, Bruno Patino, Armand Mattelart, André Vitalis,… []
  1. 194 Responses to “Comment je suis revenu sur Twitter”

  2. By Typhon on Fév 21, 2015

    On ne se débarrasse pas d’une telle drogue si facilement. Le type qui inventera un patch contre Twitter fera fortune.

  3. By Jean-no on Fév 21, 2015

    @Typhon : mais quand le patch existera, voudrai-je l’utiliser ? Pas sûr.

  4. By MathGon on Fév 21, 2015

    On a le comment, il va falloir se procurer InA Global pour comprendre le pourquoi. Joli coup de poub pour un mag sont je ne connaissais pas l’existence ;)

  5. By Jean-no on Fév 21, 2015

    @MathGon : note que c’est une revue qu’on se procure en librairie, et non en kiosque a priori.

  6. By Karl-Groucho D. on Fév 21, 2015

    Moins « hard » que touitte-chose et fesse-bouc :

    http://seenthis.net/

    http://seenthis.net/all

  7. By Jean-no on Fév 21, 2015

    @Karl Groucho : à vrai dire je me suis inscrit sur Seenthis il y a quatre ans, mais je l’ai quitté il y a quelques mois. C’est un réseau social bien fréquenté, pas assez intrusif pour avoir du succès, mais de bonne tenue.

  8. By Solveig on Fév 21, 2015

    J’étais curieuse de voir le sommaire du numéro, et… impossible sur le site. L’option de feuilletage ne fonctionne pas pour moi. Pas très accessible, tout ça… si tu veux faire des retours et suggérer de mettre le sommaire quelque part sur le site, je t’en remercie :)

  9. By Jean-no on Fév 22, 2015

    @Solveig : c’est du Flash. Si tu as un iPhone ou un iPad, ça risque de ne pas fonctionner.

  10. By Menestrel on Fév 22, 2015

     » un peu narcissique tout ça » ! lol! Ou tu vas chercher cela! Voyons! Tu as combien d’outils ( blogs…) pour faire connaître au monde tes collections?

    Tu ne pourrais pas nous ressortir ta définition de « narcissique » pour démontrer que tu ne l’ais pas?

  11. By Jean-no on Fév 22, 2015

    @Menestrel : Alors en fait, quand quelqu’un admet un défaut et se moque de lui-même, ça ne sert à rien d’enfoncer le clou. C’est lourd. Enfin j’imagine que c’est ça, l’esprit Créap*le…

  12. By Menestrel on Fév 22, 2015

    C’est bien de l’admettre. Mon commentaire c’est sur le  » un peu » lol.

  13. By Jean-no on Fév 22, 2015

    @Menestrel : C’est ce qu’on nomme un euphémisme. C’est un question littéraire et stylistique. Mais une fois qu’on le dit, ça devient lourd.
    C’est marrant, c’est moi qui n’ai pas le bac, mais c’est vous qui ne comprenez ni ce que vous lisez ni peut-être ce que vous écrivez.

  14. By Menestrel on Fév 22, 2015

    OK! Merci de la leçon, j’ai compris. Tu es narcissique et c’est du lourd. Mais toi seul peu le dire.Tu ne permets pas à d’autres de le qualifier de manière différente. le présenter léger mais sous-entendre qu’il est lourd, c’est ce que tu permets!

  15. By Jean-no on Fév 22, 2015

    @Menestrel : quand est-ce que je n’ai pas permis quelque chose ? Je te fais juste remarqué que tu es pesant, à plus d’un titre.
    J’avoue que je suis toujours curieux de comprendre ton envie constante (peu fructueuse, il faut le dire : ce qui est anonyme ne vient de personne) d’insulter, de rabaisser, peut-être même de faire mal : tu déteste les profs, les fonctionnaires, les artistes, les gens qui font ceci ou cela, etc., etc., ça fait une décennie que tu traînes cette rancœur sur des forums ou sur les blogs d’untel et untel, mais tu n’arrives jamais à dire pourquoi. Je comprends que tu n’aies pas envie de t’exposer, et ne le fais pas, mais tu devrais essayer de te demander à toi-même d’où vient ton besoin d’insulter. Est-ce que tu te sens victime d’une injustice ? Est-ce que tu souffres du manque de reconnaissance de ton école (dont les profs préfèrent éviter de dire qu’ils y enseignent !) ?
    C’est quoi, le problème ?

  16. By Menestrel on Fév 22, 2015

    Tu admets être narcissique. Mais tu souhaites que cela soit dit à la manière que cela te convient. Tu ne remarques pas l’humour de ta manière?

  17. By Jean-no on Fév 22, 2015

    @Menestrel : je dis ce que je veux à la manière qui me convient, puisque c’est moi qui m’exprime.
    Je remarque qu’une fois de plus tu esquives le fond : pourquoi cette aigreur ? Qu’est-ce qu’on peut faire pour toi ?

  18. By Menestrel on Fév 22, 2015

    C’est toi qui a décidé une aigreur supposée. Et tu y crois !. Mais je suis un campeur sur ton blog ( pour reprendre l’expression un de tes anciens étudiants). Je dirais que je suis un immigré sans papier sur ton blog. De toute évidence, c’est différent de tes groopies habituels. J’ai remarqué que seuls ceux-ci restent. Comme dans tous les blogs communautaires.
    Autrement je suis très comme tout le monde!  » j’aime pas  » les fonctionnaires. « j’aime pas les profs », « j’aime pas » les artistes etc… La beaufitude franchouillarde n’est pas vraiment une aigreur! Mais c’est certainement ce qui vous dérange le plus n’est-ce pas? Un peu comme l’usage du « lolo »!

    PS Oui, tu écris comme tu l’entends. Mais le narcissisme qui va jusqu »à la manière de se flatter de sa propre définition du narcissisme soft. Plaisant.

  19. By Jean-no on Fév 22, 2015

    @Menestrel : on ne peut pas être acharné à pourrir les commentaires de blogs avec cette régularité sans raison, je n’y crois pas une seconde. Si j’ai bien compris les indices laissés en dix ans de trolling, tu as une école privée de comm’ à vendre, et précisément celle qui a la pire réputation. Mais est-ce que taper sur les autres améliorera cette réputation ? Pourquoi est-ce que les profs qui enseignent chez toi préfèrent que ça n’apparaisse pas sur leur CV ? Est-ce qu’on imagine Roger Tallon ou Ruedi Baur se cacher d’avoir enseigné aux Arts décoratifs ?

  20. By Menestrel on Fév 22, 2015

    Ton acharnement à me mettre une étiquette de troll en construisant une histoire ne marche pas. je ne te suivrais pas sur ce chemin.

    Une remarque cependant. Toi qui n’a ni book ni cv. Ne dit jamais que tu viens d’une école privée si tu veux rentrer comme enseignant dans le public ou le para-public.
    Même chose si tu passes un diplôme d’Etat, évite de laisser apparaitre que tu as une formation dans le privé par quelques indices.
    PSS; ne dit pas dans ton cv que tu viens des arts déco si tu veux entrer dans une entreprise privée. Aussi. lol.

    On voit bien, là, que tu n’as pas souvent pris le bateu pour changer d’ile!

    .

  21. By Jean-no on Fév 22, 2015

    @Menestrel : j’ai travaillé dans le public et dans le privé. Je pense que j’ai vu les vertus de chacun de ces mondes, qui ne permettent pas les mêmes choses. Je n’ai pas de book (n’étant pas une chèvre) ni de cv (en ligne en tout cas) parce que je n’ai jamais cherché de travail, le travail est toujours venu assez naturellement à moi, j’ai eu énormément de chance.

  22. By Menestrel on Fév 22, 2015

    Chercher du travail apprend de nombreuses choses. Tant mieux pour toi si tu n’as pas eu à le faire. Mais cela te manque énormément pour comprendre tes jeunes. Et en tirer des conséquences.

  23. By Jean-no on Fév 22, 2015

    @Menestrel : de fait, je n’ai pas connu la recherche d’emploi et cette chance m’a privé d’une expérience (mais rien n’est perdu, il me reste vingt ans minimum avant l’âge de la retraite !). Mais bon, je connais des gens qui eux l’ont connu, j’en ai une petite idée.

  24. By Menestrel on Fév 22, 2015

    la recherche d’emploi s’apprend. Tu devrais commencer à apprendre à naviguer si tu penses devoir partir en raison d’une prochaine décision politique! La navigation ne s’apprend pas seulement par le bouche à oreille autour d’un verre de rhum.

  25. By Jean-no on Fév 22, 2015

    @Menestrel : je ne bois pas de rhum. J’imagine que j’apprendrai ce que j’aurais à apprendre le cas échéant. En attendant, je n’ai jamais eu la prétention d’expliquer à quiconque comment trouver du boulot, mais j’en ai souvent donné moi-même. Dans mon domaine, il est assez courant de ne pas avoir d’employeur et d’être son propre patron – ce qui est mon cas puisque, outre l’enseignement, je suis travailleur indépendant depuis vingt ans.

  26. By Menestrel on Fév 22, 2015

    Rhum: une référence au navigateurs.

    Oui, tu as donné du boulot? En CDI? avec les prud’homme en ligne de mire?

  27. By Jean-no on Fév 22, 2015

    @Menestrel : pourquoi les prud’hommes ? Comprends pas.

  28. By Menestrel on Fév 22, 2015

    Les contrats de travail sont pensés avec comme point d’arrivée les prud’hommes. Pour les éviter ou pour les optimiser.
    Tu as signé beaucoup de cdi?

  29. By Jean-no on Fév 22, 2015

    @Menestrel : jamais, c’est certain. Il y a d’autres manières de donner du travail, heureusement.

  30. By Menestrel on Fév 23, 2015

    Tu n’as jamais signé de cdi? Ni de cdd?

    Oui, je connais d’autres manières de donner du travail:

    Au noir!
    Avec des stages : non payés ou 1/3 du smic.!
    Faire des concours: on gagne un demi poulet et 1 kg de carottes.
    Travailler pour un prof en faisant des recherches pour ce prof: plus de chance d’avoir son diplôme!
    Travailler pour les bonnes causes et l’amour: gratuit mais avoir une bonne conscience et le plaisir d’enrichir certains qui parlent bien.
    Etc… du genre : on vous aime mais rendez-le nous en sueur gratos.
    Personnellement j’aime pas tout ça non plus!

    Si tu pensais à autre chose, c’était quoi?

    PS: pense aux controleurs de l’ursaff et des assedic! lol.

  31. By Jean-no on Fév 23, 2015

    @Menestrel : employer quelqu’un demande des compétences managériales qui m’échappent et que je n’ai pas envie d’acquérir (tout en ayant tout le respect du monde pour ceux qui y arrivent). Mais « travail » et « emploi » peuvent être deux choses distinctes, j’ai l’impression que tu ne penses pas aux missions freelance, parmi les possibilités. C’est pourtant une manière de travailler assez courante dans le design graphique. Ce qui m’est arrivé couramment, par ailleurs, c’est de transmettre à d’autres des missions ou des emplois qu’on m’avait proposés, et pour lesquels je jugeais que tel(le) ancien(ne) étudiant(e) ou confrère serait parfait.

  32. By Menestrel on Fév 23, 2015

    Oui, il faut ajouter les « freelance ». C’est ce que deviennent tes étudiants n’est-ce pas?

    Il faut des capacités commerciales et capacités managériales. A petite dose mais il en faut.

    J’ai des doutes sur la pèrénité de cette forme d’activité.
    Programmer des étudiants à faire « des petits boulots » quelqu’en soit le mot utilisé, sans la moindre formation commerciale ( ou même culture) ne me paraît pas très ambitieux.

  33. By Jean-no on Fév 23, 2015

    @Menestrel : beaucoup d’artistes et assimilés ont généralement plusieurs sources de revenus : prestations et commandes, vente d’œuvres, organisation d’ateliers (par exemple pour les activités péri-scolaire, qui seraient la bonne idée de la réforme des rythmes scolaires, si elle était correctement financée), résidences, enseignement,… Et certains sont salariés de plus ou moins grosses agences, ou employés de services de communication… Je vois de tout chez mes anciens étudiants, il n’y a pas de règle. Quant à apprendre aux étudiants à « se vendre », je ne sais pas trop si c’est mon rôle, ce qui m’intéresse c’est qu’ils apprennent à bosser, à juger leur travail, à exploiter leurs qualités. Pour le reste, je n’ai pas la prétention d’être compétent.

  34. By Menestrel on Fév 23, 2015

    D’après ce qu’ils font pour vivre, ils semblerait qu’ils aient besoin de  » se vendre » et besoin de comprsndre le plus tôt possible qu’ils auront  » à ce vendre » . Est-ce à toi de le faire? Je sais pas. Mais pourquoi pas ton école dans la globalité de son programme?

  35. By Jean-no on Fév 23, 2015

    @Menestrel : dans beaucoup de bahuts privés, on apprend aux étudiants à faire vite des trucs sans intérêt, puis à faire des books qui ont l’air « pro ». Je n’arrive pas à trouver ça très intéressant, je n’ai pas envie d’être là pour fabriquer des tubes à vide, je laisse ça à d’autres.

  36. By Menestrel on Fév 23, 2015

    je ne parlais pas de ca ( book) mais de « se vendre » pour les freelances qui doivent trouver des clients. Les techniques sont variées. Tous les blogs ( et autres) sont aussi des outils pour se vendre ou trouver en emploi.

  37. By Jean-no on Fév 24, 2015

    @Menestrel : je te laisse imaginer à quel point j’incite les étudiants à s’assurer une présence sur Internet.

  38. By Menestrel on Fév 24, 2015

    Une présence certainement! lol. Mais leur donnes-tu un enseignement pour que cette présence soient au mieux d’un résultat pour trouver des revenus?
    Ou, c’est plus sur le coté narcissisme et pervers de la pratique de la toile? ( sans volonté de corriger)

    Il est aussi assez courant de voir des profs manipuler leurs étudiants pour des actions de dénigrement: politiques, commerciales,maladives….sur la toile.

    Tiens on peut revenir sur le sujet!

  39. By Jean-no on Fév 24, 2015

    @Menestrel : mais, le dénigrement, c’est plutôt ton boulot de troll à toi, non ?!?

  40. By Menestrel on Fév 24, 2015

    Le dénigrement est quand même l’essentiel de tous ceux qui vont sur la toile ( De manière plus ou moins sournoise, suivant la personnalité). Désigner quelqu’un comme troll est une technique classique pour dénigrer le contradicteur déplaisant. Cela faisait même partie de la présentation du troll ( En fin de définition) dans wiki. je ne sais pas si c’est encore présent.
    Dénigrer un contradicteur? Désigner le comme troll: la meute des dénigreurs se mettra en mouvement. Classique n’est-ce pas!

  41. By Jean-no on Fév 24, 2015

    @Menestrel : je ne suis pas sûr que grand monde ait besoin de moi pour te considérer comme troll : tu viens, anonymement (et en changeant régulièrement d’identité) chercher le conflit sur à peu près tous les sujets, en ne répondant à peu près jamais aux objections qui te gênent… Si ce n’est pas faire le troll, alors je ne vois pas. Je n’ai jamais eu très peur des contradicteurs, j’accepte qu’il existe plusieurs grilles de lecture du monde.

  42. By Menestrel on Fév 24, 2015

    Ton narcissisme fort que tu reconnais t’impose des réactions inappropriées et déplacées.
    Brusquement dans la conversation, tu me traites de troll! Quelle utilité? Nulle. Tu m’accuses de venir chercher le conflit, alors qu’il s’agit de contradictions auxquelles tu n’es pas habituées.
    Finalement ce ne sont que des réactions de maître d’école qui défends, par faiblesse, son prés carré de certitudes.

    Ce n’est pas du trolling! Juste des contradictions differentes en quantité et en formes de la grille bétonnée de ton pays ( ile) habituel.

  43. By Jean-no on Fév 24, 2015

    @Menestrel : j’ai des messages de toi depuis sept ans, sur ce blog. Généralement agressifs, méprisants envers les profs, les fonctionnaires, le système public, etc., etc., et tu as posté les mêmes sur les blogs de tas de gens. Ce n’est pas parce que tu as envoyé trois ou quatre posts civilisés de suite que tu n’es plus un troll, ça ne peut pas se passer comme ça.

  44. By Menestrel on Fév 24, 2015

    Sept ans sur ton blog? tant que cela! Cela veut dire que toi tu es sur ce blog depuis plus longtemps encore à vendre ton école « publique », critiquer les films, travaux, réalisations etc des uns et des autres.
    Finalement tu fais du trolling industriel par tes blogs! Si ce n’est pas cela, c’est quoi alors.

    NB: les profs, « les fonctionnaires »,les services publics existaient avant moi.C’est ton monde! Si tu en sortais tu verrais que leur critique est généralisée. Et de plus en plus violente!
    Tu es prof, dans une école d’art public, et tu as la culture « fonctionnaire ». pourquoi tu ne voudrais pas que le sujet soit récurent? T’assumes pas ton appartenance à ce club?

  45. By Jean-no on Fév 25, 2015

    @Menestrel : oui, je suis sur mon blog depuis longtemps. Depuis que je l’ai lancé, en fait. Si tu y penses deux secondes, c’est assez logique.
    Est-ce que je vends mon école « publique » ? Je trouve sa liberté intéressante, mais il n’y a pas qu’une école : l’université, les écoles nationales, les écoles territoriales… Mon expérience du privé (où j’ai aussi enseigné) n’est pas à cent pour cent positive, mais j’y vois des qualités aussi, y compris des qualités absentes du système public. Il m’arrive de critiquer des tas de choses, notamment la disparition de certains services publics, non pas pour les fonctionnaires et leur statut, mais pour les services eux-mêmes qui périclitent dans l’esprit, et c’est dommage, parce que des institutions comme la Poste, la SNCF ou l’Éducation nationale (dont je pense beaucoup de mal) font partie de celles qui font la France, on a fait le choix il y a longtemps d’en faire des services publics : autant le faire bien. C’est la désagrégation des services qui font que les gens s’en désaffectionnent.
    Mais est-ce que je critique (au sens de critiquer négativement) systématiquement les travaux et réalisations des uns et des autres ? Et les films ? Il me semble que ce blog parle de beaucoup de choses, et que ma manière de traiter mes sujets dépend de chacun d’eux.
    Je suis prof, dans une école d’art public. Je n’ai pas exactement la culture « fonctionnaire », n’étant pas fonctionnaire et n’ayant jamais cherché à passer le concours pour l’être. Beaucoup de mes collègues ne sont pas non plus fonctionnaires, et il va y avoir de moins en moins de fonctionnaires dans les écoles d’art, car celles-ci peuvent désormais échapper au droit administratif et embaucher les gens en CDI, comme tout le monde.

  46. By Menestrel on Fév 25, 2015

    Tu ne veux pas être manager et tu ne sais pas l’être. ( Ce n’est pas du dénigrement). Ne pas avoir les capacités de manager ne légitimise pas les critiques de choix dictés par le bon management. Pour être plus concret: certains service public  » disparaissent  » il faut évaluer leur rapport qualité/prix avant de rester dogmatique et en opposition systématique au bon sens managériale. Trop souvent les fonctionnaires manquent totalement de qualité et de savoir faire dans les choix fait pour résoudre les problèmes. Ainsi à la poste, les fonctionnaires suppriment tel service public pour préserver tels avantages corporatistes ou manquent d’imagination. Le choix n’est pas toujours le meilleur. Mais les pertes financières à la poste (payés par un matraquage fiscal) sont telles qu’il faut faire des choix plutôt que d’attendre qu’un paquet de fonctionnaires prennent une meilleure décision. Il y a urgence d’action qui justfie l’imperfection de l’action. Les décideurs ne peuvent pas être à la recherche du graal. ( C’est certainement cela que tu aimes le moins).

     » Il va y avoir de moins en moins de fonctionnaires dans mes écoles d’art ». La il faudrait être plus précis sur le mot fonctionnaire. Si tu parles en avocat; légiste. Oui au niveau statut. Mais au niveau culture et fonctionnalité. La je pense que tu te fais des illusions. La France et Colbertiniste et Jacobiniste. L’emprise centrale et la methode que cela implique ne cessera pas. Les fonctionnaires centraux n’auront de cessent que de faire rentrer dans les  » les provinces ». De les faire fonctionner suivant leur grille. Par exemple, tu prends les « masters d’arts ». Pour pouvoir profiter de la pub d’etat pour un diplôme d’Etat et de financement il faut faut fonctionner comme la manuel central ( lois universitaires) le décide. Et mettre en avant le mémoire ( politiquement correct) au dépend de l’oeuvre ou du « produit ». Personnellement je trouve rien de plus stupide que des fonctionnaires imposent un memoire au dépend de l’oeuvre. De la ma critique des artistes qui sont plus dans le baratin et le centralisme politique que dans l’oeuvre.
    Les profs seront peut-être en CDD ou cdi mais ils resteront fonctionnaires travaillant pour l’Etat suivant la culture choisie par les fonctionnaires centraux.

    Si tu veux parler de votre « indépendance » explique cela parle plus d’une petite école qui peut faire ce qu’elle veut car elle est tranquille dans son coin. Toute notoriété entrainerait l’ingérence des prédateurs centraux.

    Même chose pour le « design ». Les fonctionnaires ont interdit pendant longtemps le mot « design  » et même le concept design. par la loi et la pensée unique relayée. ( c’est qui les réac?). Ce n’est que depuis 2010 qu’existe des diplômes de master design d’université. Mais complétement galvaudés.
    Si tu ne veux pas ciblé les  » fonctionnaires centraux » et leurs relais, c’est un choix personnel. Mais laisse les autres avoir des critiques plus incisives et plus  » courageuses ». Ce n’est de toutes manières que des petites piques dans un mammouth nuisible et réac.

  47. By Jean-no on Fév 25, 2015

    @Menestrel : je pense aussi en rapport qualité/prix, mais je note que la désagrégation de certains services publics ne vient pas de ses employés mais d’une volonté de les saborder. Cela a commencé dans les années 1980. Parfois ça a été une bonne affaire : France Télécom bloquait l’expansion d’Internet et la concurrence a été une très bonne chose. Dans d’autres cas, c’est une moins bonne affaire : le train devient un moyen de transport de luxe, la compagnie a été dépecée de manière insensée (la dette et l’entretien des lignes pour réseaux ferrés de France, le commerce pour la SNCF et ses filiales en voie de privatisation…). Tu peux penser que les employés sont des privilégiés (à mille et quelques euros par mois…), mais tu ne peux pas leur reprocher les orientations managériales des sociétés publiques qui les emploient.
    Sur l’esprit fonctionnaire des écoles d’art, tu n’en as clairement aucune idée, et ça ne sert à rien de parler de fonctionnaires pour qualifier des gens en CDD, c’est asburde. Le rapport des écoles à la centralisation n’est pas non plus ce que tu dis : chacune est attachée à un territoire précis, financée par la ville, la région,… Et, de manière symbolique, par le ministère de la Culture. Le fonctionnement des écoles est régi par le ministère : quel genre de diplôme on passe, au bout de combien de temps, selon quelles modalités,… C’est tout.
    Sur la question du mémoire, imposé par le processus de Bologne et contre lequel beaucoup de profs ont lutté, il s’avère avec l’expérience que ce n’est pas un outil inutile, même quand il est accouché dans la douleur. Aujourd’hui je suis plutôt pour. Et connaissant la différence entre le modèle universitaire et celui des écoles d’art, je peux témoigner que le mémoire y a une place différente et est différent.
    Je ne connais pas les diplômes universitaires de design, mais dans le supérieur, il existe une formation en design à l’école normale supérieure, et des dizaines de sections design dans des écoles d’art diverses (Rennes, Strasbourg,…), et certaines écoles publiques ont même une identité fortement (ENSAD, Esad Reims,…) ou totalement (ENSCI) dédiée au design. Et ça ne date pas d’hier : Roger Tallon a créé le département design des Arts déco de Paris il y a plus de cinquante ans.
    Alors non, je ne pense pas qu’on ait le droit de dire que l’État soit hostile au design.
    Quant au « courage » qui consiste à hurler avec les loups contre des services publics qu’on enterre vivants, laisse-moi rire.

  48. By Menestrel on Fév 25, 2015

    « fonctionnaire »: définition officielle.

    « Fonctionnaire » peut être compris dans sa définition courante: administration. Ou dans un sens stricte. Tu as choisi de péfèrer le sens strict. Cela te permet de dire que tu n’es pas un fonctionnaire. je comprends ton choix. Et ce n’est pas pour le côté dévalorisant que tu le fais. Mais par exigeance de précision de la langue Français. N’est-ce pas? Mais pourquoi tu veux imposer tes choix du sens des mots aux autres? Pourquoi tu vas jusqu’à dire que les autres font des choix absurdes?

  49. By Jean-no on Fév 25, 2015

    @Menestrel : l’utilisation de « fonctionnaire » pour « agent de la fonction publique » est un abus, le mot « fonctionnaire » désigne les personnels permanents, c’est tout. Ils ont une carte bleu-blanc-rouge avec marqué « fonctionnaire », je ne suis pas dans ce cas. Il n’y a rien d’absurde à utiliser les mots dans leur sens commun.

  50. By Menestrel on Fév 25, 2015

    SNCF: version officielle.

    Pour la sncf tu nous donnes la version officielle des syndicats; c’est la faute des chefs. Tu fais l’impasse sur la cogestion syndicale. Les cheminots ne sont pas des privilégiés? Mais ils ont des priviléges très peu républicains et peu solidaires. Les cheminots choisissent aussi années après années de cautionner les syndicalistes les plus extrémistes casseurs qui n’ont aucun respect pour le service aux autres!

  51. By Jean-no on Fév 25, 2015

    @Menestrel : Quand je ne sais plus quel syndicat a fait grève pour protester contre la mise à pied temporaire (deux jours, je crois) d’un aiguilleur qui s’était filmé picolant pendant le service, on est dans l’abus total, indéfendable. C’est arrivé il y a quelque temps. Mais quand les agents défendent le bon fonctionnement de la structure contre des pratiques suspectes et contre-productives, ils me semblent très défendables, ou au moins, ils méritent qu’on les écoute un peu au delà de la caricature médiatique. La SNCF a été une grande entreprise, ce qu’on en fait aujourd’hui est plutôt triste, et se fait au détriment du public, qui a investi (c’est à nous contribuables, la SNCF) pendant trois quarts de siècles, et qui se fait déposséder de cet outil qu’on lui fait payer deux fois, en quelque sorte. C’est idiot.
    Je ne suis pas attaché aux statuts (fonctionnaire…), mais je trouve le déclin des services publics très triste et il faut vraiment pas être malin pour s’en réjouir.

  52. By Menestrel on Fév 25, 2015

    Indépendance des école d’art: histoire officielle.

    Sponsoring des entreprises privées? non, c’est pipi caca, comme le dit l’université.
    Aides étrangères? Non, c’est pipi caca comme le dit l’université.
    Augmentation du financement locale? Non c’est pipi caca car il faut serrer les budget comme le dit université.

    Alors on fait quoi pour la fuite au plafond? on va voir l’université pour demander leur aide! Tiens comme c’est bizarre.

  53. By Jean-no on Fév 25, 2015

    @Menestrel : vu que tu n’as aucune idée de ce dont tu parles, je ne vois pas comment te répondre, Jean-Michel Lerâleur (c’est bon, on a trouvé ?).

  54. By Menestrel on Fév 25, 2015

    le mémoire: l’idéale officielle de l’université.

    Il est fort normal que les verbeurs ou universitaires défendent le mémoire. Emprise plus forte et embauches pour les corporations. pris de controle de la partie spirituelle ( Ah le design thinking avec 40 ans de retard des verbeurs) Pour ne laisser que le manuel artisanale en fin de process.
    Oui, comme tu l’écris, c’est dans la douleur que les jeunes qui ont choisi « le dessin » se voient imposer le verbe. Et de plus le mémoir, mis en amont du master, bouffe le temps au dépend du temps consacré au plastique et à la forme. Ainsi ensci et autre art déco sont dans le mémoire concept et il ne reste que l’objet artisanal pour mettre en valeur le mémoire. Repproche général fait aux  » ecoles publiques »

  55. By Jean-no on Fév 25, 2015

    @Menestrel : ce sont des questions qui se sont posées assez fort, mais le bilan est bon, et les mémoires d’écoles d’art sont différents de ceux de l’université. On aurait pu envoyer paître le processus de Bologne (qui harmonise le supérieur) mais ça n’a pas été le choix qui a été fait. Le résultat est pourtant bon, les mémoires servent vraiment à la construction du diplôme, et stratégiquement, ils frustrent les étudiants d’une manière intéressante : une fois le texte rendu, ils sont tellement frustrés de pratique qu’ils s’y lancent souvent à fond et sans hésitations. Après des années d’expérience, donc, je trouve ça bien.

  56. By Menestrel on Fév 25, 2015

    L’histoire du design: écrire l’histoire officielle.
    Le mot design était interdit pas la loi! Le concept du design rejeté. Talon était un dessinateur industriel.
    Je ne dis pas que l’Etat soit hostile au design. Je dis qu’il l’a récupéré, vidé de son sens. Maintenant il n’y est plus hostile. Mais il l’a été.
    Ce n’est pas bien grave puisqu’il n’y a plus d’entreprises industrielles en France. Nous avons plus besoin d’artisanat, dans le mobilier, l’art de la table, le luminaire … Nous avons aussi besoin de Free lance plus souples dans le fonctionnement. Pour les besoins dont la France a besoin pour développer le bricolage c’est bien assez. laissons aux autres pays les choses sérieuses ( Par exemple les centre de recherche et de design avec des budgets dignes de 50 écoles d’art francaises.

  57. By Jean-no on Fév 25, 2015

    @Menestrel : la recherche est le point faible du processus de Bologne : on l’impose aux écoles d’art, mais en ne leur donnant pas de moyens. L’énergie est pourtant là, c’est dommage.

  58. By Menestrel on Fév 25, 2015

    PS Pour ta version officielle des gréves. Quand les syndicats CGT et SUd prennent en otage Des million d’otage, officiellement c’est pour défendre les usagers et les services publics. Tu penses que vous êtes encore combien à croire cette posture?

  59. By Jean-no on Fév 25, 2015

    @Menestrel : dis-donc, prendre en otage des otages, c’est carrément du vice, hein :)
    Les agents de la SNCF défendent leurs postes (et pourquoi pas ?), mais aussi le bon fonctionnement de la machine, car devoir faire toujours plus avec toujours moins (de gens, de moyens), c’est un inconfort problématique. Il paraît que c’est un miracle qu’il n’y ait pas plus d’accidents.

  60. By Menestrel on Fév 25, 2015

    Les dangers des mémoires tels qu’ils sont pratiqués en France ( on n’est pas saxons) et sous influence des universités à la française a déjà été mis en évidence. Mais cela dépend des objectifs que l’on se donne.
    Ensci? Bien des rapports ont été déjà faits: faiblesse en dessin, trop coventionnel, pas de prise en compte des contraintes du réél.
    Art Déco? on y est passé du design industriel au design produit et maintenant on est à design objet: une évolution qui en dit long. Maintenant toutes ces école font des « objet ». Les mémoires, et ceux qui les encadrent ont bridé la richesse du design, de la création et des arts! ( Tu vois je ne suis pas contre les arts, je les défends même lol)

    Mais comme je l’ai écris, cerains peuvent en être satisfaits! Les hommes de l’écrit en particulier. Ceux qui ne sont pas dans la recherche de la réponse formelle!

  61. By Menestrel on Fév 25, 2015

    PS; Ce qui ne veut pas dire que faire écrire des étudiant est à jeter complétement. Mais il s’agit de déterminer les priorités. Le designer, l’artiste c’est le formel! Point.

  62. By Jean-no on Fév 25, 2015

    @Menestrel : la forme peut être réfléchie, la forme peut être savante. Si les mémoires nuisaient à la production de formes, je serais contre, mais à l’usage, je pense que ce n’est pas le cas.
    L’université a imposé aux écoles d’art que des docteurs suivent les mémoires et les fassent soutenir, et c’est une bizarrerie si on sait que l’université ne s’impose pas cette règle à elle-même. Mais la forme et le contenu des mémoires échappent tout à fait à ses règles… Il y a un an ou deux par exemple, à Cergy, une étudiante a produit son mémoire sous forme d’un film.
    L’ENSCI est une sacrée école, avec le meilleur concours d’entrée que je connaisse et des diplômés dont les noms parlent pour eux-mêmes. Les Arts déco sont avant tout la pointe en design graphique, mais ils restent plutôt bons en tout…

  63. By Menestrel on Fév 25, 2015

    Mais oui, la forme doit être intelligente. Mais qui a prouvé qu’il suffit d’un écrit pour garantir l’intelligence?
    je croyais que l’université avait imposé que le docteur devait être le chef ( président) du jury. J’en ai vu des docteurs! Ils ont UNE intelligence. Mais ne sont pas dans la savoir pour optimiser la création. Ils savent écrire. Mais ne savent pas écrire ce dont à besoin le designer ou l’artiste pour optimiser ses réponses formelles. Les docteurs sont aussi nuisibles au process créatif par leur incapacité a faire des choix et s’y tenir suivant le timing. Pour un docteur l’écrit est une fin; Pour le designer juste un moyen.

    Oui, un film pourrait être un bon mémoire. mais il devrait aussi être les recherches et le fond. Mais cela peut marcher. C’était le cas?

    L’ensci et les arts déco sont bons? Comme toujours cela dépend de la nature de la question. Oui, ils donnent satisfaction au milieu qui est le leur.

  64. By Jean-no on Fév 25, 2015

    @Menestrel : non, le docteur n’est pas président du jury. Les docteurs sont dans l’étude, l’analyse, et le travail de fond. Pas dans l’action, enfin en tout cas avec nos doctorats. Mais les écoles d’art réfléchissent à un doctorat es arts proche du phd anglo-saxon, on verra comment ça se passe.
    Faire les choses dans les temps n’est qu’une forme d’efficacité. On peut aussi essayer de faire bien.
    Le mémoire filmé était bon, oui. Il parlait du cinéma, en l’illustrant en direct.
    La qualité de l’ENSCI et de l’ENSAD est assez reconnue hors du monde des écoles d’art, je pense : le prestige des enseignants ou des anciens étudiants parle pour ces établissements (qui n’ont même pas besoin d’être bons tant les gens qu’ils attirent sont déjà bons !).

  65. By Menestrel on Fév 26, 2015

    Un master ( ou diplôme+5) saxon me paraît une bonne idée. Mais je ne lui donne aucune chance de possible avec la culture et les blocages Français dans l’université et autres public.

    Les docteurs sont dans l’étude l’analyse etc oui. Mais dans des reflexes très étroits et trés ethnocentrés. Les artistes et les designers peuvent, ont, doivent avoir leurs propres outils pour l’analyse, le fond, l’intelligence, la richesse de référence etc.
    C’est le rôle des responsables de faire en sorte que…..

    Oui, le temps c’est l’efficacité. Là est virus du probléme de l’ingérence universitaire. Eux et les docteur sont pour l’excellence et l’usage du temps pour leur SEUL USAGE. Et en consequence au dépend de l’action. Le temps c’est de l’intelligence, de la qualité: qui le vole? Cae si je ne me trompte la date de soutenance est fixéé à l’avance.
    Alors tant qu’on dira le temps c’est l’intelligence et on le donne aux chercheurs universitaire pour le mémoire, alors l’art et le design son codamnés en France. Il ne seront que des gadgets de faire valoir ( exagération). Il faut un couillu qui limite le temps donné aux universitaires pour les recherches mémoires ( Qui ne sont pas forcément intelliegents parce qu’elle sont écrites).

    Je ne comprends pas ton  » mémoire filmé ». Comment se décomposaient et s’exprimaient recherches et choix de réponse dans ce film que tu trouves bon?

    Pour ces écoles que tu loues, tu devrais aussi prendre en cause leurs moyen financiers. Et pourquoi pas le rapport qualité/prix de ce service public. (En pensant à ta propre école) . Oui je sais personne n’es jaloux de notre monde parfait!

    NB: chez toi, ce n’est pas un master reconnu par l’université n’est-ce pas? Si? mais vous devez quand même avoir qui encadrent?

    NB; si vous espérez faire un diplôme à la saxonne; Première chose intégrez vous la contrainte de limiter le temps ( brutalement) pour certains. ( Pour la qualité disent ces certains). Sinon ce n’est pas la peine d’espérer un resultat. Ce n’est qu’un projet condamné. C’est essentiel pour les anglo-saxons.

  66. By Menestrel on Fév 26, 2015

    NB: comme tu es en admiration pour l’ensci, j’ai fait « ensci diplôme » puis  » image » sur google. No comment.

  67. By Jean-no on Fév 26, 2015

    On ne peut pas vraiment déterminer grand chose d’une recherche Google comme « Ensci diplôme ». Si on cherche « [bahut privé hors de prix quelconque] diplôme », on tombe en général sur de bizarres images de cérémonies dans un théâtre, un cinéma, ou une salle à louer quelconque (mais avec du velours rouge et des dorures de préférence) où des gens remettent des palmes, à l’américaine, à des gamins qui ont fait une affiche toute nulle sur le recyclage de l’eau ou l’anniversaire d’Europe 1. J’espère que ce n’est pas représentatif des années qu’ils ont passé à l’école, et je comprends bien, quand on soutire des milliers d’euros, qu’on donne le change aux parents d’élèves avec des cérémonies pompeuses. Pour juger du prestige d’une école, il me semble que le nom des anciens diplômes est souvent parlant. L’Ensci a formé Matali Crasset, Patrick Jouin, Mathieu Lehanneur, Laurent Massaloux, Jean-Marie Massaud, Inga Sempé,… C’est pas mal, quand même. Ceci dit ce n’est pas dû qu’à l’enseignement, c’est aussi dû au prestige, car pour être jury du concours d’entrée, je peux dire que le niveau des postulants est déjà exceptionnel, reste à savoir si les étudiants sont bien meilleurs en sortant qu’en entrant, du coup.

    Je ne sais pas si « anglo-saxon » est un terme très heureux, mais il est courant. Par contre, les « saxons » sont soit un groupe de rock de vieux, soit une peuplade germanique disparue.
    L’harmonisation récente des diplômes nous a précisément amené au Master anglo-saxon. C’est le Phd (doctorat) qui est en cours de réflexion. Pour l’instant, tous les doctorats sont basés sur un modèle assez peu adapté à la création, mais ça bouge, et en arts plastiques à l’Université on défend la pratique depuis des décennies.
    La séparation réflexion/action me semble artificielle, on réfléchit quand on agit et produire un mémoire est aussi agir. Par ailleurs, perdre du temps est souvent un investissement, comme l’explique bien la philosophie Star Wars : le côté obscur de la force est plus rapide, plus séduisant, mais….
    Le mémoire filmé dont je te parle était une réflexion sur le montage, sous forme d’un documentaire qui mettait en pratique ce qu’il était en train d’expliquer. Assez imparable.
    Sur le rapport qualité/prix, c’est amusant qu’on demande des comptes aux écoles d’art sur ce point, et pas à toutes les autres. L’État encadre des écoles de ce type depuis plus de deux cent ans, avec l’idée de faire rayonner le pays grâce à la qualité des gens qui en sortent. Et je pense que si l’enseignement de l’anglais était meilleur dans ce pays, ça marcherait assez bien. Mais pour moi, l’école d’art telle que je l’entends a un but encore plus élevé, je trouve que c’est un bon modèle pour apprendre à faire des choses de ses dix doigts et de ses deux hémisphères cérébraux, pour apprendre à apprendre, pour apprendre à comprendre, et pour ne pas vivre esclave d’un monde du travail globalement assez nul. C’est un peu lyrique comme manière de voir, mais je l’ai exposée ici : TEDx talks : à quoi sert un étudiant en art ?.

    Les masters d’écoles supérieures d’art publiques sont reconnus par l’université depuis quatre ans, et bientôt, le DNA (qui remplace le DNAP et le DNAT) sera reconnu comme diplôme de grade « bachelor » (licence). Le privé peut obtenir les mêmes choses, à condition de se plier à quelques exigences, comme le fait d’avoir une vraie médiathèque et d’organiser des jurys selon des modalités assez précises.

  68. By Menestrel on Fév 26, 2015

    J’ai taper  » ensci diplôme » et je ne vois pas pourquoi les réponses trouvées seraient à rejeter. Toi tu préfères taper  » bahut privé hors de prix quelconque diplôme » et tu prétends que la réponse sera représentative?. Toi qui prétends à l’honnêteté intellectuelle et être à la recherche de la qualité! Surprenant lol.On a l’impression que tu poses les questions de manière a trouver les réponses qui conforte tes préjugés. Il serait plus honnête que tu tapes « école x diplome ». Si tu peux accepter de perdre ta grille et tes préjugés!

    je pense qu’il est plus facile et respectueux pour les étudiants et leurs parents de remettre un diplôme dans une salle au plafond percé.

    Pour les anciens étudiants que tu cites en référence, il y a quelques années ( 4/5) qu’on entend moins parler d’eux. Mais je doit dire que je viens de faire une bonne cure de sofas et de petits mobiliers. ( Ils ont du perdre une partie de leur cerveau à travailler pour les entreprises privées)

    Comme tu dis: reste à savoir si des etudiants bons à l’entrée ont vraiment profité d’un enseignement optimisant au max. Là est la vraie question. les diplômes ne donnent pas une idée optimiste de la réponse!
    Quant aux succés dans les concours et projet avec le monde réel. Cela rend plus humble et moins arrogants bornés ( toi tu dis prétentieux) de voir les choix des autres. Exposer ses travaux aux autres permet de connaître la relativité des codes et les valeurs des juges. Ceux qui sont enfermés dans leur prétentions et égocentrismes solitaires passent à côte d’un bel apprentissage humain.

    Saxon, anglo-saxon, english… je n’ai pas assez d’info pour pouvoir mettre le curseur d’un côté plus qu’un autre. A yale, Manhattan ou ailleurs.

    Séparer la reflexion de l’action-production te semble artificiel! On reflêchit quand on agit. Inutile donc de reflêchir avant d’agir. Le plus grand nombre défend cette idée. Libre à toi de l’avoir!
    De là venait ma question sur le film que tu dis bon. Si dans ce film il n’y a pas de phase de présentation de repères, d’élément de comparaison, de présentation des choix privilégiés, comment penser que c’est bon? Mais puisque ta réponse est on ne réflechit pas avant de produire. J’ai ma réponse sur la qualité de ce film et le sens de « il est bon ».

    Qualité/prix? Mais les infos existent pour avoir ce rapport pour des écoles comme art déco, ensci, beaux arts de paris…Pour eux ils ne peuvent pas prétendre détester l’argent et avoir fait le choix ( lol) de la pauvreté!
    Perdre du temps est un investissement qualitatif. Mais bien sur! C’est ce que vous répondez aux étudiants qui veulent des délais pour présenter leur diplôme? Remarque: mais c’est vrai que dans certaines écoles ( ensci)les étudiants squattent des années. Et chez vous c’est le cas?Les étudiants peuvent squatter jusqu’à avoir atteint, à leur rythme, la qualité qu’ils veulent?

    Le monde du travail est assez nul tu écris. Qu’est-ce que tu veux ils n’exploitent pas les deux hémisphères de leur cerveau comme vous. Comme tu dis!
    C’est justement ce que disaient les universitaires et les artistes à ceux qui pratiquaient l’esthétique industrielle, puis le design industriel, puis le design produit…Mais alors pourquoi ton école a ajouter design à son nom  » d’école d’art » Il y a a quoi 4/5 ans? Voulez crier au monde que vous avez perdu une partie de votre cerveau avec 50 ans de retard?

    Ta réponse au sujet des masters m’a pas donné satisfaction. Alors je suis allé sur wiki. je sais j’aurais du le faire avant. Mais puisque j’avais quelqu’un sur le terrain, je pensais que…

    Pour le graphisme et l’art ce n’est pas un master. Pour l’écriture c’est un master parce que vous êtes sous contrôle d’une université. Mais est-ce que wiki dit vrai?
    Mais pour les docteurs qui encadrent, c’est dans quel cas? Et qui a choisi que vous deviez avoir des docteurs. Votre école ou un pouvoir extérieur?

  69. By Jean-no on Fév 26, 2015

    @Menestrel : je ne vois pas comment une recherche Google images rendrait compte des diplômes, c’était mon propos.
    En école d’art publique, du moins celles que je connais, tout comme à l’université, il n’y a pas de remise des diplômes solennelle. Et l’important, c’est ce qu’on fait pendant cinq ans.
    Je ne comprends pas ce que tu veux dire sur le film, désolé, je ne sais plus le nom de son auteure (je ne connais pas cette étudiante), c’est dommage, il est en ligne.
    Sur le temps, eh bien il me semble que les années d’étude sont précieuses pour faire tout ce qu’on ne pourra plus faire après, et se préparer une vie professionnelle riche de tout ce dont on s’est rempli auparavant. Les écoles privées choisissent une autre option, qui a l’avantage de donner du boulot vite. Je respecte tout à fait ça, mais en tant qu’enseignant, je trouve l’expérience du privé plutôt frustrante.
    Mon école avait autrefois un département « communication », aujourd’hui un département « design graphique », d’où le changement de nom.
    Qu’est-ce que tu n’as pas compris sur le Master ? Les DNSEP sont bien de grade Master 2. Par ailleurs, mon école a monté un diplôme de création littéraire en commun avec l’université. La direction pédagogique est assurée du côté de l’université pour les cours de littérature (analyse de textes, histoire,…) et par l’école d’art pour la partie créative (ateliers d’écriture). Et ça se passe extrêmement bien entre les deux structures, surtout qu’on n’a qu’une rue à traverser et qu’on s’entend très bien les uns avec les autres.

  70. By Menestrel on Fév 26, 2015

    NB; je viens d’ouvrir le blog de ton école pour la première fois! Et je tombe sur de la viande en vrac dans une vitrime. Après les piéces de récupe de phocopieurs, je constate que vous repoussez loin les limites de la création en école d’art.

    J’espère que vous assumerez le jour du diplôme en faisant la remise du diplôme dans un abattoir désaffecté mais avec encore des carcasses. Pas de concession a la société de consommation et à la bourgeoisie des parents! Et de quelle matière sera le diplôme?

  71. By Jean-no on Fév 26, 2015

    @Menestrel : dans une école d’art, on traite de tout. La viande, pourquoi pas ? L’expo est une réussite il semble (je ne l’ai pas encore vue). Je ne suis pas étonné de ton étroitesse d’esprit.

  72. By Menestrel on Fév 27, 2015

    Dans wiki,pour ton école, on parle  » d’équivalent master » pas master pour votre graphisme et votre art. Mais de master pour la littérature. Il est fait une différence. Il faut donc faire corriger et faire écrire simplement 3 masters.
    Tu ne réponds pas sur l’origine de l’obligation d’avoir des docteurs. Locale? Parisienne?

  73. By Jean-no on Fév 27, 2015

    @Menestrel : « équivalent master » n’est pas une formule vague, ça signifie qu’en France et dans de nombreux pays du monde, le DNSEP est reconnu comme un Master 2. L’université a perdu son exclusivité sur le Master 2, c’est sur le troisième cycle qu’elle garde tout son pouvoir. Mais on n’est pas censé écrire « master » pour un DNSEP.
    Je ne connais pas le détail, mais l’obligation d’avoir des docteurs émane du ministère de la Culture, et est le produit, je pense, de ses négociations avec le ministère de l’enseignement supérieur. C’est donc national (et non « parisien »).

  74. By Menestrel on Fév 27, 2015

    Exposition de viande artistique? J’imagine qu’il s’agit d’interpeler, de faire penser, d’encourager le questionnement. je comprends très bien. C’est ce que je fais. Alors pour après avoir encouragé le questionnement dire que les questions dénottentt une étroitesse d’esprit? Ne me dis pas que les questionnements doivent être controlés et certifiés.

    Je pense que cet artiste, comme étudiant, ne va pas assez loin. Il devrait plus s’épanouir, élargir son questionnement. Par exemple en s’adressant aux 5 sens: l’ouie, l’odorat, le touché, le gout en plus que la vue. Et aussi, dans ses recherches ( en chine, aux USA etc..) Cet étudiant se limite trop.
    Je vois très bien une vitrine avec de le viande fraiche en grande quantité ( peu, c’est pauvre, mesquin comme message), avec un homme nu en train de manger, assis ( par terre ou sur un sofa Matter ?)en train de roter et chier. Là ce ne serait pas une oeuvre étriquée, étroite d’esprit, adolecente en rupture.

    J’ai vu quelques émissions artistiques sur la 24 dans Bush Alaska ou des artistes font des recherches dans ce sens. Il faut avoir assez de culture pour ne pas se contenter d’une copie dessechée du déjà vu.
    Mais telle est mon opinion. J’y es droit, sans risque d’être insulté? Toujours est-il que cet étudiant a initié mon questionnement. C’était le but, non.
    Et toi ce tas de viande a interpelé ton esprit ouvert?

  75. By Jean-no on Fév 27, 2015

    @Menestrel : tu ne poses pas de questions, tu dénigres gratuitement.
    Je n’ai pas vu l’exposition mais j’ai vu que les gens y mangeaient de la charcuterie, donc le toucher, le goût et l’odorat, c’est géré. J’adore tes conseils, mais je ne pense pas que tu sois en mesure d’en donner sur la foi de trois images vues sur Internet.

  76. By Menestrel on Fév 27, 2015

    Est-ce que des images sur google peuvent rendre compte d’un diplôme ( par exemple ensci). Cela dépend. Si l’école veut montrer seulement des images alors on voit les images des produits qu’elle montre. C’est l’image de ce qu’elle est!
    Si l’école veut montrer l’analyse, la démarche, la pensée qui fonde le produit alors elle le montre. Et on peut le voir. Si les produits montrés son pauvres et conventionnels et que rien ne démontre une vraie pensée ( parce qu’il n’y en a pas vraiment), alors ce serait la faute de l’internaute et de google?

    Comme à la sncf et en politique: c’est la faute de l’usager!

  77. By Jean-no on Fév 27, 2015

    @Menestrel : les écoles privées investissent énormément dans leur communication. C’est normal, même si parfois on a l’impression que c’est là où passe le gros du budget. Les écoles supérieures publiques sont parfois pauvres dans le domaine, même celles qui forment à la communication. Parfois c’est dommage, certains efforts sont mal valorisés, mais ça veut juste dire que pour les enseignants, l’essentiel se trouve ailleurs. Il faut que tu comprennes qu’on n’a rien à vendre.

  78. By Menestrel on Fév 27, 2015

    PS: « Master » est un label, une marque. possédée par l’université seule et son ministère. Pas par les autres ministères. Il ne faut pas croire que les fonctionnaires ne protègent pas leur territoire de manière mesquine et violente. Contre les autres! Cela est valable pour bien des écoles « publiques » ( je ne suis pas sur que l’ensci ce soit un master ( ministère de l’industrie) qui ne dépendent pas du ministère de l’université, de l’education nationale.
    La première question est: est-ce que sur le diplome de vos étudiants il est écrit : master.
    La deuxième question: est-ce que votre maire ( votre patron) a un courrier du rectorat, ou ministre lui donnant le droit d’user de la marque master, sans compensation?

    Je ne doute pas que sur le terrain les prof-fonctionnaires de l’université et vous, les locaux vous vous entendiez bien. Les question peuvent venir un jour au niveau d’un nouveau recrutement ‘ » d’un ami ».

  79. By Jean-no on Fév 27, 2015

    @Menestrel : le diplôme de Créateur industriel, à l’ENSCI, a bien le grade Master 2.
    Bien sûr, il existe des tas de questions de territoires entre établissements supérieurs publics. Et sans aucun doute des mesquineries. Enfin je doute que ça soit pire que d’imaginer le président d’un bahut privé « reconnu par l’État » (payant ses impôts ?) passer son temps sur les forums à dénigrer ses concurrents.
    Seule l’université délivre des diplômes avec écrit « Master » dessus, ça vient de sa tradition (même si on disait « maîtrise » il y a quelques années)… Mais comme je t’ai dit déjà, les diplômes bac+5 des écoles supérieures d’art sont équivalents, c’est à dire qu’ils ouvrent aux mêmes droits (par exemple le droit de postuler à un doctorat).

  80. By Menestrel on Fév 27, 2015

    Bon, je pense avoir fait le tour du sujet.

    Master. Ou diplômes nationaux de master.

    Les masters sont fixés par arrêtés. Donc une seule justification: l’arrêté à citer.

    Nombre d’écoles publiques pour des raisons commerciale et financières jouent sur les mots et entretiennent la confusion dans leurs communications. Master of…, Diplôme équivalent au master, grade Master…

    Ton école a UN master de littérature sous le contrôle universitaire.( Souhaitable que les réf de l’arrêté soit dans wiki. pour Le 100%.)
    Les deux autres diplômes ne sont pas des masters.( Sauf preuves contraires pas trouvées) Il me parait difficile que vous puissiez dans un avenir proche remplir les conditions pour que votre diplôme devienne un master. Je pense aux articles 8,9,16,17 par exemple.
    Tu peux développer le discours que tu veux sur la notion d’équivalence! Si cela te fait plaisir.

    Pour l’ensci, ce sont des diplômes : mastères de spécialisations. Et non pas des master nationaux. Ils le précisent clairement. Alors pourquoi écrire le contraire!

    Les écoles publiques investissent énormément pour la comm , leur pub. Beaucoup plus que les écoles privées. Mais de manière différente, moins efficace ( contre l’efficacité!) et moins ciblée. Il faut vendre l’emploi des profs et justifier les subventions des collectivités.

    Pour votre exposition de viandes et charcuteries. Ce n’est pas moi qu’il faut convaincre. Mais votre maire et les contribuables du Havre qui paient pour le rayonnement de leur ville. Il faut inviter le maire a cette exposition pour lui montrer comment vous faites de la pub pour sa ville.

    NB. Les docteurs envoyés pour l’encadrement, c’est pour le master ou les autres diplômes?

    la notion d’équivalence de dilôme c’est comme pour les fonctionnaires? Au niveau juridique et au niveau croyance populaire?

    Tu as certainement lu l’interview de Fioraso sur les masters. Elle aussi croyait à l’équivalence des diplômes lol.

    Voilà!

  81. By Jean-no on Fév 27, 2015

    @Menestrel : heureux que tu ais fait le tour du sujet.
    « Grade Master 2 » (le 2 est important) a un sens assez clair : ça ouvre aux mêmes droits qu’un Master 2 d’université. Mais ce n’est pas un Master d’université, juste un autre diplôme qui est très officiellement considéré comme étant du même niveau, contrairement au DNAP qui n’est pas encore équivalent au bachelor/licence mais qui le sera bientôt. Ensuite, quand G. Fioraso parle de « masters », elle parle de ceux qui dépendent de son ministère… Mais bon, je ne sais pas ce que tu veux dire à ce sujet (note que ça ne m’intéresse pas plus que ça d’avoir des explications). L’enseignement supérieur n’est, pour l’instant, pas la tutelle des écoles d’art, c’est absolument certain.
    Pour l’Ensci, le diplôme de créateur industriel est de grade Master 2, et il y a par ailleurs des Masters spécialisés en association avec l’université.
    Les écoles publiques investissent leur maigre budget dans les études plus que dans les stands de salons. Je te rassure : le maire du Havre connaît bien l’école, son oncle y était d’ailleurs prof, il est mort il y a quelques années. Il n’y a pas « des docteurs envoyés pour l’encadrement », mais il y a forcément un docteur parmi les membres du jury de DNSEP, et un docteur (ou plus) dans l’école pour suivre les mémoires.

  82. By Menestrel on Fév 27, 2015

    pour fioraso je faisais allusion à sa capacité d’imprecision pour ses diplomes. En plus du fait qu’un ministre peut faire disparaitre des masters. 10 000?

    Des formations diplômantes? Avec tant d’imprécisions dans les diplômes que les étudiants ciblent et que les prof préparent?

    Les écoles publiques investissent leurs budgets aussi dans des Designers à notoriété comme prof. Des directeurs de trucs machin pour le lobbying, des intervenants pour leur présence sur la toile…cela fait monter le budget pub ( mais c’est pas compté comme tel.) C’est pas vraiment pour les étudiants et les études.

    Heureux que vous ayez de vrais amis chez les politiques: le maire et d’autre. C’est d’une garantie de pérénité les politiques! C’est bien eux qui ont fait le regroupement Havre/rouen contre la volonté des profs/etudiants? Et les prochaine élections c’est quand?

  83. By Jean-no on Fév 28, 2015

    @Menestrel : bien sûr, les écoles investissent dans des richesses symboliques. Inviter un article à organiser une exposition, à faire une conférence, un workshop, etc. Mais c’est bien pour les étudiants, qui sont les premiers à profiter de la circulation de personnes extérieures à l’école.
    Le rapprochement Le Havre/Rouen ne s’est pas fait contre la volonté de la majorité des profs ou de celle des étudiants, mais il a bien été plus ou moins imposé par le ministère au départ, qui veut des établissements plus gros et donc plus visibles, notamment internationalement.

  84. By Menestrel on Fév 28, 2015

    Quand tu parles de « plus visible », C’est donc pour des raisons publicitaire et financières.Mais il faut jouer avec les mots pour ne pas écorner une image de « saints » seulement attachés à l’interêt des enfants et de l’enseignement. L’international quoi! ( Exposer de la charcuterie à Pekin?)
    Mais si on ne comprend pas que vous êtes des « saints » c’est qu’il nous manque la moitié du cerveau! Très peu moderne ce mode de pensée. Finalement peu de différence entre le prof de base et le cheminot de base.

    PS:
    Dans votre hypocrisie, quand VOUS invitez un artiste, c’est une opération humaniste. Mais quand une entreprise privée invite ce même artiste c’est une opération mercantile.
    Quand vos études et vos recherches vous permettront de sortir de votre grille bétonnée et politicienne archaique? Et vous permettront de sortir a l’international en honorant notre culture? Certainement pas dans un avenir proche.

  85. By Jean-no on Fév 28, 2015

    @Menestrel : les métiers auxquels se forment les étudiants en école d’art consistent à montrer, exposer, exprimer,… La visibilité est une question logique. Les métiers de la réclame (où s’orientent certains anciens étudiants, bien sûr, et que j’ai pratiqué moi-même) me semblent un mauvais but non pas parce qu’ils sont « mercantiles » (j’ai du respect pour le commerce) mais à cause de la culture du recyclage d’idées, souvent terriblement décevant car de bonnes idées sont rendues nulles, triviales, par un milieu qui casse un peu tout ce qu’il touche.
    Inviter un artiste n’est pas une « opération humaniste » (!?!), ça permet de faire circuler les idées et les personnes, de montrer autre chose aux étudiants que leurs profs. Je n’ai jamais dit de mal du fait que les entreprises privées invitent des artistes, je n’ai rien contre les entreprises privées, et même pas de méfiance ou d’a-priori : merci de ne pas projeter tes fixettes sur ma personne.
    Sur l’international, si tu avais plus consciencieusement parcouru le site de mon école, peut-être aurais-tu remarqué que nous avons créé un département de notre école à X’ian, où les profs du Havre et de Rouen vont, à tour de rôle, rencontrer des étudiants chinois et s’enrichir mutuellement.
    À propos de sites Internet, j’ai une question : pourquoi est-ce que les écoles privées ne disent jamais le montant des frais d’inscription sur le site lui-même ?

  86. By Menestrel on Fév 28, 2015

    Quand tu écris que dans les entreprises privées le plus souvent ils n’ont qu’une moitié de cerveau, c’est une opinion qui démontre bien le fond de ta pensée n’est-ce pas? Ou est-ce que tu donnes seulement des gages à ta tribu sans que cela soit tes convictions? Ton opinion du privé est assez floue et pas souvent positive. Tu cherches plus souvent par des questions orientées à les enfoncer. C’est ta technique ou ta personnalité?
    Mais comme filliale des Arts déco, c’est assez logique! lol.

    Tu devrais faire des efforts pour mieux connaître certaine école privée quant au fond qui supporte les expressions plastiques.

    Vos échanges avec la chine? cela m’emmenerait trop loin pour connâitre le sens profond de ces échanges. Combien de vos étudiants passent un an dans cette université? et combien de chinois avez vous? Combien ces chinois ont payé pour rester chez vous? Est-ce que votre direction a fait ce qu’il fallait pour ne pas être prise dans un scandale si un prof a été piégé? Etes vous sur qu’il s’agit d’échange culturel ou de rabattage financier….

    Certaines écoles privées pratique la transparence sans probléme. Même dans leur site. D’autres moins.

    Et dans votre site vous en parlez de vos conditions financières? Il est également précisé, dans votre site, combien doivent payer les étudiants chinois? Justement pour ton gout honnête de la transparence. Et ainsi éviter que certains ( rabatteurs) prétendent que l’argent qu’ils percoivent c’est pour vous!

  87. By Menestrel on Fév 28, 2015

    PS:

    Quant aux métiers auxquels forment les écoles d’art.

    Toi tu écris: « montrer,exposer exprimer… » je trouves que tu es juste. Seulement montrer, exprimer,exposer. Trop réducteur pour, trop pauvre. Mais ce que tu dis est exact.juste une technique d’expression minimaliste.

    Autre définition des métiers d’art.

    Celle definie par la loi pour les masters d’art. Cette loi est utopique pour la culture des enseignants mais si elle était appliquée c’est ton utopie qui devrait disparaitre.

  88. By Jean-no on Fév 28, 2015

    @Menestrel : Je suis sûr que plein de choses bien peuvent être faites dans le privé, et il y a des écoles privées très réputées pour les prépas (c’est sans doute dans le privé, en prépa, qu’on apprend encore le mieux le dessin, à mon avis) ou pour les cycles études, par exemple Penninghen ou Strate. Ensuite il y a des écueils inhérents au privé, comme un certain clientélisme (étudiants qui décident de la pédagogie) et une habitude de privilégier les apparences. Mais je n’ai pas un avis monolithique et négatif sur le sujet, et j’ai des reproches à faire au système public aussi.
    Pour la Chine, je ne peux pas dire grand chose, je ne fais pas partie des profs qui y sont allés enseigner, ça viendra mais pour l’instant je ne peux pas bloquer des semaines. Je ne peux pas te dire si les frais d’inscription sont mentionnés sur le site chinois, ne lisant pas cette langue.
    Je n’ai pas écrit que le boulot des étudiants se limitait à montrer, mais que c’est une composante logique, un aspect essentiel de toute activité artistique.

  89. By Menestrel on Fév 28, 2015

    Est-ce que vous précisez, dans votre site français les frais de scolarité qu’il faut verser? En tant que Français et en tant que chinois ( ou étranger). Par une volonté de ne pas, eventuellement, participer a des  » manoeuvres douteuses »?
    Si vous avez quelques Chinois qui permettent la survie de quelques formations mais pas de Français qui étudient en Chine par manque de curiosité formative, nous sommes loin du grand cinéma des échanges culturels qui enrichissent l’âme de l’humanité.

    Pour certaines écoles privées, les cycles d’études ne sont pas ce qu’ils paraissent. Tu pourrais être trompé par leur capacité a utiliser pour leur pub TA GRILLE DE LECTURE! il y aurait beaucoup à dire. Comme sur toutes les écoles privées ou publics.

  90. By Jean-no on Fév 28, 2015

    @Menestrel : le département de l’école en Chine est vraiment destiné à des étudiants chinois, mais plusieurs anciens étudiants diplômés du site du Havre y sont allés.
    Je vois que dans la nouvelle version du site (qui a deux semaines), les frais d’inscription ne sont plus mentionnés, effectivement.

  91. By Menestrel on Fév 28, 2015

    Petite retouche: le travail des étudiants ne devrait pas seulement être « montré » mais surtout « exposé ». A des critiques variés et pas seulement culturocentré.

  92. By Menestrel on Fév 28, 2015

    Donc aucun français n’est allé en chine pendant sa formation dans votre école. Mais combien de chinois suivent votre formation chaque année en France.

  93. By Jean-no on Fév 28, 2015

    @Menestrel : si tu as des questions à poser sur ces sujets, contacte la direction de mon école, mais j’ignore le détail. Les échanges bilatéraux sont évidemment plus faciles avec la Grande-Bretagne, autre partenaire important de l’école : les déplacements d’étudiants posent forcément moins de problèmes logistiques.

  94. By Menestrel on Fév 28, 2015

    Je ne m’étais pas interessé à ce sujet. Convaincu que ce n’était pas possible que vous ayez des échanges culturels avec la Chine.

    Donc vous avez un département en Chine et tout un chapitre à ce sujet sur le site de l’école.

    Mais concrètement cela signifie:
    -Aucun étudiant francais ne va en chine.
    -14 etudiants chinois viennent etudier ( gratuitement) en France dans votre école.
    -Vous leur avez garanti une entrée en 3 éme année.
    -Quelques professeurs ont un séjour de quelques semaines payés en chine.

    je ne vois pas ou est l’Echange culturel pour les étudiants francais?

    De plus comme c’est une université privée, les étudiants chinois doivent payer en chine les études qu’ils font en France. Sans rien reverser à votre école je suppose.

    Remarque: former à la curiosité culturelle vers la chine ( ou autres) des français c’est un vrai boulot et une vraie tournure d’esprit. Mais si les anciens soldats du communisme le font pourquoi une société si ouverte et liberale que la France ne le reussit pas? lol! Oh pardon, c’est pas correct pour mon age.

  95. By Menestrel on Fév 28, 2015

    Un problème logistique? Qu’est-ce que tu entends par là? Un problème logistique qui n’existerait que dans le sens France Chine mais pas dans le sens Chine France? Ce ne serait pas plus un problème Français de « centralisme culturel » qui interdit toute curiosté .
    Je me demande combien de spécialistes de la recherche et de la culture ne peuvent pas organiser ou résoudre la logistique pour aller s’enrichir en chine ( pour eux et pour les étudiants). Alors que des centaines de chinois sont formés à vouloir pouvoir le faire.

    Pourquoi des professeurs Chinois ne viennent pas enseigner en France alors que le contraire est fait.C’est quelle logistique là? pourquoi les ressources artistiques étrangères ne sont pas enseignées et qu’il y a un tel enfermement prétentieux? proplème logistique!

    Etc… mais quel enfermement dans l’art et sa formation et sa recherche. Pas seulement à l’égard du monde réel, de l’économie, de la société etc… mais aussi à l’egard de tous les arts.

    @jean no; mais quelle est la question que je dois poser à ta direction à laquelle tu ne peux pas répondre?

    Cette longue présentation de votre département en chine, c’est quand même une grosse pub sans vrai intérêt pour les étudiant. Non?

    Ce serait plus vrai pour la GB? je ne pense pas. Un centralisme culturel si fort ne permet pas cette ouverture culturelle vers les autres cultures. Même et surtout dans l’art.

  96. By Jean-no on Fév 28, 2015

    @Menestrel : faire voyager des étudiants ou des eneignants d’un côté de la Manche à l’autre pour organiser des expositions ou des workshops est de l’ordre du possible. Question de fric, tout bêtement. Entre la France et la Chine, c’est un peu plus difficile, et les problèmes et les solutions diffèrent selon qu’on est en France ou en Chine. Comme je te disais, en tout cas, plusieurs jeunes diplômés sont partis en Chine, il y a donc bien un intérêt pour eux. Et nous recevons des étudiants (par ailleurs l’école d’art du Havre accueille un certain nombre d’étudiants étrangers, notamment chinois).
    Je ne suis pas spécialement au courant des questions d’argent qui lient mon école à l’université de X’ian, donc là dessus, je ne peux répondre à aucune de tes questions.

  97. By Menestrel on Fév 28, 2015

    Mais ok, le tourisme culturel n’est pas impossible.Il suffit de voir le nombre d’étrangers dans nos musées. Et parfois quelques jeunes francais encadrés.

    Mais là nous parlons d’échanges culturels. C’est plus profond, moins dans la posture superficielle. les échanges culturels peuvent servir a ouvrir les Savoirs. Pas seulement à briller aux repas de famille ou à la machine a café. ( Ou draguer pour les jeunes)

    Les chinois ont commencé par le tourisme culturel et passés à autre chose que nous ne savons pas faire avec eux ( entre autres)

    Oui, les solutions différent entre la Chine et la France comme tu dis! Eux ils peuvent; nous on peut pas.

    Oui, il semblerait que quelques uns de vos diplômés soient partis en Chine. Connaissant quelque peu le niveau des Chinois au niveau techniques dans les arts. Disons que je suis dubitatif d’avoir compris qu’ils y étaient allés comme enseignants. Connaissant un peu l’asie, le terme exacte pourrait être aussi  » sujets d’observations » plus que enseignant. ( Ce qui ne va pas aider à résorber la prétention des Chinois. En passant)

    C’est un centralisme culturel qui se traduit par des choix de fric. Comme ces parents qui ne veulent pas remettre en cause leurs acquis sociaux ( un mois de vacances dans un chalet avec sa télé ses ordinateurs et ses bières) plutôt que de former ses enfants.

    Ne pense pas que vos chinois soient riches au contraire! Si ils sont chez vous c’est qu’ils sont pauvres ( plus que nombre de vos étudiants). Les riches vont dans les universités américaines.

    Les questions d’argent? A mon avis Votre école ne touche rien alors que les étudiants paient en chine. Ce serait trop compliqué question paperasse que votre école touche de l’argent.Et personne aime l’argent chez vous!

    Donc , nous aidons la recherche culturelle chinoise mais n’avons pas les moyens d’aider la recherche culturelle francaise. mdr

  98. By Jean-no on Fév 28, 2015

    @Menestrel : je n’ai jamais écrit que les étudiants chinois étaient riches. Ceci dit un étudiant chinois m’a dit une fois que venir étudier en France était moins cher que d’étudier en Chine.
    Sur les questions d’argent, voilà que tu recommences à délirer en brodant sur des faits dont tu ne sais rien ! Une école française ne va évidemment pas dépenser d’argent pour envoyer ses enseignants enseigner ailleurs.

  99. By Menestrel on Fév 28, 2015

    De quoi tu parles encore? Dans ton deuxième paragraphe en m’accusant de broder.

  100. By Jean-no on Fév 28, 2015

    @Menestrel : tu es en train de divaguer sur la question du financement des échanges France<>Chine de mon école alors que tu n’en as aucune idée. Si tu es curieux, appelle mon école, mais évite de croire que tu es au courant.

  101. By Menestrel on Fév 28, 2015

    Tu refuses de préciser tes reproches!
    Je n’ai jamais dit que vous payez les profs pour aller en chine!
    Et je n’imagine pas des profs Français payer personnellement pour aller faire des recherches en Chine. Des Chinois, japonais, Indiens… ce serait plus crédible que eux le fassent.

    Je dis que les subventions que vous touchez de l’Etat, de la région, de la ville etc… doit dépendre du nombre d’Etudiants inscrits qu’ils soient français ou étranger.
    Je dis que que l’existence d’une filière, d’un département doit dépendre du nombre d’inscits francais et étrangers. Donc les salaires des profs attachés a ces filières peuvent dépendre des étudiants étrangers.

    Si toi tu n’as aucune idée, alors que c’est ton école, ton univers , c’est bien dommage. Tu ne sais pas! Est-ce une raison de reproches à plus curieux?

    Que la france soit pour ce système, cela ne me dérange pas. J’en vois les retombées. mais que personne n’ait trouvé de mettre en place un enrichissement dans l’autre sens et n’y pense même pas, c’est nul. Même et surtout chez les chercheurs et hommes de culture. ( Culture sans « S »)

  102. By Jean-no on Fév 28, 2015

    @Menestrel : les dotations dont bénéficient une école ne sont pas directement liées au nombre d’étudiants, ce n’est pas x euros par étudiant. Le contraire serait plus pratique. Pour le reste, puisque tu connais certainement mieux la Chine que moi, je te laisse imagine ce qui est facile/possible/envisageable et ce qui l’est moins.

  103. By Menestrel on Fév 28, 2015

    Comme tu écris les dotations ne sont pas -directement- liées au nombre d’étudiants. Mais y sont liées. Quelqu’un aux ministère peut décider le maintient ou la suppression de diplôme, filière, dotations … en tenant compte des étudiants. Sans savoir leur nationalité.

    C’est dommage que tu ne saches pas comment cela fonctionne. Mais je serais prêt à parier qu des étudiants français partant à l’étranger dans le cadre d’échanges culturels sérieux pourraient entrainer une baisse de dotation par des comptables bornés.

    le centralisme culturel n’entraine pas la créativité pour trouver des solutions qui boosteraient les arts, cultures designs etc…

  104. By Jean-no on Fév 28, 2015

    @Menestrel : pour le coup, non, ce n’est pas du tout comme ça que se passent les choses, une fois de plus tu racontes n’importe quoi. Il y a plusieurs types de décisions qui peuvent être prises et qui dépendent de chaque instance : les mairies, le ministère, la région, allouent chacun un budget plus ou moins important, qui peut être augmenté ou réduit (je te laisse imaginer la tendance du moment), l’école peut par ailleurs trouver d’autres financements (y compris privés). Les diplômes sont maintenus ou non sur décision du ministère, qui se fie aux avis de commissions de pairs (Aeres autrefois, je ne sais plus le nom actuel).
    Les échanges sont nettement encouragés en Europe (élargie à la Norvège, l’Islande ou la Turquie, notamment) vie Erasmus, qui permet une mobilité des étudiants comme des enseignants. Nous avons par ailleurs eu des étudiants partant faire des stages aux quatre coins du monde. Donc de quoi tu parles, je ne sais pas, mais l’ouverture au monde n’est pas découragée.
    Je ne te dis pas que ça ne pourrait pas être mieux, mais il n’y a aucune volonté d’empêcher les échanges, si ce n’est (problème général, que j’ai rencontré dans le privé aussi – hors écoles anglo-saxonnes en France ?) les faibles moyens mis en œuvre pour l’apprentissage des langues étrangères – au Havre on doit avoir seize heures d’anglais par semaine pour près de deux cent étudiants, c’est évidemment très dommage.

  105. By Menestrel on Mar 1, 2015

    Tu écris encore que je dis n’importe quoi!

    Je te rappelle les faits.

    Vous avez pris un engagement pour recevoir en troisième année 14 étudiants chinois. Ces 14 étudiants viennent au Havre! Tu te rends compte ce qu’il faut mettre en place pour que des chinois d’une université viennent à 14 dans une ville comme le havre? Et Vous vous n’en envoyez 0 dans une grande université d’une ancienne capitale au siécle de la chine!

    Pour moi le plus gros boulet est le centralisme culturel ou l’ethnocentrisme franchouillard.

    Le deuxiéme problème. Qui n’est que la conséquence du premier: L’aspect financier.

    Comment peux tu affirmer que j’ignore les usines a gaz de l’administration française pour les prises de décision! Je n’ai jamais pensé que c’était rigoureux, raisonnable et intelligent. Mais le nombre d’étudiant a son importance. Et le nombre d’étudiants étrangers aussi! Suivant les humeurs: c’est ce qu’on appelle parfois la politique.
    Il y a eu la periode pour les politique des musées, la période des piscines, la periode des centres de design…

    Quant à la posture internationale qui ne remet en rien l’égocentrisme francais: tourisme culturel,erasmus pour ceux qui ne parlent pas les langues étrangères …
    Une de tes étudiantes dans un autre sujet disait qu’elle était heureuse.
    Voila ce qui manque trop souvent en France: des éléments de comparaison, des repères,;; des points de jugement ( Une capacité à analyser large)… La France, vivant dans son passé ne veut pas voir la réalité et il y a une culture systématique à casser tous les thermomètres.Combien d’années il faudra a des learders reveillés pour s’interesser aux thermometres? Ce n’est pas ce qu’on leur apprend pour l’instant.

    Ici notre élément de comparaison, les repères, sont la Chine.La politique culturelle de la chine et celle de la France à travers ton école.

    Un autre exemple: la réglementation basée sur à l’international anglosaxon pour les masters d’art que l’Etat a pondu. dans les mots elle me paraît assez bien.Mais réellement rien n’est précisé pour sa mis en oeuvre. Et c’est une réglementation déconnectée de la culture des profs et des universités françaises. Une posture légale quoi.

    Alors arrête de dire que je raconte n’importe quoi parce que tu ne regarde pas le même thermometre que moi.

    Un point cependant: « ton 16 heures d’anglais par semaine » Cela pourrait être impressionnant. Mais il faut que je fasse la part des choses. Pour quelle(s) filière(s). Pour quelles années? Pendant combien de temps. Ou est-ce que cela veut dire qu’il n’y a qu’un seul prof qui fait 16 heures d’anglais par semaine pour toute l’école.
    ( sans parler de l’impossibilté pour les profs d’anglais d’enseigner la grille dont ont besoin les « artistes ».

  106. By Jean-no on Mar 1, 2015

    @Menestrel : l’école d’art du Havre est la seule à ma connaissance à avoir ouvert un département en Chine. Ce n’est pas une explosion d’échanges culturels qui profiteraient à tous, tout le temps, mais c’est déjà ça.
    Sur les seize heures, ça n’est pas très impressionnant, au contraire : pour deux cent étudiants il n’y a qu’un enseignant, c’est très peu. Les profs d’anglais en école d’art sont généralement embauchés sur leur intérêt pour les autres matières (parfois même ils sont des artistes), et ils sont, pour ce que j’ai pu observer, toujours originaires d’un pays anglophone. Mais c’est trop peu de temps, trop peu d’investissement, comparé à la Belgique, par exemple, où à l’école de recherche graphique j’ai vu les étudiants produire des textes en anglais avec une vraie facilité. J’aurais tendance à penser que le problème ne peut pas être imputé qu’aux écoles d’art françaises, et qu’il n’est qu’un symptôme parmi d’autres (la puissance de l’industrie française du doublage en est un autre) de l’isolement linguistique français.

  107. By Menestrel on Mar 1, 2015

    L’isolement linguistique français? Est-ce une excuse pour ne rien faire ou une motivation pour faire plus?
    Par exemple dans bien des ecoles d’asie, le programme de langue S’AJOUTE au programme normal. Ainsi Tes 16 heures d’anglais s’ajouteraient au programme normal. Qui inclus une formation politique ( nous on appelle cela culture générale).
    Nous parlons des étudiants. Mais à ton avis pour les profs c’est comment? On compare le nombre profs d’asie qui usent de leurs courtes vacances pour venir faire de la « formation pro » en France avec le nombre de profs francais d’art qui vont en chine pour s’ouvrir l’esprit? ( Ou prefèrent ils restés avec un copain qui leur ressemble !)
    Tiens une simple question! ( ne deviens pas parano!) Toi-même, qui écris, beaucoup es-tu souvent allé plus loin que les pays limitrophes de la France?
    Tous les prof d’anglais sont interessé par l’art; lol. Surtout quand ils ont suivi 2 heures de cours d’histoire de l’art. ( un salaire vaut bien une politesse). Mais combien connaissent les besoins des étudiants en vocabulaire ou en démarche jusqu’à faire un programme spécialisé plutot que d’utiliser le livre passe partout?

    Oui, c’est déjà ça d’avoir ouvert un département en chine. C’est bien pour les chinois. Il ne reste plus qu’à les imiter! Aller, va proposer de remplacer 1 ou 2 prof des arts déco de ton école par un ou deux prof chinois. Là alors on parlera d’ouverture internationale, d’échanges culturels et d’art au service de l’ouverture d’esprit et des deux cerveaux. Ce que font les chinois en invitant vos profs.

    Il y a un autre niveau international. Tu parlais de Strate qui est la propriété d’un grand magasin étranger. Combien d’écoles privées sont propriétés d’étrangers ou de fond d’investissement étrangers.

    Tu devrais aller lire « écoles d’arts au pied du mur » . basé sur un rapport de l’aeres. Et encore l’aeres sont à l’intérieur du système. Difficile de dire que c’est un complot et du dénigrement!

  108. By Jean-no on Mar 1, 2015

    @Menestrel : j’ai eu beaucoup d’étudiants chinois qui avaient énormément de mal avec le Français comme avec l’Anglais, je ne sais pas si l’exemple est bien choisi.
    L’isolement linguistique français est une réalité, c’est le produit d’une longue histoire (la grande diffusion de la langue française, le fait que les élites scolaires ont été formées aux langues mortes, puis à l’Allemand sous l’occupation mais aussi pour favoriser la construction européenne,…), je trouve qu’elle constitue un vrai handicap et j’ai toujours dit qu’il fallait changer les choses. Maintenant, je ne suis ni ministre ni rien, je ne peux faire qu’en parler.
    Dans ma vie j’ai très peu voyagé, c’est une chose que je regrette. Mon métier de programmeur et le réseau Internet font que j’ai bossé avec des gens en Chine et au Japon sans quitter mon fauteuil. Le fait d’avoir été père nettement plus tôt que la plupart des gens de mon âge explique aussi… C’est dommage, mais c’est comme ça, je connais Genève et Bruxelles, oui, pas beaucoup plus loin. Ce n’est pas une fierté, au contraire, mais un regret. Par contre j’ai appris quelques langues, dont le Chinois (antique !).
    La question des profs d’anglais est complexe, certains sont embauchés d’abord puisque artistes, d’autres plus par hasard. Ils sont inclus à la pédagogie des écoles et apportent d’autres choses que les autres profs, justement parce qu’ils sont issus d’un circuit différent, et ça c’est nécessairement une bonne chose. Je n’en connais pas qui utilisent un livre, leur tâche est de faire écrire les étudiants.
    Nous accueillons souvent des profs chinois à l’école (comme observateurs, pour l’instant, me semble-t-il, mais ça peut changer – c’est bien différent avec les profs anglais), et des étudiants qui participent à des ateliers.

  109. By Jean-no on Mar 1, 2015

    @Menestrel : Sur l’article « écoles d’art au pied du mur », je suis bien d’accord avec l’ouverture à l’international, et je maintiens que les problèmes sont de deux ordres : l’argent d’une part (notamment au Havre, dont les étudiants sont issus de milieux nettement moins aisés que les étudiants de l’ENSAD ou de l’ENSBA), et le manque de connaissance de l’anglais d’autre part. Mais l’envie est là, et on progresse, quoi que tu en dises.
    Sur le lien recherche & enseignement, eh bien il me semble que je fais partie des gens qui s’en préoccupent et qui font des propositions, puisque c’est le thème de l’article que j’ai publié cette semaine dans Culture & Recherche. Mais là aussi, question de moyens : on demande aux écoles d’art de faire plus, avec moins d’argent (les villes étant forcées de baisser leurs budgets ces années-ci). C’est possible, mais jusqu’à un certain point seulement. Sur l’implication des anciens diplômés, la visibilité des écoles, etc., ça fait partie des choses par lesquelles je me sens aussi concerné, je sais que ça n’est pas le cas de tout le monde mais on ne peut pas m’accuser de m’en moquer. Enfin, sur la professionnalisation, c’est une question plus complexe : aller voir les gens un an après leur diplôme pour leur demander s’ils gagnent plus ou moins de 10 000 euros par an, c’est bien, mais c’est très parcellaire. Ce qui m’intéresse (et j’ai même créé un blog rien que pour en parler !), c’est d’aller voir mes étudiants dix ans après leur diplôme pour savoir s’ils ont une existence qui les satisfait. Et pour l’instant, je ne suis pas tombé sur des histoires déprimantes.

  110. By Menestrel on Mar 1, 2015

    Oui, j’avais ressenti que tu n’avais pas « voyagé ». Tu peux le regretter. Ou pas! Mais ce qui compte c’est que tu ais conscience de la différence et d’en reconnaître les conséquences. Moi, j’ai voyagé. je le regrette parfois. Parfois pas. Etre toujours un immigré sans papier n’est pas reposant.( Mais cela renforce).Mais on comprend mieux beaucoup de chose. Comme l’enseignement pour une puissance de second ordre. Comme le ressenti sécuritaire d’un noir dans metro bondé de blancs ( bobos ou pas).

    Mais pour les enfants, les miens ou les autres, je pense que voyager est préférable. Etre une victime insconsciente et prétentieuse ne me paraît pas une bonne poursuite et un bon fondement de vie. Artistique ou autres.

    PS: les methodes d’apprentissage des langues en asie ne sont pas meilleure qu’en France. Même si il y a, ponctuellement, le quantitatif. Leur internationalisme est assez tactique.

  111. By Jean-no on Mar 1, 2015

    @Menestrel : voyager est très bien, je le sais d’autant plus que je suis frustré de le faire si peu. J’encourage toujours les étudiants à le faire.

  112. By Menestrel on Mar 1, 2015

    Culture et recherche, pour moi cela implique: -Des éléments de comparaison fondamentaux ( exemple la chine).Et des methodes d’analyses incisives.
    -Une prise en comptes des moyens financiers et des sacrifices que cela implique pour la mise en oeuvre des trouvailles.
    -Une fine analyse des bocages humains à résorber et les moyens pour les atteindre.

    PS: Tu n’entendras jamais un de tes anciens étudiants dire qu’il est malheur. Ils ont été formatés à se taire et à considérer que ce sont eux les seuls responsables. Pas leurs profs! ( Sauf pour le privé qui doit faire des miracles car il est payé pour ça)

    Tu auras peut-être une réponse quand ils auront 50 ans et qu’ils pourront exprimer leur haine par délégation à travers leurs enfants.

    Tes analyses si elles ne sont pas professionnelles et incisives ne sont pas très exploitables.

  113. By Jean-no on Mar 1, 2015

    @Menestrel : ton mot de la journée, c’est « incisif » ? Je me demande ce que tu entends par là dans le contexte.
    Les étudiants que je vois ont souvent de reproches à faire à l’égard des écoles d’art, sur des points particuliers : tel prof qui était impossible, telle énergie gâchée, etc. Mais ils ne préfèrent pas en faire un plat dans les entretiens que je publie (sur lesquels ils ont un absolu droit de regard), car, disent tous ceux que j’ai vu pour l’instant, l’expérience est nettement positive.

  114. By Menestrel on Mar 1, 2015

    Oui, il faut élargir leurs bases culturelles. Mais aussi savoir qu’on va ainsi les déraciner!
    Ne pas être con a un prix.

  115. By Jean-no on Mar 1, 2015

    @Menestrel : Ne pas être con a un prix

    Eh bien j’espère que tu fais des économies !

  116. By Menestrel on Mar 1, 2015

    « Il ne veulent pas en faire un plat »? C’est déjà un contrôle. Un autre niveau, ce qu’il ne te disent pas. « Inutile de lui dire, ce serait perdre son temps ». je veux vraiment passé à autre chose. ( Du genre des trucs habituels sur les profs). Le troisième niveau les trucs auxquels il n’a pas trop réflechi et pas fait le rapport. Ce qui viendra: argent, carrière, métier …  » si je suis trop con, c’est certainement pas de ma faute. Il faut un coupable ».

    Il ne faut voir cela aussi sombre. Mais si tu veux une enquête pour des recherches. Et arriver a des convictions écries il faut qu’elle soit « incisive ».
    A ton age certains de tes anciens étudiants, avec des enfants de 20 ans, sont-ils venu te voir? Tu devrais aussi les contacter pour voir ce qu’ils veulent pour leurs enfants et pourquoi.

  117. By Jean-no on Mar 1, 2015

    @Menestrel : On peut rencontrer des gens sans faire de voyages, heureusement, et on peut, malheureusement, voyager sans faire de rencontres.
    Je ne pense pas avoir d’étudiants dont les enfants sont âgés de vingt ans, hors des quelques uns qui étaient plus vieux que moi. J’enseigne depuis vingt ans, c’est pas mal, mais pas encore assez pour voir venir les enfants de mes étudiants ;-)
    Je ne comprends pas bien ton emploi du mot « incisif » : précis ? sans pitié ?… La méthodologie de mon enquête n’est pas très scientifique, je ne demande son salaire à personne, je cause à des étudiants sortis récemment ou il y a très longtemps, etc., mais mes motivations sont assez simples : je veux savoir ce que, avec le recul, ces étudiants pensent, et je n’ai pas censuré un mot ou une réflexion, je publie chaque texte avec l’accord total de l’étudiant.
    Et dans ton école, vous faites ce genre de truc ?

  118. By Menestrel on Mar 1, 2015

    Trop facile!

    J’ai beaucoup payé à cause des voyages. Et des rencontres variées. Toi tu n’as pas voulu dépenser en voyages. Tu as toujours de bonnes raisons pour ne pas dépenser en voyages. Tant mieux pour toi.

  119. By Menestrel on Mar 1, 2015

    Par voyage je n’entends pas voyage culturel, ( du genre café du commerce exotique) mais plus voyage d’immersion. Ou démarche d’immersion « sociologique ».
    Si tu as enseigné il y a vingt ans certains de tes étudiants pourraient avoir des enfants de 20ans. Voilà une question incisive: moyenne d’âge des diplômés d’art qui ont des enfants comparés avec ceux diplômes d’autres filières. T’énerve pas: c’est une question parmi d’autres possibles.

    Incisif: précise et sans pitié ?. Oui, un peu cela.une conviction pour la qualité du résultat.
    Avec mon histoire des 3 niveaux, j’ai essayé de te donné une idée. Le mot « déshabiller » n’est pas mal non plus. Scientifique est aussi une bonne piste. Cela dépend des sciences et methodes appliquées.
    Enfin, il faut que les réponses dépassent les niveaux policées qui n’ont pas vraiment d’utilités dans notre culture très policées.

    je n’ai jamais pratiqué ton type d’enquête. Mais si on veut arriver à des conclusions utiles j’imagine qu’il faut quand même une bonne methode!

    Par contre je sais que si un professionnel ( arts et arts appliqués) veut comprendre les émotions d’un homme, pour y répondre, le bricolage n’est pas la bonne methode.
    De la même manière, des voyages sans être capable d’être incisif! Autant prendre le club med.

    les bons professionnels des arts et arts appliqués savent capter les attentes formelles et colorée etc …car ils sont incisifs. Ne pas comprendre cela c’est ignorer le fond de l’art et du « dessin ».

  120. By Jean-no on Mar 1, 2015

    @Menestrel : ça ne m’énerve pas qu’on se demande qui a des enfants à quel âge, ceci dit il faut encore essayer de comprendre ce que les chiffres signifient, il y a plein de raisons d’avoir ou de ne pas avoir des enfants.
    Je me méfie des enquêtes avec une méthode quantitative objective, qui ne fait souvent que transformer des préjugés en certitudes, je me fie plus à la méthode qualitative subjective, même si on a besoin des deux.

  121. By Menestrel on Mar 1, 2015

    D’accord avec toi sur la préférence avec la qualitative subjective. Surtout dans des métiers aussi complexes.
    Mais pourquoi pas optimiser les deux? Cela n’oblige pas à suivre bêtement les « sciences ».
    Mais n’aurais tu pas écris qu’il ne faut pas reflêchir avant d’agir/produire. Qu’il faut tout faire dans un même mouvement?

    je trouverais drôle de découvrir que les étudiants diplomés ( Je dis bien diplômés) des écoles d’art ont des enfants plus tard que ceux d’un autre type d’école! lol.
    Ensuite, il faudrait comprendre pourquoi!

  122. By Jean-no on Mar 2, 2015

    @Menestrel : je connais beaucoup de jeunes femmes artistes pour qui avoir un enfant est un handicap certain, ou qui sont persuadé que ça l’est. Mais c’est le cas dans bien des professions, le salariat se méfie des futurs congés maternité, par exemple. Pour vérifier tout ça, il faudrait faire des statistiques systématiques sur une tranche d’âge, je serais bien incapable de m’en occuper, mais bien entendu, ça serait intéressant.

  123. By Menestrel on Mar 2, 2015

    Pour les femmes et pour les hommes le questionnement.

    Question incisive: est-ce que c’est le fait d’avoir un enfant qui est un handicap. Ou est-ce les conditions de vie qui sont un handicap? Beaucoup poserait la question comme tu le fais. C’est déjà une indication sur la difficulté à analyser les ressentis.
    Oui, c’est un questionnement que tu ne peux réalisé seul.

    J’ai vu beaucoup de femmes/etudiantes étudier des projets liés à la maternité: poussette, hopitaux, livres, jeux pour enfants etc ( enfin tous ces projets seulement commerciaux!!!) Mais penser que ce  » besoin » pourrait leur être interdit par certaines situations qui leur auraient été « imposée » est d’une grande tristesse.

  124. By Menestrel on Mar 2, 2015

    Peut-être que tu devrais aussi poser des questions à la femme de ton ancien étudiant. En privé. Quand tu fais ton enquête. Elle aurait peut-être moins de « blocage » pour répondre. Surtout si elle participe un peu, beaucoup, à mettre des épinards dans la soupe.
    Des question aussi sur ses désirs handicapés d’enfants ?
    C’est assez courant les artistes qui passent de maman à la femme. Non?

  125. By Jean-no on Mar 2, 2015

    @Menestrel : ce sont des questions bien personnelles, elles demandent un peu de tact. Je ne comprends pas trop « C’est assez courant les artistes qui passent de maman à la femme. Non? ».

  126. By Menestrel on Mar 2, 2015

    Oui, du tact, de la finesse, de l’incisif ou autres methodes. Savoir les résultats de ce que l’on fait et pourquoi on le fait est quand même une preuve d’esprit n’est-ce pas?

    On peut dire que les étudiants ont vécu par leurs parents leurs années d’études. Leur mère était certainement présente.
    Après les études, 3/4 des diplômés d’une grande école d’art ne sont pas autonomes financièrement. On peut penser que la mère est encore présente pour les aider. Il arrive alors qu’une autre femme prenne le relais. Non. C’est l’amour! Mais la limite maman/femme n’est pas toujours tranchée. Surtout quand il n’y a pas d’autonomie ni habitude d’autonomie.

  127. By Jean-no on Mar 3, 2015

    @Menestrel : hmmm, je ne sais pas si l’opposition maman/femme est très utile, enfin de mon point de vue, si les femmes pâtissent souvent de problèmes qui ne touchent pas les hommes (j’ai observé parfois que dans un couple d’artistes, c’est souvent la fille, même plus talentueuse, qui se « désiste » pour la carrière de son compagnon), elles sont des étudiants comme les autres !

  128. By Menestrel on Mar 3, 2015

    Oui, c’est pour cela que si on veut avoir de bonne info sur l’ancien étudiant d’art. Et que l’on constate sa satisfaction affichée, des questions plus sincères et incisives sont nécessaires pour tirer des conclusions.
    Non seulement il ( l’ancien etudiant en art) n’est pas autonome, mais sa femme/maman a du se « desister » pour qu’il puisse encore tenir son discours morale et épanoui.

    Par « désistement » on peut aussi constater que la femme/maman qui a fait école d’art pourra faire de l’art commerciale: par exemple du graphisme. Pour que l’homme puisse encore afficher haut et fort ses refus de la compromission.
    je me demande si cela ne va pas jusqu’à faire parti du statut de l’artiste d’avoir une femme se desistant et lui donnant les moyens financier.

    Nombre d’artiste avait une « femme/maman » mais leur réputation ne permettait pas de dire que c’était le travail de la femme qui méritait salaire.
    Comme souvent dans notre charmante époque, certain peuvent penser qu’avoir les codes et les symboles fait la qualité sans qu’il soit nécessaire de l’effort. Et que, simplement, vivre « comme » un artiste fait de vous un artiste qui est la lumière du monde.

  129. By Menestrel on Mar 3, 2015

    PS:De la l’expression: cougar art et cougar design.

  130. By Menestrel on Mar 3, 2015

    PS une question: « femme/maman » pour moi il ne s’agit pas d’opposition. Mais du contraire. Elle est femme ET maman. Tu avais interprété le contraire?

  131. By Jean-no on Mar 4, 2015

    @Menestrel : je ne sais pas trop où part cette discussion, mais je remarque que tu brodes toujours pas mal. Les choses sont souvent moins compliquées, et de mon côté je ne distingue pas le graphisme du reste de l’art, ce qui m’intéresse c’est la création, qu’il y ait un commanditaire ou pas. Reste que les artistes tirent souvent le diable par la queue, mais c’est pas grave, on trouvera encore des gens comme toi pour sous-entendre qu’ils sont des assistés.

  132. By Menestrel on Mar 4, 2015

    Ou part cette discussion? Mais que tout n’est pas si simple! Que c’est même compliqué!

    Pour toi, c’est simple. Un graphiste c’est un artiste. Pour moi, je le pensais ici, comme une graphiste acceptant la contrainte commerciale. La femme-maman acceptant de se remettre en cause pour alimenter la marmite ou son maitre artiste mange. Lui ne se remet pas en cause.

    Tu écris que les artistes tirent souvent le diable par la queue. Il est écrit, par votre propre ministère, que 3/4 diplômés après quelques années ne sont pas autonomes financièrement. Mais c’est moi qui sous-entendrais (!) qu’ils sont assistés . Sacré bascule dialectique pour rester dans le simple.Ton simple.

    Donc pour toi, ils sont tous artistes. Ce sont des artistes qui galèrent. Mais que c’est pas grave puisque ce sont des artistes.
    Oui, tu as raison c’est simple. Vu comme cela. Tu t’es fait une religion. je doute que je puisse cotiser à ta religion!

  133. By Jean-no on Mar 4, 2015

    @Menestrel : c’est marrant, ta propension à t’imaginer des cas hypothétiques, puis à délirer dessus tout seul.
    La stat du ministère, c’est un an après, il me semble. En tout cas, aujourd’hui, les loyers sont hauts, l’accès à l’emploi est tardif, précaire,… Je pense qu’on a le droit d’aider ses enfants sans que ces derniers se fassent traiter « d’assistés ».
    Je trouve par ailleurs effrayante et triste ta croyance dans le fait que les artistes refusent la contrainte ou que le graphisme est l’ennemi de la création.

  134. By Menestrel on Mar 4, 2015

    Mais ou tu vas la! C’est toi qui as affirmé que je  » sous-entendais » que les artistes étaient des assistés. Et maintenant tu -affirmes- que je l’ai affirmé! C’est toi qui a utilisé le mot « assisté »! Pour basculer, après, dans la démagogie sur  » on a le droit d’aider les enfants »! Qui veux tu trompé? il n’y a personne!

    Oui les artistes refusent les contraintes de production financères. Mais en quoi c’est une croyance effrayante et triste?
    Qui a écrit que les graphistes n’étaient pas des créateurs. Ou vois-tu que c’est ma croyance?

  135. By Jean-no on Mar 5, 2015

    @Menestrel : il faut bien mal connaître les artistes pour croire qu’ils refusent les contraintes. Ils n’ont pas tellement le choix, ils sont sollicités par des marques, des centres d’art, des magazines, et ils doivent, comme tout être humain sur Terre, se demande où se doit se situer le curseur entre leur indépendance et leur besoin de remplir le frigo. Et ça a toujours été le cas. Le mythe de l’art pour l’art est une fable, et n’existe qu’avec des gens tels que Vivian Maier ou Henry Darger, c’est à dire des artistes qui n’ont jamais cherché à vivre de leur travail ni seulement à le montrer. Mais croire qu’un graphiste qui travaille pour des institutions ou des entreprises est forcément dénué d’intégrité créative est aussi faux.

  136. By Menestrel on Mar 5, 2015

    Mais oui, je suis d’accord que les artistes sont rattrapés par le réél. Sauf quelques uns qui peuvent faire ce qu’ils veulent sans « compromission ». Même parmi ceux-ci certains ont essayé de changer de « style » et il leur a fallu rentrer vite dans la grille ou leur groopies les voulaient.

    Nombreux veulent accepter les contraintes quand ils doivent remplir le frigo. Ou , plus exactement « le voudraient ». Mais il faut être simple, peu incisif, peu expérimenté pour croire qu’il leur suffit de le dire, le désirer pour pouvoir le faire et assumer.Ils le veulent mais ne le peuvent. Et ce n’est pas, à leur surprise, à eux d’apprécier si ils le peuvent
    Un graphiste artisan qui a une technique, un style,des prétentions d’honoraires, de bos discours… qui pourrait être vu comme artiste, pourra-t-il assurer la créativité renouvelèe, la rapidité d’execution, la capacité de comprendre les analyses et avoir pratiqué ces outils d’analyses, l’attitude réservée en groupe avec d’autres caractères… pour intégrer un projet avec un cdi garantissant la pèrènité du frigo?
    Sans avoir appris tout cela? Ou même avoir appris à les refuser par des démagogues!
    Certains apprendront (en 10 ans ?), d’autre jamais.

    L’intégrité créative est un joli mot. Qui fait plaisir et flatte l’égo. Mais si tu travailles en groupe dans un autre monde il t’arrivera de devoir accepter le « non ». Alors il te reste à compter le nombre de fois qu’il t’est dit « non ». Cela dépendra du nombre de partenaires et de ton niveau de rupture créative. Oui, pour protéger l’égo et la prétention il est possible de toujours dire : mais j’ai protégé l’essentiel. Mon intégrité. Même quand le curseur est à l’extrémité, coté de l’intégration. Sans cela c’est bien difficile à vivre!

  137. By Menestrel on Mar 5, 2015

    J’ai un ami, il y a quelques années il travaillait chez Publicis comme story boarder.Et venait d’être viré. Au cours d’un repas qui suivait il me montrait ses story board. Ils étaient magnifiques. De magnifiques illustrations. Il ne comprenait pas pourquoi avec un tel travail il avait été viré. De plus il se plaignait que les films commencaient à être tournés alors que ses story board n’était complétement fini.
    C’était encore les années ou nombre graphistes voulaient évoluer mais pas jusqu’au point de faire les efforts pour passer à l’informatique.( pas si longtemps que cela)

  138. By Jean-no on Mar 7, 2015

    @Menestrel : l’histoire du storyboarder n’est pas étonnante, les gens qui vivent les périodes de transition sont souvent en avance ou en retard. C’est précisément pour ça que je ne trouve pas intéressant de former les étudiants à des logiciels ni même à des métiers précis (même s’il faut le faire aussi, car on apprend en faisant), mais plutôt à une logique créative. Et la logique créative, ça se défend. Si on ne fait que ce que le commanditaire veut, on est à peu près inutile, il cherchera juste la personne la moins chère pour ce qu’il demande. Voilà à quoi sert ce que j’appelle l’intégrité créative : c’est aussi une forme d’amour-propre.

  139. By Menestrel on Mar 22, 2015

    Tout ton raisonnement est basé sur le fait que tu vois les métiers ( de la création) à un niveau technique, débilisant. Ton ignorance des métiers de création dans les entreprises fausse tout ton raisonnement. Les métiers de création dans les entreprises sont souvent plus complexes que la simple technicité mortelle.
    J’y ajouterais le fait que tu as une « vision politique » des métiers. Celle que l’on trouve souvent chez les profs. C’est encore zola et la lutte des classes.
    C’est regrettable que tu ne puisses pas assister aux réunions internes aux plus hauts niveaux des entreprises ou se déterminent les créations des entreprises.
    Oui, la logique créative se défend. Oui l’intégrité créative se défend. Mais il ne faut pas être économe des moyens à mettre en place pour le faire. Intégrité et création, ça se mérite. Ca se prépare. Ca s’équipe. C’est pas seulement un droit d’assisté.

    PS: et s’il te plaît ne pas confondre marronniers et créativité.

  140. By Jean-no on Mar 23, 2015

    @Menestrel : Toujours pas fini ? J’ai certainement une vision politique de ces questions, mais toi aussi, il n’y a qu’à voir ton vocabulaire vieille droite neuneu (« droit d’assisté » (!?), « mérite »,…).
    Ma vision des choses est très concrète : apprendre à faire, à produire, à créer, c’est une belle chose, et une question souvent technique autant que psychologique.
    Restons-en là : tu fréquentes des cadors, le « plus haut niveau des entreprises » et leurs formidables réunions, tandis que moi, humble vermisseau que je suis, je me contente de fréquenter des gens qui veulent faire des trucs bien. Tu n’envies pas mon monde, mais c’est réciproque, donc tout va bien, pourquoi insister ? Que te manque-t-il ? Quelle frustration, quel sentiment d’injustice te torture ? Je sais bien que tu ne me répondras pas à moi, mais prends le temps de te poser la question à toi-même !

  141. By Menestrel on Mar 23, 2015

    Pourquoi? Mais parce que je veux comprendre! Comment ca fonctionne dans la tête de ceux qui devraient être une dynamique positive et culturelle. Comment la France et sa culture sont à ce point plombés. Pourquoi le design et la création qui étaient une opportunité ne sont plus que des leviers au conservatisme ( A la réac pour ceux qui préférent ce mot).

    Tu vois que je me pose des questions. Des questions à la con. Comme seuls se les posent des gens de droite, nationaliste comme moi! MDR.
    NB: je me pose des questions à la con. Mais je ne vote pas! Je sais c’est mal.
    NB: Tu ne penses pas encore que la grille droite/gauche c’est has been pour ton look?

  142. By Jean-no on Mar 23, 2015

    @Menestrel : tu ne poses pas beaucoup de questions, tu égrènes tes préjugés. Je ne pense pas t’avoir qualifié de nationaliste, tu es encore en train de projeter un système de valeurs sur moi.

  143. By Menestrel on Mar 23, 2015

    Mais! je n’ai jamais affirmé que tu me disais nationaliste! Je me dis nationaliste! Ton narcissisme centre tout sur toi! mdr.
    Je ne pense pas que les questions, ce soit assez pour avoir des positions non formatées.
    Moi, des préjugés? parce que je n’entre pas dans tes jeux?

  144. By Jean-no on Mar 23, 2015

    @Menestrel au temps pour moi, tu t’exprimes de manière toujours un peu approximative, on ne sait pas toujours à quoi tu fais allusion. Je ne comprends pas tellement pourquoi tu amènes le nationalisme sur la table, du coup. Ne me réponds pas, hein, je m’en fiche un peu.
    Tu parles de jeux, mais c’est toi qui joue, qui change constamment de pied, et qui veut donner des leçons en permanence. Je ne joue pas, c’est assez concret, tout ça, pour moi.

  145. By Menestrel on Mar 24, 2015

    Mais c’est évident! Si tu ne comprends pas c’est de ma faute! lol.
    Mais si, tu joues! Tu joues au geek. Tu joues au prof. Tu joues au formateur. Tu joues au critique de films et de bd. Tu joues à l’artiste.Tu joues à l’humaniste. Mais tu n’es jamais vraiment dedans. Tu n’as vraiment jamais été « dedans » quoi que ce soit.

    Ce n’est pas un jugement. C’est parfaitement correct de ne pas être « dedans ».
    NB: Non, je ne ma projette pas! lol.

    PS; Non je ne m’exprime pas approximativement! Mais je ne suis pas adepte de l’unicité et la pauvreté des mots.

  146. By Jean-no on Mar 25, 2015

    @Menestrel : Il est assez important, quand on veut se faire comprendre, de s’assurer que l’interlocuteur est en position de le faire, non ? Au moins, tu ne tombes pas dans le jargon abscons, qui est une manière de faire exprès de ne pas se faire comprendre (et ça c’est une faute rarement justifiable), mais enfin bon, soit je suis bête, soit c’est toi, mais il n’en reste pas moins que tu me semble beaucoup te parler à toi-même, tu essaies de communiquer ta rage envers le système d’enseignement public supérieur en design sans le connaître et en projetant tes préjugés sur ceux qui y œuvrent, sans la moindre conscience de ce que nous faisons vraiment, ni du fait que nous sommes très différents les uns des autres dans notre approche, nos méthodes, notre personnalité. C’est un peu insultant puisque tu traites des individus comme s’ils étaient les représentants d’un tout et qu’ils ne pouvaient y échapper (c’est le principe du racisme, finalement), mais surtout, ça rend la discussion impossible, puisque ça signifie aussi que tu n’écouteras jamais autre chose que tes préjugés.
    J’imagine que je suis le dernier à qui tu parles puisque je suis le dernier qui répond. Je ne sais pas pourquoi je fais ça, malgré ta duplicité, ta manière de changer constamment de nom, d’esquiver les questions, etc., qui montre une grande malhonnêteté intellectuelle.

    Alors j’ai une dernière question (et je ne te publierai plus après ta réponse) : es-tu bien le président de l’école Créapole, ainsi que les nombreux indices (sur presque dix ans) le laissent penser ?

  147. By Menestrel on Mar 25, 2015

    -Ton narcissisme a encore frappé! lol. Tu ne vois qu’une option: je m’adresse à toi et je dois donc faire que tu me comprennes. Sinon c’est que je me parles à moi-même! Tu es dieu dans une ( pardon ton) église.
    Autres options: je n’ai aucun espoir que tu me comprennes.( A mon âge je ne suis plus aussi naif !!) je m’adresses à ceux qui lisent mais n’écrivent pas. J’espère plus réactions et ressentis. Ta grille est bien trop serrée et blindée pour espérer quoi que ce soit!
    -Mes préjugés et ma rage contre l’enseignement public du design? Mais il existe depuis quand cet enseignement du design dans le public? Si je m’en réfère à ta dernière question, tu sais vraiment rien de moi! Si je ne me trompe tu n’es ni designer ni artiste et personne dans l’enseignement supérieur n’a souhaité te faire confiance pour enseigner le design. Si ? Alors accuser de préjugés! N’est-ce pas plus toi qui le pratique. De manière générale n’as-tu pas l’habitude d’avoir du verbe sur tous les sujets sans avoir vraiment la matière et la légitimité pour le faire? N’est-ce pas que du préjugé pour ceux qui sont mieux placés que toi.( Et qui te laisses écrire tout seul dans tes nombreux blogs) Je ne parle pas d’accumulation mais de jugement. Ton narcissisme encore comme élément fondateur! lol.

    Pour le design, une longue histoire pour moi (50 ans?) Mais oui je suis convaincu qu’il est très divers mais dans chacune de ses branches il y a du bon et du moins bon.J’assume de croire au bien et au mal. Au bon ou mauvais design d’auteur. Au bon ou mauvais design intégré. Au bon et mauvais artiste. Au bon et mauvais formateur. Au bon et mauvais programme etc…Hé oui, je sais, c’est pas correct. Il faut trouver du bon dans tout ce qui est différent! Donner une chance aux cons! lol.
    A propos de préjugés, tu ne devrais pas croire tout ce qui est écris dans wikipédia! Il est écris que tu es prof d’université et chercheur. Pour avoir un bon dossier ( hors préjugés), ne faut-il pas d’abord être chercheur? mdr.

    Pour ta dernière question. Je ne suis plus rien depuis quelques années déjà! ( vieux retraité)

    Autrement merci de tes échanges. J’ai mieux compris la densité de votre grille et sa pérènité.

    NB: j’attends avec impatience ton blog sur la mode ou tu parleras des préjugés de ceux qui n’aiment pas les tee shirt! lol

  148. By Jean-no on Mar 26, 2015

    @Menestrel : si tu t’adresses à quelqu’un sans te demander ce qu’il peut comprendre, autant éviter. Je ne dis pas que c’est facile.
    Tu t’adresses à ceux qui lisent sans rien dire ? Mais tu crois sincèrement qu’il y a quelqu’un d’autre que moi qui ai le courage de te lire ? À d’autres !
    Tu es étonné que je ne sache rien de toi ? Alors pourquoi être si avare en détails, tout en jouant les cadors.
    Pour ce qui est du design, je m’occupe de design graphique et, surtout, interactif, et j’assiste des artistes dans leurs travaux numériques. Je ne saurais absolument pas faire une chaise ou une lampe, si c’est ce que tu entends par design, mais j’ai tout le respect du monde pour ceux qui créent les objets. J’en ai autant pour les artistes, je n’aurais jamais eu le courage d’avoir une carrière d’artiste.
    Je ne suis pas prof d’université, juste maître de conférences associé, ce qui est très différent. Et effectivement, je suis chercheur, je ne comprends pas ta remarque sur le « bon dossier » !?!
    Je ne crois pas que tu sois un vieux retraité.

  149. By Menestrel on Mar 26, 2015

     » je m’occupe de design graphique »,  » j’assiste des artistes » etc… voilà des occupations qui permettent d’affirmer que tu n’es pas dans les préjugés! lol.

    Tu es officiellement « enseignant-chercheur-associé » ou « habilité à diriger des recherches » ? Quel est ton champs de recherches? Tout?

  150. By Jean-no on Mar 26, 2015

    @Menestrel : Je ne suis pas sûr d’avoir dit que je n’avais pas de préjugés, mais je pense que tu en as plus que moi.
    Je ne suis pas habilité à diriger des recherches (habilité à suivre des thèses de doctorat), mais j’appartiens à deux équipes de recherche. L’une en tant que membre associé, à l’Université, l’autre en tant que responsable et porteur de projets, en école d’art. Mon champ de recherche est vaste mais non universel, je m’intéresse aux outils de création numérique, à la pédagogie des « nouveaux médias » en école d’art, mais aussi, dans le registre des « cultural studies », aux rapports entre fiction et réalité, à la science-fiction en général et à l’imaginaire technologique. Un peu tout ce qu’on lit sur mon blog, finalement.

  151. By Menestrel on Mar 26, 2015

    Préjugés: Oui, c’est souvent important pour toi de savoir qui a la plus grosse!L’accusation de préjugés démontre chez l’auteur la prétention imbécile que lui a atteint le niveau du savoir pour ne pas avoir de préjugés! le pauvre limité. lol!
    Le préjugé n’est pour les plus sophistiqués qu’une étape. Mais on ne peut pas faire comprendre cela à tout le monde!

    La recherche de pédagogie dans les nouveaux médias. Interessant territoire.
    A quel niveau tu positionnes tes recherches?
    -Les posssibilités qu’offrent les machines à faire de jolies images flamboyantes?
    -La contemplation de l’évolution des machines dans un monde traditionnel de l’art et du dessin? la modernisation du mammouth quoi.
    -Etre parti prenante d’actions qui moduleraient l’introduction des machines dans ce monde réac.

    Vu ta situation personnelle, tu as de bonnes raisons pour ne pas faire « 3 ».

  152. By Jean-no on Mar 26, 2015

    L’accusation de préjugés démontre chez l’auteur la prétention imbécile que lui a atteint le niveau du savoir pour ne pas avoir de préjugés! —> Hein ? Tu m’accuses d’avoir des préjugés, il me semble que tu n’en manques pas, et donc ? Ta phrase n’est pas très claire (j’ai besoin de phrases un peu explicites, je suis très premier degré et, bien heureusement, je ne suis pas dans ta tête !).
    Ce qui m’intéresse dans la pédagogie des nouveaux médias, c’est son histoire, qui est courte mais assez passionnante (cf. mon article pour la revue Étapes d’automne dernier), et ce sont les enjeux en termes de maîtrise des outils de production : à quel moment l’outil libère-t-il, à quel moment formate-t-il, comment créer ses propres outils,…
    Encore une fois, je ne peux pas comprendre ta dernière phrase, ignorant à peu près totalement ce que tu entends par ma « situation personnelle » et ne comprenant pas bien ce que c’est que moduler l’introduction des machines.

  153. By Menestrel on Mar 26, 2015

    Oui, logique. Tu es plus dans l’histoire et la l’usage des outils. Dans l’usage et la contemplation de la situation nouveaux médias.

    Pour « 3 ». cela veut dire que tu serais dans les pouvoirs d’arbitrage humains et financiers.
    Du genre il faut virer le prof d’illustration et le remplacer par un prof de 3D. ( voir mon exemple chez publicis).
    Du genre il faut un partenariat avec une entreprise privée pour avoir le budget pour l’achat d’ordinateurs.
    Tu ne peux pas ce genre d’actions puisque tu n’es pas titulaire et que tu ne dois pas provoquer les réacs pour préserver ta place!

  154. By Jean-no on Mar 27, 2015

    @Menestrel : usage, oui, contemplation, non, j’essaie d’observer et de comprendre, mais je ne suis pas passif, justement parce que je suis dans l’usage.
    Je n’ai pas de pouvoirs d’arbitrage financier et je suis heureux de n’exercer aucun pouvoir sur aucun humain, ni sur des employés que je n’ai pas, ni sur mes étudiants qui peuvent me trouver plein de défauts mais sûrement pas celui de transformer mon rôle en délire d’autorité. Mais ça m’arrive d’avoir à aller chercher de l’argent, par exemple en défendant des projets de recherche. Je n’ai pas de problèmes de pouvoir, non seulement parce que je ne suis pas titulaire (ça aide certainement) mais aussi parce que je suis assez bienveillant et pas spécialement intéressé par les conflits ni par la concurrence.
    J’aurais du mal à « virer le prof d’illustration et le remplacer par un prof de 3D » parce que je vois les gens comme des personnes, pas comme des fonctions, et que les personnes peuvent changer de rôle et donner plus que l’idée réductrice que l’on a d’eux. Par ailleurs, en vingt ans d’enseignement, j’ai vu bien des profs de matières « has-been » se révéler plus modernes et utiles que ceux qui se prétendent en pointe sur le sujet chaut du moment.
    Pour le coup, c’est la vraie force du public sur le privé, de ne pas considérer les gens comme prof de ci ou de ça mais comme des individus. Enfin la manière dont le privé traite ses agents, souvent, et ne valorise pas les personnes (voir le nombre de sites d’écoles privées importantes qui ne citent pas le nom d’un seul prof) me semble en être un beau symptôme (je n’ignore pas qu’il existe des exceptions).

  155. By elo de courville on Mar 27, 2015

    « Si je m’en réfère à ta dernière question, tu sais vraiment rien de moi! »

    Jean-Michel, alias Menestrel, tu te trompes.
    Jean-Noël t’a patiemment tendu quelques perches qui t’auraient permis de t’identifier pour continuer à discuter « à armes égales » quand il en était encore temps mais tu n’en as pas profité.

    Depuis 2002, tu as écris sur divers forums et blogs, au départ pour promouvoir l’école que tu dirigeais. Comme tu étais persuadé que chaque critique qui en était faite était l’œuvre de la concurrence, tes méthodes n’étaient pas toujours très propres. Dénoncé, tu es ensuite devenu plus prudent en prenant soin de ne plus citer ton école. Tu t’es alors contenté de taper sur tout ce qui ne lui ressemble pas. Et plus largement, sur tout ce qui ne te ressemble pas à ta vision de l’enseignement du design.
    Entre autres, tes messages ont participé, pour ne pas dire provoqué, la fermeture des forums DesignVox et Admirable design. Ils ne disent jamais grand choses si on les considère sous des identités différentes. Sauf qu’en étant étant capable de les identifier et de TOUS les rassembler, ils deviennent une mine d’informations permettant de te connaitre et de t’identifier.

    Par exemple, je pourrais citer ton petit manoir dans le Cotentin, aux volets rouges (tu y es souvent allé avec la SNCF, à ton grand désarroi) ; ton bateau de pêche ; ton chien que tu promenais pas loin de chez toi, du côté de Rivoli ; le Japon où tu as travaillé (sans en garder un grand souvenir) et dont tu parles la langue ; du pays du Soleil-levant, tu as aussi un magnifique sabre ; tu as travaillé chez SEB dans les années 70 ; tu ne dis pas non à une bonne bouteille de whisky Laphroaig ; tu es amateur de bons vins, notamment les Bordeaux et Bourgogne ; tu aimes les bonnes tables ; le poisson, que tu préfères en sashimi lorsqu’il est bien frais ; ton petit Nescafé du matin ; ton père qui était prof du côté de Cherbourg ; tes 68 ans que tu fêteras en juillet prochain ; et un tas d’autres informations qui n’intéresseront pas d’avantage les lecteurs et que tu as toi même publiées.

    Les principales lubies qui ressortent de ton œuvre anonyme tournent autour du diplôme de master (qui t’a d’ailleurs couté quelques euros — ce qui ne t’as pas empêché de troller la page Wikipedia de ta pire ennemie à ce sujet) ; des écoles publiques et universités (que tu es le seul à considérer comme concurrentes car tu dois recruter un maximum d’élèves) ; de l’administration qui t’as mis des bâtons dans les roues (et empêche encore aujourd’hui ton école de recruter d’avantage d’étudiants chinois) ; parfois aussi des syndicats, qui t’ont causé quelques soucis.

    À ma grande surprise, sur un forum, j’ai même trouvé le témoignage d’une autre personne qui avait connaissance de tes pratiques sur internet : j’étais presque déçu de ne pas être le seul sur le coup !

    Au total, tu as posté 1375 messages (hors ceux non publiés ou effacés par les modérateurs et hors forums DesignVox) identifiés sur 12 sites ; tu as utilisé 119 pseudonymes ; écrit plus de 700000 signes (de quoi remplir un livre de plusieurs centaines de pages). Voici le détail, dans le désordre :
    • Forums Admirable design / 586 messages (aujourd’hui disparus mais conservés) : Miro3, papyd, papy d, yman2, Emilie_de_Katmandou, Oupsman, Dantine, 100Mill, Hatsuni, BRAS1003
    • Forums hardware.fr / 3 messages : lise11, romainpan, arthur21D
    • Forums letudiant.fr / 1 message : lise2011
    • Forums mediabox.fr / 3 messages : samuel10, colette12, nikos14
    • Forums tomsguide.fr / 1 message : laurenml
    • Blog pingoo.com / 3 messages : senate, Julien
    • Blog lysergid.com / 2 messages : Le psy, Jo
    • Blog designetrecherche.org / 26 messages : Léon, Alain, Roland, Laure, Nadine R, marie Paule, Jean lou, Gogo, Christelle
    • Blog de Jean-Jacques Birgé / 38 messages : jaune, Noir, intermarché, Renée, Léon, paul, Lucienne, Dominique, jack, x, amélie, nemos, lucien, julien, joseph, Justine, big brother
    • Blog de Étienne Mineur / 315 messages : miro3, Pierre Noel, I need you, Toulouse, Loic;, Jules, Julien, Le pape, max, Julie, Maryse, paul, Antoine, Clément, marcel, Jean, Rodin, simone, Panda, Bibinocle, marcus, Paule, lucien, Tchen, Katsumi., Pierre, leonard cohen, Christ, flic, Martine, kmer ouge, la ménagère, toto, eleonore, camy, marc, Lapalice., Marc L…La palice., Béria, Designus, Vico, hector, Benoît, cémoi, David, sǝlɹɐɥɔ-uɐǝɾ, Isabelle, Charette le vendéen, sébastien, 2008, 2009, Trop c’est trop., Pierrette., nonjeneroulepasen4x4, C’est pas vrai!
    • Blog Jean-Noël Lafargue / 397 messages : Menestrel, Julie, Léa, julius, david, josiane, pierre, sein, naomi, Richard, julien, olive, lolo, martine
    • Forums DesignVox : ont dû fermer suite à des menaces judiciaires après un important trolling concernant les écoles de design. Dont je n’ai malheureusement pu récupérer les messages.

    Quitte à lire tous tes messages, j’en ai profité pour constituer un petit best-of de tes interventions d’anthologie. Comme par exemple ce fil de discussion sur Admirable design en 2005, dans lequel tu as utilisé sept pseudonymes différents pour jouer différents rôles et te soutenir/répondre toi-même. Je les publie ?

  156. By Menestrel on Mar 27, 2015

    Pourquoi tu ne nuances pas tout ce que tu écris? ( Oui, je sais moi non plus)!
     » Délire d’autorité » il y a quand même un curseur non. Jamais chez toi l’usage de ton positionnement de prof? prenons un jeune, un étudiant, un employé qui a le nez sur le guidon qui dessine les grains de beauté et refuse les champs du possible. Pour aucun d’en eux tu penseras: celui-la a un potentiel je vais user un peu de mon autorité pour l’entrainer  » vers le bien » que moi vieux prof je connais peut-être un peu mieux? Tu te diras : le changer c’est trop d’emmerdes.J’attends juste de voir ce qui va se passer? Oui, je pense que tu es ce genre. ( Sauf dans ton ile).
    Et le vieux prof réac illustrateur qui passe son temps à dire que l’ordinateur c’est de la merde. Que la machine tue la créativité. Qu’il n’y a aucune intelligence dans la production info etc…Tu tends l’autre joue? Ou tu écris un article dans un de tes blogs pour te venger? LOL. C’est beau ce que tu dis sur l’humanisme. Mais tu n’as pas l’impression que c’est un peu convenu. Du genre de ce que peut dire quelqu’un qui a toujours refusé, justement, d’être confronté à la réalité humaine pour être tranquille. Et laisser ce boulot aux autres.

    C’est dans ce sens que tu parles de la vrai force du public sur le privé? Ce n’est pas juste de la propagande? Dans ce public ( et aussi le privé) ou personne n’est responsable. Ou chacun pense avant toute chose à ouvrir le parapluie et se laver les mains. Tu es sur que là tu n’es pas à un niveau de préjugés positifs.Et qu’if faudrait chercher, si tu es chercheur.
    Tu n’es pas titulaire n’est-ce pas? Le public a bien décidé que tu étais un individu de « seconde zone » Seul le privé ferait cela d’après toi?. Oui mais il n’y a pas de système pour penser cela. Et pas de responsable à pointer. Tu n’as jamais été viré dans le public? Reims ou ailleurs? la encore pas de responsable à désigner. Juste c’est la faute au capitalisme, à l’europe, à la société etc.. Et le viole des gamines de 6 ans? Pas de responsable? Et les grands massacre d’Etat fonctionnaires pas de responsable?
    Tu peux avoir choisi personnellement de ne pas t’impliquer. De ne jamais  » être dedans ». Mais développe un peu tes préjugés positifs sur le public qui lui ne serait qu’une machine positive contrairement au privé. C’est quand même d’une très grande naiveté pour ton age. MDR. Dans ta situation tu risques d’être jeté par ces humanistes doués pour faire anonymement, sans prise de responsabilité, des saloperies.
    L’Etat qui considère les individus! Sincèrement là, je tombe assis. Ou je suis un extraterrestre. Ou c’est toi.

  157. By Jean-no on Mar 27, 2015

    @Menestrel : prenons un jeune, un étudiant, un employé qui a le nez sur le guidon qui dessine les grains de beauté et refuse les champs du possible

    On dirait du Daniel Goossens ! « Dis-donc, mon petit Bradley, tu as le nez sur le guidon, tu dessine les grains de beauté et tu refuses les champs des possibles, ça ne va pas du tout ça ».

    Je ne dis rien sur l’humanisme, je ne pense pas avoir souvent utilisé ce mot, qui est très chargé historiquement. J’essaie d’être bienveillant, ce qui peut passer par le fait de dire des choses que l’autre n’a pas envie d’entendre, bien sûr.
    Le vieil illustrateur qui déteste l’ordinateur, même s’il a bien tort, a forcément des choses précieuses à transmettre.
    Je ne suis pas titulaire, en partie par choix (par choix en école d’art, mais, à l’université, parce que je n’ai pas fini ma thèse). Je détesterais être imposé à mon employeur par la loi. J’ai été viré d’Amiens, avec quinze collègues, je raconterai ça ici un jour. Je ne pense pas avoir parlé du capitalisme, etc., et je comprends mal ton glissement avec le viol des gamines de six ans ou les grands massacres d’État fonctionnaire (?).
    Je connais les qualités comparées du privé et du public. Dans le cas des écoles d’art, une école peut avoir comme prof quelqu’un qui a connu la célébrité et le succès il y a vingt ans, et plus depuis… Certains y verront un ringard, mais pour ma part, j’ai souvent vu des profs de ce genre apporter de grandes choses. J’aime la continuité du public. Le privé est sensible à la direction du vent, à la dernière mode, et aux exigences pas toujours avisées des parents-qui-paient et des élèves-qui-ont-des-parents, situation que j’ai trouvé peu confortable lors de mes années dans le privé, même si j’y ai eu d’excellents étudiants. Le fait que tout soit payé à l’heure fait aussi que l’équipe pédagogique n’en est pas vraiment une, on se voit peu (enfin de mon expérience).
    L’État peut être une machine très cruelle (cf. les écoles primaires & secondaires), mais en école d’art, oui, la valeur des individus est considérée, elle est au centre du recrutement comme de la pédagogie. Ce qui n’empêche pas des errances et des horreurs.

  158. By Jean-no on Mar 27, 2015

    @elo de Courville : quelle enquête !
    J’ai bien plus de trois-cent et quelques messages, il y a aussi le tapis de messages d’insultes, non-publiés.

  159. By Menestrel on Mar 27, 2015

    Tu as dit être dans la recherche pédagogique dans les nouveaux médias. N’est-ce pas le sujet?
    Mais tu souhaiterais faire ces recherches sans effleurer les profs? La pédagogie sans parler de formation, choix, salaire … des profs. quelles recherches pédagogiques! Mais c’est évident que l’illustrateur à des mérites. Mais là n’est pas la question. La question est pédagogique: donc des arbitrages entre différentes disciplines! C’est là ton territoire de recherche: les arbitrages entre les disciplines.Non? La quantité horaire des programmes étant limité. Autrement il n’y a pas de sujet. Pourquoi tu ne veux pas voir qu’il y a de la communication entre les profs du privé. Il y a même des permanents!
    Tu dis aimer la continuité du public: ne fermerais-tu pas les yeux? Quelle continuité dans les écoles ou tu as enseigné? reims? Le havre? Changement de politiques brutaux! parachutage régulier de directeurs qui veulent laisser leurs marques tout les 2/3 ans.Pas de vrai vision …Il y a « pour certains profs » une continuité. Mais cela ne permet pas de parler de continuété d’ecole, de pédagogie, de vision.

    @elo de courville:

    Oui quelle enquête! 13 ans d’exploration et de recherches d’indices! Une vraie passion. Un vrai acharnement. Aveugle! On ne prête qu’aux riches. Mais tu tappes à côté. J’imagine que tu vas continuer.

  160. By Menestrel on Mar 27, 2015

    PS: Courville, c’est prés de Reims. Il faut y voir un message?

  161. By elo de courville on Mar 28, 2015

    Comme pour se protéger ou pour compenser l’énergie dépensée à écrire sous anonymat, il s’exprime très peu sous sa véritable identité. À peine un talk au Creative Day à se mettre sous la dent et quelques lignes sur son manoir en Normandie, sur une page touristique. De maigres infos qui, comparées à la totalité de ce qu’il a pu écrire anonymement, suffisent pourtant à le confondre. En détail :

    À propos de la conférence du Créative Day :

    Il ne manque pas d’y évoquer ses sujets de prédilections avec, en bonus, dès fois que l’on aie encore des doutes, quelques formules bien à lui comme par exemple le mot design interdit ; la distinction entre usagers et clients ; son étonnement face à ceux qui critiquent la société de consommation ; ou encore l’utilisation particulière faite des mots « révolutionnaire » (à la place de rebelle) ou « nationaliste » (à la place de patriote). Ce ne sont que des exemples puisqu’en réalité, on retrouve la quasi-totalité du contenu de ce discours dans l’étendue des messages que tu as postés, parfois même mots-pour-mots (« un coeur, un cerveau, une âme ») :

    En conférence filmée au Creative Day : “Monsieur Mantelet a regardé sa femme — oh excusez-moi, je me suis trompé — n’a pas regardé sa femme mais a regardé ses mains et il a voulu aider sa femme à presser la purée”
    Extraits correspondants parmi ses messages sur internet :
    • Sous le pseudo Miro3, forums Admirable design, 12 septembre 2005 : “(…) 3- t ‘occupes pas de ceux qui regardent la mains . c’est trop tard pour eux .(…)
    • Sous le pseudo Miro3, forums Admirable design, 12 septembre 2005 :(…) Ils assument le besoin de sélectionner brutalement leurs partenaires . Ils ne s’interessent pas a ceux qui regardent que leur mains . Ce sont des createurs concepteurs complet (…)

    En conférence filmée au Creative Day : “la femme n’avait pas d’âme, la femme n’avait pas de cerveau, la femme n’avait pas de cœur“
    • Sous le pseudo martine, blog Jean-Noël Lafargue, 19 décembre 2008 : “(…) Pour apprendre qu’ils ont un coeur, un cerveau, une âme et un vrai savoir faire.(…)“

    En conférence filmée au Creative Day : “À cette époque, on a commencé à créer ce que l’on a appelé l’esthétique industrielle. C’est une innovation essentielle. On en a cependant pas beaucoup parlé parce que ça se passait dans les entreprises et que les entreprises ont autre chose à faire que d’écrire l’Histoire ; elles se contentent de faire du chiffre d’affaire. On a donc fait de l’esthétique industrielle pour vendre ; pour satisfaire le client.”
    • Sous le pseudo 100Mill, forums Admirable design, le 18 novembre 2005 : “Il y a eu l’esthétique industrielle , le design industriel maintenant sans les sciences humaines le designer n’est pas au top .”
    • Sous le pseudo 100Mill, forums Admirable design, le 3 octobre 2005 : “Creapole, c’est toujours portes ouvertes . Les travaux sont exposés ainsi tu pourras comprendre le proces du design . Peut-etre tu confonds design et esthétique industrielle .”
    • Sous le pseudo papy d, forums Admirable design, le 8 novembre 2005 : “Mon évolution de l’esthétique industrielle vers le design n’a été effective que par le fait que les dirigeants m’ont permis d’aller au contact de la production .”

    En conférence filmée au Creative Day : “vous savez donc que la notion de client n’existe toujours pas. Dans nombreuses parties de notre pays, on appelle encore ça des usagers.”
    • Sous le pseudo Clément, blog Étienne Mineur, 15 décembre 2008 : “(…) j’aimerais savoir si je suis le seul à trouver limite d’être considérer comme un « usager » par la sncf? Pourquoi ne sommes pas nous des « clients »? Un usager a des devoirs… un client a des droits!”

    En conférence filmée au Creative Day : “En 1979, j’étais au Japon.” [la suite de la conférence indique qu’il y a vécu et travaillé]
    • Sous le pseudo sein, blog Jean-Noël Lafargue, 1 octobre 2010 : “(…) Je viens de te dire que j’ai vu Kurosawa AU JAPON, pou y avoir vécu. (…) C’est quand même plus sourcé d’avoir une opinion sur kurosawa après avoir vécu au Japon que pour avoir lu des guides touristique culturel pour gaijin snobinards. Tu sais vraiment ce que veut dire le côté féodale du japon? Non! Certainement pas.
    J’ai parlé des ainous avec des japonais. Ce n’est pas un sujet que l’on aborde avec des étrangers qui pourraient pas comprendre. J’ai parlé aussi des blacku mine. Tu connais? (…)
    [Parmi de nombreux messages ou il parle du Japon]

    En conférence filmée au Creative Day : “number one”
    • Sous le pseudo 100Mill, forums Admirable design, le 28 septembre 2005 : “Angelstar a écrit pour strate collége : trop repliée sur elle-meme , à se congratuler en pensant qu’elle est la number one … ”

    En conférence filmée au Creative Day : “On devient de plus en plus nationaliste quand on est à l’étranger » et « En tant que jeune nationaliste Français installé au Japon” [emploi particulier et maladroit du mot nationaliste à la place de rebelle]
    • Sous le pseudo julien, blog Jean-Noël Lafargue, 25 avril 2009 : “Tu peux ne pas me croire. Mais je suis un nationaliste. Et je voudrais une chose: que les écoles d’art fonctionnent bien. Et ce gachis m’énerve.”

    En conférence filmée au Creative Day : “En France, la réaction a été « les japonais nous copient ». C’est faux. Les japonais ne copiaient pas. Ils exploitaient l’innovation en faisant de l’innovation de conquête. On a donc perdu pas mal de choses comme les motos, les chaussures… notre industrie a subit énormément de coûts, non pas parce que les japonais étaient innovateurs mais surtout parce qu’ils étaient conquérants.”
    • Sous le pseudo 100Mill, forums Admirable design, le 14 octobre 2005 : “A cette époque , la france a été envahie par : les radios japonaises bon marché etc.. les motos japonaises etc… les appareils photos japonais etc… etc…. et les esthéticiens industriels sont restés sur leurs certitudes d’avoir la vrai qualité . Ils ont méprise les produits japonais et les japonais . Avec force prétention ils ont crée  » le peril jaune  » beau concept pour rester assis sur son cul de certitudes et ne pas changer .”

    En conférence filmée au Creative Day : “Je me suis intéressé à notre université et j’ai découvert un bunker” [ci-dessous, juste un exemple parmi plus de 142 occurrences sur la critique des universités — rien que ce fil de discussion en dit déjà long]
    • Sous le pseudo 2008, blog Étienne Mineur, 13 septembre 2008 : “(…) Avant je connaissais les symptômes de la maladie de l’université. Maintenant j’en connais les virus. (…)”

    En conférence filmée au Creative Day : “On est contre les marques, on est contre les publicistes, on est contre la société de consommation, etc. On ne peut pas s’appuyer sur une telle structure pour évoluer.”
    • Sous le pseudo Miro3, forums Admirable design, le 1 septembre 2005 : “(…)Avec des professeurs graphistes qui rejette la pub , la societe de consommation, l’informatique etc.. Tu refuseras de travailler dans les agences de pub et les societes qui ont un budget pub . ta mere et ton amie te paieront tes pates jusqu’a 35ans .(…)”
    • Sous le pseudo marc, blog Étienne Mineur, 29 novembre 2008 : “(…) c’est une école de « visuel » quand même! Ils sont tellement terrorisés de faire de la pub comme une entreprise de la société consommation, qu’ils ne font plus rien! (…)”
    • Sous le pseudo 2008, blog Étienne Mineur, 22 septembre 2008 : “(…) Et les profs les formatent à:
    -refuser la société de consommation. -être contre la pub. -rejeter les marques.(…]”

    En conférence filmée au Creative Day : “En 1981, il a été créé en France une école qui s’appelait École supérieure du design industriel (ESDI). La première école, en France, qui utilisait le mot ”design industriel”.”
    • Sous le pseudo 100Mill, forums Admirable design, le 18 janvier 2006 : “L’esdi était une « petite » école . C’est un » petit « admiratif . La PREMIERE école de design crée en 1981 . Dans la solitude et l’originalité . Alors que le mot design était interdit par la loi . . Il a fallu attendre 2005 pour qu’il y ait des B.T.S design dans le public . 24 ans de retard . Et que l’on ne me dise pas que création industriel veut dire design industriel .”
    • Sous le pseudo naomi, blog Jean-Noël Lafargue, 22 septembre 2009 : “En 81, avec Lang, il n’y avait pas d’école de « design ». Le Mot design était interdit par le loi. Car « trop américain » :le mal quoi. C’est la date de la création de l’ensci.Pas une école de design mais de création industriel.
    il y avait bien une école. L’esdi. Ecole Supérieure Design industriel. Mais c’était une école privée. L’histoire oublie le privé, quand l’histoire est écrite par les universitaires d’état.”
    • Sous le pseudo 100Mill, forums Admirable design, le 11 octobre 2005 : “Ce syndicat UFDI officait à l’esdi . Quand une personne a voulu introduire l’économie dans cette école , il s’est fait attaqué de toute part . Ce précurseur avait pourtant raison . Même encore maintenant ces vieux ont des soutiens qui font du mal a des jeunes qui ne savent pas .”

    En conférence filmée au Creative Day : “En 1961, on capotait la fonction. En 1981, on commençait à remettre en cause la fonction pour améliorer la forme extérieure. [Image d’une 2CV décapotable à l’écran] C’est à dire qu’en 61, on avait un châssis sur lequel on mettait une capote alors qu’en 81, on remettait en cause le châssis pour que la capote soit intéressante.”
    • Sous le pseudo papy d, forums Admirable design, le 8 novembre 2005 : “Mon évolution de l’esthétique industrielle vers le design n’a été effective que par le fait que les dirigeants m’ont permis d’aller au contact de la production . J’ai ainsi eu l’opportunité d’aller plus loin que le dessin de l’enveloppe ( style et restyling ?) L’intérieur du produit est venu à ma portée pour améliorer le beau de l’enveloppe . De nos jours , la maîtrise de l’intérieur industriel du produit n’est pas suffisant pour le Designer moderne . Il doit aussi avoir à sa portée la connaissance réelle des leviers de décision de l’intérieur de l’entreprise . Et ceci pour être un Désigner d’aujourd’hui . Mais c’est insuffisant pour le Designer de demain .”

    En conférence filmée au Creative Day : “Dans cette école, j’ai fait rencontrer trois choses : la dimension sciences humaines, la dimension arts & techniques et la dimension management.”
    • Sous le pseudo papy d, forums Admirable design, le 20 novembre 2005 : “Je suis heureux de constater , sur ce post , la présence de 2 ou 3 désigners qui ont parfaitement intégrer les dimensions modernes du design . A savoir, que les simples contraintes industrielles et esthétiques , indispensables , ne sont pas suffisantes . Qu’une dimension de sciences humaines doit être maitrisée et mise en oeuvre . Ceci n’est ,en rien ,une nouveauté dans l’évolution du design , mais trop peu nombreux sont ceux qui ont à coeur de mettre cette dimension en pratique avec compétence et réalisme . Comme rappel historique , j’attire votre attention sur l’année 1995 . C’est à cette date que Créapole a lancer son concept  » création et management  » qui ,dans son développement , signifiait que chaque produit devait être parfaitement ciblé sur les besoins , ( au sens large ) respectés , des consommateurs . Il ne s’agit pas ici de faire la publicité pour cette école mais de remarquer que cette volonté et ce positionnement précurseurs entrainèrent force réation , qui , sous divers pretextes prédendaient défendre la seule dualité industrielle – artistique dans la création industrielle . Et refuser la prises en compte des désirs et besoins complexes des consommateurs.
    Après dix années , il est difficile de prétendre que les mutations et les ouvertures nécessaires soient largement acquises à cette ouverture . Nous rencontrons plus souvent de simples postures , attitudes , discours convenus d’oportunisme .

    En conférence filmée au Creative Day : “Ce qui était totalement inacceptable en France puisque chacun appartenait à sa corporation et la transversalité était un discours du café du commerce mais n’entrait jamais dans les faits”
    • Sous le pseudo Dantine, forums Admirable design, le 28 septembre 2005 : “Le designer prend ce qu’il y a d’opérationnel dans des corporations sclérosées : sociologie ,psychologie, philosophie marketing etc Il dépoussière les sciences humaines (…)”
    • Sous le pseudo marc, blog Étienne Mineur, 3 septembre 2008 : “(…) « Transversalité », Oui, dans ma jeunnesse. Les années 70. C’était trés tendance. C’était pluridisciplinarité. Ce n’est resté qu’une belle phrase creuse, pour ceux qui ont un esprit « spécialisé ». Pour d’autres cela fait avancer les choses. (…)”

    En conférence filmée au Creative Day : “le statut, l’imaginaire, étaient beaucoup plus importants que la fonction. Des chaussures pour marcher, c’était déjà fait. Par contre, créer, le statut, l’imaginaire, le rêve, pour donner à des jeunes une existence qu’on ne leur donnait pas en dehors de leur propre vie, Nike l’a compris.”
    • Sous le pseudo papyd, forums Admirable design, le 21 février 2006 : “(…) Ce groupe se différencie du groupe qui dessine , non pas pour s’exprimer , mais pour exprimer les émotions des autres . Les émotions, les rêves , les envies etc … des autres . Ceux-ci ont une tournure d’esprit , un instinct , un savoir faire , un feeling etc… pour interpréter les « besoins » des autres . Et mieux , ils ont la capacité , difficile , de traduire ces émotions en lignes , formes , matières … Et tout cela dans un bon timing .(…)

    En conférence filmée au Creative Day : “À titre indicatif, je vous parle de Monsieur Toubon. En 1994, en France, il a été voté une loi interdisant les mots d’origine anglaises. Ce qui veut dire qu’un mot du genre ”design” ne pouvait pas être utilisé dans les organismes publiques. Aucune école n’avait le droit d’utiliser le mot “design”.” [une anecdote qu’il est à peu près le seul au monde à citer]
    • Sous le pseudo Dantine, forums Admirable design, le 2 novembre 2005 : “(…) Et le mot design , lui meme, est interdit par l’état . (…)”
    • Sous le pseudo 100Mill, forums Admirable design, le 18 janvier 2006 : “(…) Alors que le mot design était interdit par la loi .(…)”
    • Sous le pseudo naomi, blog Jean-Noël Lafargue, 22 septembre 2009 : “(…) Il y a seulement 15 ans le mot design était interdit pas des gens comme toi. Au nom des régles.(…)”
    • Sous le pseudo naomi, blog Jean-Noël Lafargue, 22 septembre 2009 : “En 81, avec Lang, il n’y avait pas d’école de « design ». Le Mot design était interdit par le loi.(…)”
    [Amusant : il cite aussi cette formule dans ce fil de commentaire, en date de 25 février 2015]

    En conférence filmée au Creative Day : “il était un étudiant marginal. Musique, tags sur les murs, cheveux… enfin bref, c’était un révolutionnaire” [là aussi, comme pour le mot “nationaliste vu précédemment, une utilisation particulière du mot révolutionnaire, à la place de rebelle]
    • Sous le pseudo naomi, blog Jean-Noël Lafargue, 22 septembre 2009 : “Question esthétique, il n’y a pas photo entre la fille à droite et le garçon révolutionnaire (cheveux longs!) à gauche.”

    En conférence filmée au Creative Day : “En 2006, un groupe d’ingénieurs sont venus nous voir et nous ont dit “nous voulons créer un robot, voulez-vous nous aider”. Nous avons participé à l’aventure ; nous avons mis un groupe d’étudiants sur le sujet. Certains d’entre vous connaissent Nao. Nao a été conceptualisé au niveau design et créativité par des étudiants de Créapôle, en partenariat avec ce groupe d’ingénieurs”
    • Sous le pseudo Alain, blog Design et recherche, 1 octobre 2011 : “Nao le robot. Très connu. Symbole des avancées technologiques de la France. Avec son design très apprécié. Pourquoi cette gloire? Parce que ce n’est qu’une petite société. Une belle histoire de petits ingénieurs qui réussissent. Mais qui connait ceux qui ont designé cette utopie? Personne ou presque. Ces designers ne sont pas dans la culture dominante Française pour les relais d’opinions. Ces designers sont des étudiants de l’école Créapole. Nao a été conceptualisé pendant leur scolarité, comme un projet rénuméré. Mais voilà, Créapole est une école privée.”
    • Sous le pseudo Menestrel blog Jean-Noël Lafargue, 11 février 2011 : “Bricoler avec une photocopieuse japonaise pour encourager des jeunes à faire des automates pour suivre schoffer? En 2015? Alors que Nao a déjà 1Oans!”

    En conférence filmée au Creative Day : “le mot « master » était interdit. Mais dans les années 2011, les universités ont commencé à créer le master design.” [ci-dessous, quelques exemples parmi 37 occurrences à propos du master — dont l’utilisation frauduleuse à couter une condamnation à notre homme]
    • Sous le pseudo julien blog Jean-Noël Lafargue, 25 avril 2009 : “Si tu es sincére dans ta prétention à la recherche de la neutralité, il faudrait que tu assistes aux jury de master d’une « bonne » école privée. Ou que tu ailles voir les travaux qui sont présentés dans leurs locaux. Souvent les écoles privées montrent et communiquent beaucoup. Pas par vice, mais par nécessité. La nécessité de contrer la propagande, la désinformation, les clichés et la mauvaise foi.”
    • Sous le pseudo julien blog Jean-Noël Lafargue, 26 avril 2009 : “par « école » j’entendais ton université parisienne. Ta réponse est par rapport à cette université?
    C’est quoi cette connerie de vrai et faux master? Le master de des écoles sous tutelle serait vrai. Sinon ce serait faux? Encore cette attitude totalitaire de l’universitaire.
    Si je ne me trompe la réforme LMD n’est pas si ancienne. Et des écoles étrangéres et privées faisaient déjà passer des masters en France alors que l’université faisait, comme il se doit, gréve pour empécher l’arrivée du LMD en France.”
    • Sous le pseudo julien blog Jean-Noël Lafargue, 26 avril 2009 : “Je suis d’accord avec toi « reconnu par l’état » n’a aucun fondement légal. Les écoles sont agréées par l’état. Et cela peut-être un dipôme d’état. Ou un master (sans guillemet) d’école.”

    En conférence filmée au Creative Day : “Cependant, entre-nous, notre diplôme est plutôt un diplôme de designer-concepteur. On ne veut pas que notre diplôme soit des années 81 ; on veut que notre diplôme soit du XXIe siècle, tourné vers l’avenir. On préfère le mot « designer-concepteur » ou « concepteur-créateur » plutôt que « designer industriel » qui est l’exemple du passé qu’il faut dépasser.”
    • Sous le pseudo Dantine, forums Admirable design, le 4 octobre 2005 : “A mon avis il te faut avant tout t’impregner , percevoir l’immensité du métier de designer ( Concepteur-créateur pour les affranchis )”
    • Sous le pseudo 100Mill, forums Admirable design, le 4 novembre 2005 : “(…) Si le designer est un concepteur createur pragmatique il n’est pas pret de disparaitre .”
    • Sous le pseudo Miro3, forums Admirable design, le 13 septembre 2005 : “(…) Pour les braimstorming, les phases reflexions entre designers top t’as pas besion de carte de visite ; Nous sommes entre nous des concepteurs créateurs qui utilisent tous les outils et ceux qui les tiennent . (…)”

    En conférence filmée au Creative Day : “Il est bien évident que dans notre société actuelle, il y a toutes sortes de création ; toutes sortes de design. Vous avez des personnes qui sont encore en train de faire du « design presse-purée » ; vous avez des gens qui font de l’esthétique industrielle ; vous avez des personnes qui font de la création industrielle. Tout cela, toute cette histoire, est encore présent aujourd’hui et c’est à vous de savoir dans quel registre vous êtes et ce que vous voulez faire dans votre entreprise ou dans votre vie.”
    • Sous le pseudo Miro3, forums Admirable design, le 12 septembre 2005 : “(…) Ce post est assez confidentiel pour qu’à des
    fins pédagogiques je divise le monde des designers en trois catégories .
    Ligue 1
    Les designers qui ne dessinent pratiquemnt plus . PDG , grands directeurs , chefs de projets consequents . Ils sont liés à la vie à la mort des entreprises , des parts de marché, des chaines de productions, des conquetes intenationnales . Ils jugent, ils assument . L’ingénieur ? service technique. Marketeur ? Source d’information parmi d’autres . Ils evitent toute discussion avec leurv fille qui est en troisiéme année d’histoire de l’art à l’université qui sait tout sur le design . Mais ne sait pas qu’elle parle des annees 7O Ce que cree ces designers sera dans les musée d’etat dans une ou deux générations . Une récupération bien tardive .
    Ligue 2
    Ils dessinent et vont montrer leurs dessins – et autres choses – aux décideurs . Ils savent donc argumenter justement . Ils ont vue large des bloquages . Des contraintes . L’ingénieur le jalouse car il se sait professionnellement incomplet ; Ces designer ont la notion du temps , ils sont denses . Peu impresionnables par les corporations sur le déclin . (…)
    Ligue 3 – Ils ne mordent pas .
    La pietaille , les lieutenants . Il dessinent, ils dessinent Parfois ils realisent eux-memes ce qu’ils dessinnent Quelquesois un de leurs dessins de la normalitude . La il y a quelque chose Mais ils ne vont pas presenter defendre eux memes leurs dessins aux decideurs , aux clients ..
    D’autres s’en chargent . Ils veulentetre compris aimés respecter par le monde entier . et ils veulent que ca vienne tout seul . Ils passerontd des heures dans les memes débats . Beacoup mourront , beaucoup survivront dans le mobilier , le luminaire, l’art de la table , les bijoux . Ils ont plus la culture art design , design d’auteur . Ce sont plus des créatifs que des createurs . Souvent ils viennent des ecoles d’art , d’architecture , souvent du public . mais comme il faut manger !!!“

    En conférence filmée au Creative Day : “On commence par une chose qui s’appelle la psychologie cognitive, l’ethnologie, l’ethno… cologie [ne se souvient plus et a du mal à lire le mot écrit à l’écran], enfin bref, toutes ces disciplines des sciences humaines…”
    • Sous le pseudo Dantine, forums Admirable design, le 28 septembre 2005 : “Le designer prend ce qu’il y a d’opérationnel dans des corporations sclérosées : sociologie ,psychologie, philosophie marketing etc Il dépoussière les sciences humaines Il utilise un savoir et un savoir faire qui lui est propre . C’est une profession adulte . Il y a des formations pour ca .”
    • Sous le pseudo 100Mill, forums Admirable design, le 19 octobre 2005 : “Le design limité au fonctionnel et à l’esthétique ! c’est les années 80 . Cet objet qui ne sert à rien ! Un objet qui existe sert toujours à quelque chose pour un designer . Le design , c’est aussi de la sociologie , de la psychologie ….. des sciences humaines . As-tu lu les phrases de créapole ?”
    • Sous le pseudo papyd, forums Admirable design, le 11 janvier 2006 : “(…) Peut-être la France fait des motos de BTS création induistrielle et le Japon des motos de master en design ?
    La France rêve des motos auxquelles participent des techniciens des le debut : des mots qui fonctionnent . Le japon fait des motos qui se vendent car la sociologie , l’analyse est faite en évacuant en amont le trop technique ? (…)”

    En conférence filmée au Creative Day : “et il y a l’analyse des POUVOIRS. Quels sont les pouvoirs au sein d’une entreprise qu’il faut encadrer ?”
    • Sous le pseudo 100Mill, forums Admirable design, le 10 octobre 2005 : “Le métier de designer, en haut de l’échelle , n’est pas de dessiner mais de conceptualiser des produits qui tiennent comptes des contraintes Il y a les contraintes écrites. C’est les plus faciles . Mais aussi les contraintes nondites . Les plus importantes . Celles qu’il ne faut pas écrire car elles blesseraient telles ou telles personnes , tels ou tels pouvoirs etc..

    En conférence filmée au Creative Day : “planches-matières”
    • Sous le pseudo sein, blog Jean-Noël Lafargue, 2 septembre 2010 : “(…) A mon époque on allait faire du fromage de chèvres dans le Larzac. Maintenant on va faire une planche matières dans les montagnes de Norvège. (…)”

    En conférence filmée au Creative Day : “Un designer, un créateur, doit non seulement avoir des idées mais le pouvoir de leadership à l’égard de corporations qui n’ont pas envie de se bouger. Il y a beaucoup de personnes ou de corporations qui sont figées et le chef de projet doit avant tout être quelqu’un capable de faire bouger d’autres groupes culturels au sein de l’entreprise ou au sein de la distribution, pour que ce produit soit vendu.”
    • Sous le pseudo papyd, forums Admirable design, le 11 janvier 2006 : “(…) Les designers-concepteurs , les designers stratégiques Ceux qui doivent torde le cou a des inerties humaines . il font des concepts forts , originaux . Alors cela dérange . Les habitudes , les conservatismes , les manuels , les techniciens etc… Toutes sortes d’hommes doivent être bougés , les ingénieurs , les financiers , les fonctionnaires , les syndicalistes ,les corporations , les intelligences fermées . Et pas les moindre : les cons . Gueuler certainement , mais bien d’autres moyens aussi . (…)”

    À propos du manoir normand :

    Sur un page internet :
    “Différents travaux de restauration ont été entrepris par les nouveaux propriétaires, Jean-Michel L. originaire de Sottevast et son épouse [masqué], une japonaise. C’est lors de leurs études en France, à l’université que les époux se sont connus. Ils se sont mariés en 1975 à Sottevast et ont vécu et travaillé au Japon dans les relations culturelles entre les deux pays. Depuis une quinzaine d’années ils sont établis à Paris et créent une école dédiée à la création, au management, formant des designers. Ils sont tombés amoureux de Lillemont. « Etrangère, horsain comme on dit par ici, souligne-t-elle, j’ai l’impression de profiter plus de la nature et de la beauté de la région que les Français”

    • Sous le pseudo 100Mill, forums Admirable design, le 7 octobre 2005 : “(…) Je n’ai pas été particulièrement marqué par les produits de grande distribution élétronique . Ils sont mignons mais….
    Les produits qui m’ont assez marqué pour que je les achéte: (…) -une vieille maison du moyen age pour son caractère et la liberté de ses lignes . (…)”
    • Sous le pseudo Jack, blog de J.J. Birgé, le 29 avril 2009 : “(…) Je te parles de Carentan, en Normandie. Tu connais? Cette ville était défendue par des SS, quand les alliés sont arrivés en 44. Elle a été rasée. dans toutes la régio, il y a eu des massacres. Chaque pierre, chaque maison, chaque église est histoire. Pour chaque déplacement tu rencontres plusieurs fois la vérité de la guerre dans les pierres. Et aussi « Ici, il y a eu des corps à corps ». « Là, tu vois, un Américain est mort d’un coup de bayonnette dans le ventre ». » Là, un enfant de 2 ans a été coup en deux par un éclat » Le Normand vit dans une histoire trés dense. Et un artiste vient avec son symbôle conceptuel contre la guerre, pour la paix. Avec sa plage et son casque percé. C’est de la guimauve, des faridondaines. Ce n’est pas un probléme de sens, d’esprit, de regards…C’est un probléme d’échelle, de puissance.
    Dans une échelle de 1 à 7, les artistes vivent au niveau 1, les Normands sont au niveau 6.”
    • Sous le pseudo intermarché, blog de J.J. Birgé, le 26 août 2010 : “(…) J’ai été rouge, noir, jaune, blanc…j’ai été étranger, gaijin, horsain, parisien, provincial..pas Rom et j’ai toujours rencontré cette connerie chez les gens qui ne veulent vous étiqueter que par gout de la pauvreté, la simplicité, dans la sentiments.” [horsain étant une expression locale de normandie]
    • Sous le pseudo Menestrel, blog Jean-Noël Lafargue, 12 février 2015 : “Quand est-ce que vous accepterez que la diversité des cahiers des charges est source d’enrichissement. Vous êtes vraiment anti-orsins!”
    • Sous le pseudo 100Mill, forums Admirable design, le 1 décembre 2005 : “(…) J’ai un potager et je sais qu’il faut retourner la terre en hiver . Tu l’imagines ou le pratiques ? J’ai un verger . mais je ne donne pas de fruits dans mon entreprise . Risque de pretexte à arrêt de travail et procédure en cas de diarhée . (…)” [49.409244, -1.436025]
    • Sous le pseudo marc, blog Étienne Mineur, 21 juillet 2008 : “(…) La dernière gréve à St Lazare de quelques conducteurs ou quelques contrôleurs, j’ai voulu discuter avec des hommes en bleu. Je n’ai retenu qu’une seule chose: la peur de ceux qui ne font pas gréve. (…)”
    • Sous le pseudo hector, blog Étienne Mineur, 5 janvier 2009 : “(…) Prenons un train province paris qui deait arriver à 19 heures un dimanche et qui arrive a 22 heures. (…)”

    À propos de sa qualité d’ancien directeur / président retraité de son école :

    [Quelques messages parmi 94 occurrences sur le nom de son école, sous diverses pseudos où il se faisait passer, selon les discussions, pour des élèves, pour des designers, pour un directeur — école qu’il ne citera plus directement après avoir été dénoncé sur le forum Admirable design fin février 2006.]

    • Sous le pseudo papy d, forums Admirable design, le 6 novembre 2005 : “Mais puisque tu insistes pour avoir des informations que tu pourrais rêver d’exploiter pour devenir patron , voici une histoire vraie de création d’une petite enttreprise , sans beaucoup de moyens . (…) Un homme , Monsieur Dauvi , est le Président fondateur d’une petite entreprise qui fonctionne bien : IDES . Et il arrive à un âge avancé lui faisant penser à sa retraite . Un de ses collaborateurs , M Lopette , vient le voir et lui dit :  » Vous me vendez votre enteprise ,à mon prix , ou je parts avec employés et clients . Le vieil homme est un homme, un Seigneur ; il a créé son entreprise , il ne l’a pas volée. Alors il agit . Il licencie son employé en le traitant avec les mots adéquates . Et Monsieur Dauvi céde son entrepise à un homme qu’il aimait bien quelque temps plus tard . Mais y reste présent , par amitier . M Lopette , lui , attend son heure en embuscade . Monsieur Dauvi meure . Alors , M Lopette se découvre . Il va à l’enterrement de Monsieur Dauvi et y distribue aux employés et aux clients de IDES sa carte de visite . En précisant qu’il va créer sa propre entreprise et qu’il est le fils spirituel et professionnel de M Dauvi . Cet homme n’a aucune valeurs , aucun fond culturel . Il débauche certains employés de IDES par des promesses et le dénigrement . Il distribue tracts et prospectus aux clients de IDES . Leur offre coktails et jus d’oranges. Fait croir à des avantages inexistants . Il encourage les sentiments racistes . Dans ce cas c’ést porteur . Etc… Lopette a monté son entreprise, elle existe . Et tel a été son acte fondateur . Il y a des entreprises qui sont lancées par des Seigneurs , d’autres par des saloppes . Ils sont la honte de leur secteur , mais elles existent . Leurs pratiques professionnelles restent à la hauteur des valeurs de leur acte fondateur . Tu as insisté pour avoir quelques informations . J’ai accédé à ta demande . J’espère que tu en ai satisfait .
    [Il s’agit d’une interprétation de l’histoire des créations/scissions houleuses de l’ESDI vers les deux sœurs ennemies Créapôle & Strate — IDES étant l’anagramme de ESDI ; Talopp, le vrai nom du fondateur de Strate ; Viaud, le vrai nom du créateur de l’ESDI ; et “l’ami” étant notre homme — ce message s’inscrit dans une discussion avec un ancien élève de Strate]

    • Sous le pseudo Hatsuni, forums Admirable design, le 4 octobre 2005 [se faisant passer pour un élève de l’école] : “Comme je suis sur place je répond a la question posée . Non Créapole n’était pas plus cher il y a 4 ou 5 ans . Des professeurs a cette époque ont été licenciés ; ils ne voulaient pas évoluer et accepter qu’un produit est fait pour etre vendu . Qu’il doit être ciblé à un marché . Ces professeurs disaient que c’était donner trop d’importance au fric . Il sont partis vers d’autres écoles et ont dénigré Créapole . Pour eux il n’y a que le dessin et les contraintes techniques . C’est la vieille école . Créapole a eu raison de ne pas les garder . Mais c’était il y a bien longtemps . C’est un étudiant de 5eme année qui m’a raconté l’histoire . (…)”

    • Sous le pseudo 100Mill, forums Admirable design, le 11 octobre 2005 : “Ce syndicat UFDI officait à l’esdi . Quand une personne a voulu introduire l’économie dans cette école , il s’est fait attaqué de toute part . Ce précurseur avait pourtant raison . Même encore maintenant ces vieux ont des soutiens qui font du mal a des jeunes qui ne savent pas .”
    [le “précurseur” étant notre homme, au moment de la fondation de son école]

    • Sous le pseudo 100Mill, forums Admirable design, le 13 décembre 2005 : “(…) nota : j’ai pratiqué et employé plusieurs membres et président de l’UFDI .”

    • Sous le pseudo Marc, blog de Étienne Mineur, le 30 août 2008 : “(…) Je suis un parisien que les provinciaux disent énervé. Je suis un cynique que les naïfs disent énervé. Je suis un homme de remontées publicitaires que les graphistes élitistes disent énervé. Je suis un réactif que les contemplatifs disent énervé. Je suis un opérationnel que les théoriciens bling bling disent énervé. Je suis un embaucheur que les fonctionnaires disent énervé. je suis un bon salaire que les esprits au repos disent énervé. Je suis un consommateur du systéme éducatif que les profs en congés disent énervé.(…)”

    • Sous le pseudo 2008-marc, blog de Étienne Mineur, le 18 septembre 2008 : “Je pratique une solution alternative à l’université. Je connais le registre dans lequel les profs d’université se déploient pour combattre toute solution alternative. Je n’ai pas envie de perdre mon temps à se sujet. Et m’exposer inutilement. (…)”

    • Sous le pseudo marc, blog de Étienne Mineur, le 1 septembre 2008 : “J’ai porté mon talent dans un secteur positif. Et je crée du bonheur chez nombre. Mais pas de ce bonheur qui est à la limite SDF-MDA. (…) Que ceux qui critiquent l’écoles, c’est parcequ’ils ont raté leurs études… Aucun argument ne peut les faire changer dans leurs opinions.(…) Remarque: j’ai et je travaille avec des profs qui sont trés biens. Qui viennent d’horizons variés. Ils ne sont pas binaires, ni claniques. Ils sont transversaux, plus ou moins pour certains.(…)”

    • Sous le pseudo naomi, blog de Jean-Noël Lafargue, le 22 septembre 2009 : “Ton avis m’intéresse. Moi. J’ai besoin d’évaluer les gens comme toi, pour savoir si je peux recruter les gens qui ont ton profil. Et combien il est raisonnable de les payer. Si il est possible de les recruter en cdi. ou si seules des interventions ponctuelles sont possibles. Et pour quoi.”

    Ses particularités d’écriture

    Notez que TOUS les modérateurs des sites sur lesquels il est intervenu ont fini par identifier sa pratique du multipseudos (parfois avec traçage d’IP menant au quartier des Tuilleries) sans probablement avoir remarqué les particularités orthotypographiques énumérées ci-dessous. La façon de s’exprimer, le ton, le contenu du message sautent généralement aux yeux. C’est dire s’il est facile, pour un œil exercé à la lecture de ses messages, de faire le lien entre tous.
    Notez également que son écriture état assez aléatoire, ce n’est pas parce qu’un message ne comporte pas ces particularités qu’il n’est pas de lui. En cas de doute sur un pseudo (ce qui arrive assez rarement), ces particularités restent un bon moyen de les associer à cette même personne lorsque l’erreur survient.

    • Disour(s) : 114 fois, dont 68 fois sans le sans le s
    • Language/langage : 14 fois écrit avec un u ; 2 fois écrit normalement
    • …. : 40 fois (au moins 4 points de suite)
    • N’utilise pas le caractère œ mais écrit oe en deux lettres (courant chez beaucoup)
    • Fait parfois des fautes aux verbes du 3e groupe, type “se plaind“ “l’avoir atteind“, etc.
    • 158 occurrences de mots ou d’abréviations terminant par “éme“ au lieu de “ème“ (systéme, probléme, 5éme…). Attention, parfois capable d’écrire “ème“ (38 occurrences).
    • 75 occurrences où l’accent est aussi inversé sur des mots finissant par “ére“ à la place de “ère“ (je préfére, financiére, maniére, 1ére…). Attention : au moins 319 occurrences sont écrites avec le bon accent.
    • Accents et majuscules aléatoires
    • Utilise parfois des point virgules de façon UnNom; pour répondre à quelqu’un
    • En ce moment, il ne met généralement pas d’espace avant les signes de ponctuation ; avant 2006, c’était l’inverse, il mettait systématiquement un espace avant et après les signes de ponctuation — ce qui avait permis de l’identifier (trop) facilement. Il le fait encore parfois, de façon plus anarchique. Il a également eu sa petite période avec guillemets français inversés.
    L’utilisation de plus en plus répandue des correcteurs automatiques brouille un peu les pistes.

    Ses mots favoris :

    Les expressions :
    Correct (est-ce correct / suis-je correct / politiquement correct) : 60 fois
    propagande : 30 fois
    (quelque chose) d’état : 29 fois (péjoratif)
    un révolutionnaire : 18 fois (péjoratif)
    panda : 16 fois (péjoratif)
    Moto : 14 fois
    Bling-Bling : 13 fois (péjoratif)
    Entre poire et fromage : 12 fois
    Esthétique industrielle : 12 fois
    jacobinisme/iste : 9 fois (péjoratif)
    fake : 8 fois (usage récent, depuis 2010)
    Amen : 6 fois
    Coterie : 5 fois
    pucelage : 3 fois
    verbiage : 3 fois
    Horsain/orsin : 2 fois

    Les qualificatifs (presque tous utilisés au sens péjoratif) :
    artiste : 226 fois
    graphiste : 142
    Politique(s) : 104 fois
    ingénieur : 71 fois
    marketeur/ing : 69 fois
    Technicien : 50
    formaté : 43 fois
    fonctionnaire : 38 fois
    Directeur : 38 fois
    architecte : 39 fois
    artisan : 30 fois
    beauf : 24 fois
    concepteur : 24 fois (non péjoratif, valorisant)
    infographiste : 22 fois
    livre/livresque : 22
    opérationnel : 16 (non péjoratif, valorisant)
    bobo(s) : 15 fois
    assisté : 12 fois (l’adjectif, pas le verbe)
    Chomage/chomeur : 11 fois (toujours à propos d’une mauvaise formation ou profession, avec ou sans accent)
    freelance : 8
    gaulois : 5 fois
    Simpliste : 5 fois (simplet, 2 fois)
    verbeux : 4 fois

    Les personnalités :
    Le Quement : 13 fois
    Séguéla : 7 fois
    Starck : 6 fois
    Schopenhauer : 5
    Arnault : 5 fois
    Pin(n)eau : 5 fois

    Les marques :
    SNCF : 60
    Renault : 27 fois
    Coca (cola) : 12 fois
    Nike : 8 fois
    LVMH : 6 fois
    Mac Do(nald) : 4 fois
    Peugeot : 3 fois

    L’enseignement :
    école : 384 fois
    université/aire/s : 200 fois
    Strate/Stratt : 115 fois
    Créapôle : 94 fois (la seule qu’il ne critique pas)
    Master : 37
    école(s) privée(s) : 31 fois
    pédagogie/que : 30
    Ensci : 16 fois
    école(s) publique(s) : 14 fois
    Université de Rennes : 10 fois

    Autres :
    Pub/licité : 62 fois
    4×4 : 61 fois !
    Chine/chinois : 57 fois
    Syndicat(s) : 55 fois
    Japon/ais : 53 fois
    Paris/ien/ne/s : 52 fois
    (le/les/du/des) Pouvoir(s) : 49 fois (forme verbale non comptabilisée)
    corporation/tiste : 38
    Design industriel : 28 fois (le vieux design)
    (société de) consommation : 23 fois
    cdc : 18 fois (récent, depuis 2008)
    MDA : 13 fois (n’aime pas)
    Ministère de la Culture : 7 fois
    Ethnocentrisme : 6 fois
    CGT : 5 fois

  162. By elo de courville on Mar 28, 2015

    Je ne sais pas Menestrel, c’est toi qui a créé ce pseudonyme (que je n’ai pas mis exprès dans la liste). Heureuse d’en connaitre l’origine, je me demandais justement d’où il venait.

  163. By Jean-no on Mar 28, 2015

    ça mériterait un post à part entière, tiens !

  164. By Menestrel on Mar 29, 2015

    @elo de courvile;

    Pour ton nouveau pseudo. J’ai seulement cherché sur google, hier, pour trouver qu’il s’agissait d’un petit village prés de Reims. Tu as donc utilisé un pseudo que j’aurais créé? Je ne me souviens pas de ce pseudo!

    C’est un vrai métier que tu as là. Une profession? une occupation à temps plein. Voila plus de 10 ans que tu serais sur cette histoire. Tu dois avoir des logiciels spécialisés. Et heureusement que la mode des blogs et pseudo n’est pas plus ancienne.
    Ca fait peur. Et en plus c’est pas la faute à google.
    D’un autre coté, cela permet de rassembler des données qui pourraient être utilisées pour laisser des traces. Un livre? Tu y as pensé?

    Pour toi, donc, tous les peudos d’une même adresse IP ne peuvent venir que d’un seul homme?

    Pour toi, donc, c’est une science exacte. Quand on retrouve les mêmes mots dans des forums communautaires d’un milieu aussi fermé que celui de l’enseignement et du design il ne peut s’agir que d’une seule et même personne. Et en plus quand il s’agit d’un milieu encore plus étroit comme celui des designers intégrés professionnels.
    Pourtant j’ai souvent remarqué dans des forums ou il y avait de vrais débats sur le design qu’il se formait deux camps: les artistes et les professionnels. les arguments des deux camps étaient assez homogènes.
    je remarque que de très nombreuses citations ne sont pas vraiment originales. On pourrait même parlé de lieux communs! Peut-être pas dans ton milieu. Mais dans celui des pros du design.

    D’autre part, comme élément de ton analyse, tu cites le mauvais usage du mot nationaliste et celui du mot révolutionnaire. Tu penses à une erreur singulière. Toi tu prétends que cela aurait du être patriote et rebelle. Sans aucune explication sur ton affirmation. Il est vrai que rebelle et patriote d’un côté et révolutionnaire et nationaliste ne sont pas vraiment de mêmes « habitudes » . Mais cela ne prouve pas que ce soit un usage singulier!

    Tu parles d’une anecdote  » la loi Toubon et le design » Tu prétends qu’il s’agit d’une anecdote très particulière et singulière.Alimentant tes certitudes. Mais cette « anecdote » est connue de tout les designer! C’est même dans Wiki!

    Tu prétends que moi menestrel, mon père serait prof. C’est totalement faux. je corrige cette erreur car je ne veux pas entendre les psys de comptoir bio me lasser de leurs théories!
    Quant au forum Designvox. je ne suis pour rien dans sa fermeture. je n’y suis jamais allé. ce n’est qu’après sa fermeture que j’ai appris son existence. Il faisait parti de tout ces forums, créés à cette époque,dans le seul but de donner un pouvoir de nuisance ou d’existence, à quelques uns. Ils attaquaient toutes les écoles. logique qu’il ait du fermé.Les animateurs doivent encore trainé sur la toile sous d’autres pseudo!

    je ne vais pas reprendre toutes tes inexactitudes ou ton raisonnement. Ce serait un trop gros travail.

    Mais personnellement je ne vais pas changer mon habitude de changer de pseudos. Au contraire, il faut encore se protéger plus dans l’anonymat au vu de ce que tu peux faire. Je ne vais pas devenir un réac narcissique à mon age! Pour le confort de quelques uns.

  165. By Jean-no on Mar 29, 2015

    @Menestrel : une même IP peut être partagée par plusieurs personnes, mais ça permet d’établir un faisceau de présomption.
    Sur la loi Toubon, les écoles supérieures (publiques) d’art et de design d’Amiens et de Reims ont été nommées au début des années 1990, avant la loi Toubon, et ont conservé leur nom jusqu’aujourd’hui.
    J’ai remarqué moi aussi ton emploi redondant de « nationaliste » au lieu de « patriote », qui ne me semble pas typique.

  166. By Menestrel on Mar 29, 2015

    Oui, une adresse ip peut être partagée par plusieurs personnes de même convictions ou pas. Si on y ajoute les erreur de gestion de wifi, cela peut faire beaucoup. J’imagine l’attitude d’un employé mécontent, un stagiaire frustré etc…Ou même un commercial de passage.
    Je me demande si le refus du mot patriote utilisé par certains type d’américains ou politiques français est si rare que tu l’affirmes. Mais je note ton analyse. lol.
    La loi toubon c’était pour l’administration d’Etat. je ne sais pas les obligations de respect de cette loi pour des écoles « régionale ». Mais ce n’est pas une anecdote
    singulière.

  167. By Jean-no on Mar 29, 2015

    @Menestrel : les écoles supérieures d’art publiques sont toutes sous la tutelle du Ministère de la Culture, parfois partagée avec le ministère de l’intérieur et avec des collectivités territoriales, telles que les municipalités, et du reste la loi porte même sur les mode d’emplois d’appareils vendus dans le privé… Pour ce qui intéresse une école, cette loi ne luttait pas contre les mots étrangers, mais plutôt contre les textes étrangers. Dans l’enseignement supérieur, c’est peut-être ce qui fait qu’on est un des pays qui produit le moins d’articles universitaires en anglais, ce qui nous vaut un certain isolement académique. Les ministères étaient censés éviter les anglicismes dans leurs textes, mais tout le monde a vite oublié le mot proposé par l’Académie pour remplacer « design » tellement il était nul : le débat, s’il a existé, n’a pas duré, il faut te mettre à jour !
    L’ÉSAD d’Amiens, renaissance de l’école des Beaux-Arts de la ville, a été baptisée, je pense, en 1990 ou 1991 (de mémoire). Pareil à Reims.

  168. By Menestrel on Mar 29, 2015

    PS: tu n’as pas une référence ou je pourrais voir a compter de quand l’école d’amiens a utilisé le dot design dans son nom? C’est pas dans wiki.

  169. By Menestrel on Mar 29, 2015

    la loi toubon, bien connue et pas anecdotique, est le résultat d’une « culture » bien francaise qui donne le résultat que tu précises: isolement academique entre autres. Si le mot pour remplacer « design » était nul. Ce n’est pas pour cela que les personnes d’influence ont accepté le mot « design » qui représentait une démarche particulière.
    C’est pour cela que je demandais un document qui prouverait la date d’usage du mot design dans le nom de l’école d’art d’Amiens! Du concret c’est toujours mieux pour l’histoire.

    PS: pour le mot master. Jusqu’à 15 jours avant le passage de la loi, c’est le mot « mastaire » qui était écrit dans les textes! lol.

    Quant à me mettre a jour. Il faudra que tu nous racontes un jour comment et en combien de temps une école d’art d’amiens devient une école de design. Cela devra être interessant pour un chercheur en pédagogie comme toi.Tu nous parleras de ta participation personnelle à cette évolution.

  170. By Jean-no on Mar 29, 2015

    @Menestrel : et hop, tu es reparti comme en quarante ! Piques personnelles, affirmations péremptoires,… Bon. Je ne sais pas trop comment on arrive à cet état d’esprit : déni ? Plaisir du joueur ?
    L’Ésad d’Amiens a été lancée (relancée) par Alain Snyers, qui croyait très fort au design et au numérique. Quand j’y ai été prof, il y avait dans l’équipe des gens bien plus costauds que le très jeune enseignant que j’étais, tels que Jean-Louis Fréchin, Félix Müeller, Philippe Millot, Michel Wlassikoff (et plus tard Sylvie Tissot, Vanina Gallo, Pascal Valty et bien d’autres),… Sans être un Bahaus picard, on est longtemps restés un modèle, il me semble. Et aujourd’hui, après une période de turbulence il y a un peu moins de quinze ans, l’école est une référence nationale dans le design graphique et en typographie. Je n’ai pas de document qui prouve l’usage du mot design, mais quand j’ai été embauché par cette école, Toubon était encore ministre, et le nom était bien « école supérieure d’art et de design ».

  171. By elo de courville on Mar 29, 2015

    Menestrel, tu tombes une nouvelle fois dans le panneau puisqu’à partir du moment où tu contestes, tu avoues. Si tu n’étais pas Jean-Michel, tu aurais au contraire dû te réjouir d’être pris pour quelqu’un d’autre puisque cela aurait renforcé ta couverture.

    Je veux bien croire que l’anecdote sur ton père soit fausse malgré que tu aies écrit le 19 octobre 2009 chez Étienne Mineur, sous le pseudo Marcus : « je suis un adolescent perturbé. Mon père qui était prof, buvait et me battait. Aussi je pense avoir des problèmes de repères et de positives attitudes. En fait je suis très souvent à contre temps. J’ai beaucoup de difficultés à lyncher un créateur, son travail, sans la moindre information sur la question, les contraintes, le cdc…Alors que c’est ce qui devrait être fait pour garder ses amis. Alors que cette attitude me permettrait d’être reconnu comme intelligent. D’un autre côté, j’ai aussi des difficultés à m’ébaudir d’ un travail qui est sans intérêt, plein d’angélisme et de niaiseries. Un travail sans raisons ni justifications sérieuses. Mais qui est dans le bon tempo.Avec les bonnes personnes. Par exemple l’intérêt formatif d’une journée ou six profs, sans beaucoup de réalisations, rencontrent 12 étudiants. »
    Tu noteras que je n’avais d’ailleurs pas cité certains détails de ce message (comme beaucoup d’autres détails d’autres messages), pensant justement qu’ils pouvaient être faux ou trop personnels. Mais puisque tu les nies…
    Et pendant qu’on y est, j’en profite pour préciser que je me suis trompé sur le calcul de ton âge : c’est 66 ans que tu auras en juillet prochain, pas 68. Comme ça, c’est fait.

    Quant à ton excuse bien pratique du wifi, tu l’avais déjà sortie quand tu t’étais fait coincé sur les forums Admirable design, le 5 octobre 2005, sous le pseudo Yman2 : “Tu prends une entreprise qui installe une borne wifi dans ses locaux pour son personnel . Tout le monde peut l’utiliser . Un invité peut-il l’utiliser ? oui . Une grosse entreprise peut -elle controler les activtés personnelles de ses employés ? l’employé a son ordinateur chez lui et dans l’entreprise .“
    À croire que les « stagiaires frustrés » ou les « commerciaux de passage » restent décidément très longtemps dans ton école ! Et là encore, si tu n’avais rien à voir avec le quartier de Rivoli, tu n’aurais eu aucun intérêt à trouver des excuses à ces histoires d’IP.

    Enfin, à propos d’elo de courville, à supposer que tu sois capable de te souvenir de tous les pseudos que tu as ou non utilisés et que tu ne sois pas le seul ici à connaitre ce petit village de 460 habitants, il est possible qu’il fasse partie du lot des messages de la personne qui fait office de « community manager » pour ton école, de façon plus ponctuelle et plus maligne, sans jamais parler de lui, en utilisant des styles différents et un timing de réponse moins suspect. J’avais pris soin de ne pas mettre ces pseudonymes dans la liste te concernant car s’ils ne sont pas de toi (ce que je pense, mais pas sûre), il sont sans doute attribuables à quelqu’un qui est très proche de toi. Mais puisque tu en parles, les voici :
    • Sur letudiant.fr, les pseudos : antoine92, audrey83, Fiorella, Ankh, lolononororo, anastasiaw, rafaella12, evalaroche, mcd, Igor96, VINC
    • Sur Mediabox : laet, coclico, marck.annelaure, inc.ca, astn94, supermanette, voltaire
    • Sur Studyrama : Stravi, thomas leo, PETITGABRIEL
    • Sur TomsGuide : moapamplemousse, crisis93, C00per, vickycristina
    • Sur Pingoo : argenta, yop, Jim, w@s, jowa, Maoui, Pika, anais, etudianteCreapole
    • Sur le blog Lysergid : L’da, Mélo, ex-creapolien, Mo, anReF, oxymore, mmmm, alexandra FE, Alekz, COLTESE

    Tu vois, je n’avais pas tout écrit. À ta disposition pour déballer d’autres informations, si besoin !

  172. By Menestrel on Mar 29, 2015

    Tu sais, mon travail a toujours été de recevoir dans mon bureau des personnes en besoins. En oppositions. Et qui souvent ne parlaient pas le même langage. La réponse devait toujours être clic-clac. jamais du genre cnrs ou éloge de la lenteur! C’est pas ton ile!

    Pour cette histoire de Toubon. Une petite histoire qui représente la grande. 1981 la première école à utiliser dans son nom le mot design: l’ecole superieure du design esdi. 19991-92 les écoles régionales qui disposent d’une certaine liberté de décision par rapport à l’administration centrale mettent dans leur nom le mot design. ce n’est qu’en 2010-11 que les universités qui dépendent du ministère de l’éducation ouvre des masters de « design ».

    Voilà ma vision des choses.

    PS @elo de courvile. Tu prends des notes? Tu devrais retrouver cela ailleurs!

  173. By Jean-no on Mar 29, 2015

    @Menestrel : l’université française n’a pas une tradition très établie du design, ni du graphisme en général. Ceci étant, l’École Normale Supérieure de Cachan, qu’on peut assimiler au système universitaire puisqu’elle est sous la tutelle directe du ministère de l’enseignement supérieur, a un département design depuis des années (mais j’ignore combien).

  174. By Menestrel on Mar 29, 2015

    @elo courville; ce que tu écris est très interessant: « la femme et google ». Ne vois aucun mépris mais je ne vais pas répondre. je finirai pas plus savoir qui je suis et me prendre pour matrix.
    Ton complice jean no devrait être plus interessé.

  175. By elo de courville on Mar 29, 2015

    Oh, pas besoin de prendre des notes, Menestrel, tu racontes tout ça dans la vidéo de ta conférence Creative Day, à partir 10:45.

  176. By Menestrel on Mar 29, 2015

    Je suis convaincu que le design a été un mouvement culturel ( et artistique) important. Pouvoir ancrer certaines dates et certains faits avec justesse me paraît interessant. Tu n’as rien de précis pour Cachan? Mais beaucoup d’histoire d’écoles ont été réécrites pour qu’elle puissent surfer sur la mode du design. Des boulets se décrivent comme précurseurs avec 30 ans de retard. je chercherai sur cachan si tu n’as rien.

  177. By Jean-no on Mar 29, 2015

    @Menestrel : avec Google, je remonte à 2005 pour la section design de Cachan et je sais que dix ans plus tôt le nom était « Arts et création industrielle », donc le mot « design » est apparu entre 1995 et 2005 là-bas.

  178. By Menestrel on Mar 29, 2015

    Oui, je suis allé sur cachan. Il y a un département « design ». J’ai cliqué et me suis retrouvé  » design  » de wiki. Pas trouvé de « projet design » dans cette école supérieure. La section design serait 2005 mais sans savoir si ils assument le concept. Et quel concept.
    Il est difficile de trouver chez eux un élément permettant de mettre le design dans l’université francaise avant le 21 éme sicle.

    « dans création industriel » il manque un élément qui « fait » le design.

  179. By Jean-no on Mar 29, 2015

    @Menestrel : Création industrielle, comme Design, correspondent à des traditions identifiées, c’est vrai, mais ce ne sont que des mots, tout dépend ce qu’on en fait ensuite.
    Je comprends la frustration des écoles privées vis-à-vis du mépris dont l’État fait preuve envers elles, et je comprends aussi l’idée de créer l’école de ses rêves, en fonction d’une vision, etc. Mais pourquoi cogner sur le public, lui demander d’abandonner ses qualités (pérennité, mise à distance de certaines contingences économiques, temps, expérimentation gratuite,…) ? Pourquoi aussi les confondre toutes ? L’Université, les grandes écoles, les écoles territoriales d’art, n’ont pas grand chose à voir.

  180. By Menestrel on Mar 29, 2015

    Si création industrielle et design pourraient correspondre à des traditions. Mais ces traditions et ces identificateurs sont fluctuants. Et en plus il y a le niveau de ce qu’ON met dedans. Cela fait beaucoup. Et beaucoup d’intérêts en jeux. (Même le mot création n’est pas mis en avant par hasard!)
    Ensuite il y a des grands courants. Techniques artistiques, sciences humaines, management etc…enfin un nombre illimité de variables.
    L’université est attaquée en France dans le détails ou le globale. Suivant des angles convenus ou plus rares. Cela dépend du contexte. C’est comme tout quoi. On peut simplifier, globaliser… ou pas suivant le contexte!
    Tu prends Amiens par exemple, a ton époque je pense, c’était une école d’art qui n’avait rien à voir avec les écoles de design privées n’est-ce pas? Alors pourquoi l’ assimiler à une université. Parce qu’il y avait des profs radicaux ( avec un directeur particulier) qui tapaient avec violence sur certaines école privées. Comme le font certaines unités universitaires ( sciences humaines, histoire géo ?) dans ce sens il n’y aucune différence sous l’angle du design professionnel! Entre les profs radicaux d’amiens et certains de l’université.

    Ton ecole normande glisse inexorablement vers la culture universitaire centralisée. Si tu juges sur le discours de jean no ou sur le foyer qui représente son devenir tu ne portes pas le même jugement. Et les mêmes réactions!
    Si tu juges ton école en Normand qui voit son école vendue ou en dessinateur qui n’en a rien à faire?

    Tu comprends « le mepris de l’état » ? Non tu ne comprends pas. Si ce n’était que du mépris. As-tu la moindre idée des relais et leviers humains qu’il a? Non.

    Et n’oublie pas que c’est l’Etat qui vous demandent,à vous, aujourd’hui d’abandonner beaucoup de chose. Es-tu assez libre pour le voir?
    Mis c’est vrai. Certains projets, certains exemples, certains discours… peuvent avoir beaucoup d’influence sur des fonctionnaires sans imagination avide de pomper les idées des autres pour ce faire valoir. Et le design tel qu’il a été pratiqué, en école, pendant ces 20 dernières années est un exemple de pompage.
    A-toi de voir si tu te fixes sur certaines habitudes ou tu vas te ressourcer dans des écoles différentes. Tu en as encore pour 25 ans à rester dans l’enseignement. Et tu n’es pas status fonctionnaire. ( je ne parle pas la d’acheter un nouveau logiciel. ni de la pratique des méandres de l’administration lol)

  181. By Jean-no on Mar 29, 2015

    @Menestrel : J’ignore si Amiens avait quelque chose à voir avec les écoles privées, je ne les connais pas toutes (même si comme bien des profs du public, j’ai aussi une expérience du privé).
    Le rapport université <> écoles est plus complexe que ce que tu en comprends, ce sont des cultures extrêmement éloignées, et du coup, on a des choses intéressantes à s’apporter.
    L’État ne nous demande pas d’abandonner grand chose, il nous a surtout demandé de satisfaire à de nouveaux critères : que les étudiants rédigent un mémoire, que nous ayons une activité encadrée de recherche et que nous établissions des ponts avec des établissements dans le reste du monde. Tout ça est plutôt bien, si ce n’est que dans le même temps, on a baissé nos dotations.
    Je ne crois pas que le système public « pompe » beaucoup au privé, il a surtout tendance à l’ignorer. Et ça semble réciproque.

  182. By Menestrel on Mar 29, 2015

    « pérennité, mise à distance des contingences économiques, temps, expérimentation gratuite » Voilà les points que tu cites pour valoriser le public.
    Ce que l’Etat vous demande?
    1) Sacrifier la pratique, les techniques…au bénéfice de la « culture générale » Voir l’évolution progessive des bts et autres sous influence. Presque plus de projet.
    2)Le temps: les universités étrangères n’ont pas le même tempo ( chronometre des rendus).
    3) expérimentation gratuite: va voir les obligations professionnelles inscrites dans la loi sur le master.
    4)Le mémoire? Va voir ce qu’il reste du temps attribué aux projets pour les écoles qui ont mis en place le mémoire.le mémoire bouffe le temps. il ne reste que des miettes pour la création.
    5) informe toi de ce qu’il advient généralement des « intervenants extérieur » face à la corporation statutaire progressivement. Pas seulement pour l’encadrement!

    Nous n’avons pas le meme tempo dans notre échange. Toi tu me parles de quelque chose de frais, récent. Moi je te parle de projection, de perspective.

  183. By Jean-no on Mar 29, 2015

    @Menestrel : le travail théorique ne consiste pas à acquérir de la « culture générale » mais à apprendre à utiliser l’écriture pour réfléchir. Tout le monde n’a pas parié sur le principe, on s’est même inquiétés, mais nous créons notre voie et dans beaucoup d’écoles, ça fonctionne bien. Cela prend un temps important, mais je n’ai pas l’impression que le travail plastique en pâtisse, au contraire, les deux pratiques se complètent. Ce n’est plus vraiment un motif de débat, même s’il faut régulièrement s’ajuster. Bien entendu, nos masters sont professionnalisants, ce qui signifie qu’ils doivent être soutenus par des stages. Je ne comprends pas ce que tu veux dire sur les intervenants extérieurs… En ce moment, on manque un peu d’argent pour en inviter, et c’est dommage.
    Nous n’avons pas le même tempo : tu es en 1985, moi en 2015.

  184. By Menestrel on Mar 29, 2015

    Dans certaines écoles privées précurseurs, ils emploient des docteurs en philosophie depuis 25 ans. Il n’y a pas vraiment de problèmes. Juste une cohabitation !Mais un vrai besoin d’une autorité forte. Pour faire respecter les valeurs et les besoins de la création « graphique ».
    Un pouvoir décisionnaire centralisé, la gestion des ressources humaines centralisée. est-ce que cela sera toujours possible? Cela me parait bien plus difficile à faire respecter pour le Havre.
    Ou est le vrai pouvoir décisionnaire pour les profs? recrutement, salaires, « promotion », attributions de cours et de budget….pour ton école du havre?

    Il est difficile de dire: on garde nos habitudes mais on manque de budget.
    Vos masters sont professionnalisant parce que vous devrait préparer vos étudiants à étre operationnel en entreprise dans le choix des programmes. Pour des stages.Au début ce sera relationnel et après pour entrer chez coca cola! lol.

    tempo: Pourquoi 85? je pensais plus pour vous en 30. ( 2030 bien sur) quand votre école d’art ressemblera à l’ensci ou aux arts déco d’aujourd’hui.

    NB: pour le master, je vous parle de la théorie de la loi. ce serait bien étonnant que l’esprit de la loi soit mis en oeuvre!

  185. By Jean-no on Mar 29, 2015

    @Menestrel : les écoles territoriales d’art sont à présent des EPCC, des établissements publics à caractère culturel, avec un conseil d’administration où siègent divers acteurs, à commencer par les villes. Il y a, du coup, une transparence et une autonomie qui n’existaient pas avant. Après ça, je ne comprends pas vraiment de quoi tu parles en matière de pouvoir décisionnaire…

  186. By Menestrel on Mar 29, 2015

    Ma question est sur les rapports au sein du conseil d’administration pour savoir qui nomme les dirigeants. ( président directeurs…)
    Qui vote les budgets et les arbitrages budgetaires.
    Si le recrutement et les salaires des profs dépendent vraiment du conseil d’administration ou pas.
    Savoir donc qui tiens la bourse ( les bourses) et éventuellement le pouvoir  » central » en fonction de ses allocations.

  187. By Jean-no on Mar 29, 2015

    @Menestrel : le conseil d’administration, qui est composé des financeurs, décide forcément de la dotation. La fourchette des salaires est réglementée dans le cas des titulaires, et assez standardisée dans le cas des autres…
    La direction dispose d’une grande marge de manœuvre pour ce qui est des dépenses et des recrutements, a priori (mais je me tiens loin de ces questions).

  188. By Menestrel on Mar 29, 2015

    On ne peut pas parler de pédagogie, d’évolution de pédagogie. Des arbitrages entre mémoire et création, modernité nouvelles technologies et techniques traditionnelle sans indépendance financière.Ex: Qui a le pouvoir d’imposer une prof « lettré » pour l’écriture du mémoire au dépend d’un prof « artiste ». C’est très concret.
    Qui peut imposer le  » l’écrit c’est la mère de tous les savoirs » au dépend de « la qualité de la forme, c’est l’émotion et l’intelligence. »

    Est-ce que les financeurs fonctionnaires d’etat sont plus nombreux que les financeurs locaux?

    Tu ne peux pas parler de perrenité, de 2020 sans savoir cela.

  189. By Jean-no on Mar 29, 2015

    @Menestrel : l’embauche des enseignants dans mon école est un processus assez collégial : leurs futurs collègues (notamment dans des champs proches) sont consultés, voire partie prenante de l’interview et du vote. Pas de petit chef, même si la direction est plus ou moins souveraine in fine. Bien sûr, le « processus de Bologne » a rendu particulièrement attractives les candidatures de titulaires d’un doctorat, et c’est dommage si on songe que certains enseignants excellents ne pourraient plus avoir leur chance aujourd’hui s’ils postulaient, en tout cas dans les matières « théoriques ».
    La dichotomie que tu établis ente l’écrit et la forme n’a pas vraiment lieu d’être.

  190. By Menestrel on Mar 29, 2015

    J’ai peur que le système que tu me décris soit pas très réél. Et même à l’origine des conflits réguliers. ( Pas toujours).
    Comme une illusion du collectif pour les professeurs qui choisissent. mais in finé la nécessité des choix de la direction.
    Mais sur proposition des plus fort au CA ? Tu ne m’as pas répondu sur le partage des siéges au CA? Aucun des profs n’est payé ou envoyé par le ministère? Ces doctorats sont payés par l’école ou le ministère? A un tarif choisi librement par l’ecole? Ou c’est une grille de salaire « nationale » que vous suivez?

    En théorie il n’y a pas de conflit entre écrit et forme. sauf quand il y a la variable temps. Quand l’écriture du mémoire précéde les phases formelles . Les étudiants étant ce qu’ils sont, ils sont en retard. Donc c’est sur la phase recherche conceptuelle et formelle que les sacrifices seront payés. il y a aussi les interventions des lettrés ( qui ne sont pas créateur) et qui déstabilisent dangereusement les phases de création . En remettant en cause ce qui ne peut plus l’être.

    En fin de ton texte tu acceptes un dommage pour les matières théoriques. C’est la même logique pour les matières  » non-théorique ». Tu ne l’acceptes pas?

    Et il y a un plus grave dommage. hiérarchiser l’écrit et le formel. Inféoder la création à la theorisation. Conforter ceux qui son convaincu que ceux qui usent de leurs esprit sont ceux qui écrivent. Et qu’ensuite il ne s’agit que de « bricolage » manuel. J’ai trop entendu cette phrase: « il faut apprendre aux designers à reflêchir. »

  191. By Jean-no on Mar 29, 2015

    @Menestrel : je ne connais pas les règles exactes d’administration des écoles territoriales, je constate que pour ce qui concerne mon école Rouen/Le Havre, rien ne me semble trop frustrant ou dysfonctionnant, mais le directeur est quelqu’un de très soucieux de consensus et d’équité, ce n’est pas forcément pareil partout.
    Les « lettrés » (?) ne déstabilisent pas spécialement la création, à mon avis. Ils l’accompagnent, sans toxicité particulière pour tous les cas que j’ai pu observer chez nous et dans d’autres écoles où j’ai été jury.
    Ce que je dis pour les matières théoriques est observables, mais moins dans les autres matières, où le diplôme numéro un est la respectabilité professionnelle.
    Tu te fais des idées sur le rapport théorie <> pratique. Nous nous sommes fait les mêmes à l’époque, mais de fait, il n’y a pas lieu, ça se passe bien.

  192. By Menestrel on Mar 30, 2015

    Il faut que tu comprennes que je ne prends ton école que comme exemple pour comprendre commnent cela fonctionne dans le réél de manière plus générale.
    Quand il y a un directeur capable de consensuel. Et qu’il est même choisi pour cette qualité pour faire passer un changement ( cela peut arriver). Si cela marche. OK. Mais tu as assez voyagé ( en France) pour connaitre les parachutages réguliers dans les écoles  » publiques ». Donc c »est pour cela que je m’interesse aux fondamentaux réglementaire. Les directeurs, les politques ( droite/gauche) changent.

    Tu parles de jury. Je parles d’encadrement ?

    Tu prends un docteur  » en histoire de l’art ». Ils ne sont pas spécialement humble en général et ont toujours des arguments, dans leur registre, qui se tiennent. Mais ils sont toujours à la recherche de nouvelle logiques, de nouvelles références.
    Mais le createur-designer ne peut pas toujours se remettre en cause, lui. Il doit avancer. Un « adulte » d’expérience pourra gérer cette situation. Mais pour un jeune cela peut être très déstabilisant. Combien de jeunes.Je ne parle pas de cas général. je pousse les traits pour la démonstration. Mais ce n’est pas si exceptionnel que cela.

    Que vous ne soyez plus inquiet est peut-être justement ce qu’il y a d’inquiétant? Lol. Ou avez-vous trouvé votre équilibre? Vous avez cherché, avant toutes choses l’équilibre entre professeurs de bonnes compagnies. Mais est-ce que cet équilibre se situe au bon endroit par rapport à d’autres « juges » que vous même.
    Tu peux prendre l’exemple de grandes école parisiennes qui ont suivi cette évolution. Les profs se disent heureux des équilibre trouvés. Ils s’affirment les meilleurs dans la meilleur des meilleures école. Bien. Mais les étudiants sont toujours en contestation par manque de concept, projet etc…les services d’Etat ( cours des comptes) font rapports sur rapports pour contesté cette qualité de vie des profs.Ces profs répondent que c’est normal que les étudiants critique, cela prouve la qualité de leur formation. Rien ne doit donc changer chez eux. Que c’est plus le monde qui doit changer.

    Que vous ayez trouvé votre équilibre, c’est bien. Quel est le « contrepouvoir » extérieur qui peut dire que le curseur n’est pas au bon endroit? Un comité de surveillance de dirigeants d’entreprises dans le monde de la création ( je ne parle pas d’indépendants). Un comité d’anciens étudiants ayant réussi ( quelle réussite?)

    Les régles d’administration sont les règles qui fondent largement la pédagogie. Sur la durée. A mon avis.

    « lettré »? Dont le métier est l’usage des lettres normalisées. Par différence avec ceux du dessin. Il y a une autre définition de « lettré »?

  193. By Jean-no on Mar 30, 2015

    @Menestrel : Oui, ta définition de « lettré » me semble n’appartenir qu’à toi ! Pour moi ça désigne le fait de se cultiver par les livres, ce qui n’empêche pas d’apprendre autrement, et ne constitue pas nécessairement une profession. De fait, il y a beaucoup de gens « lettrés » en école d’art, et dans l’enseignement supérieur en général. Ce n’est pas une caste !
    Sinon, bien entendu, la manière dont est administré un établissement pèse sur la pédagogie, mais ma petite expérience (quatre universités, cinq écoles d’art publiques, deux écoles de comm’ privées, sans compter les endroits que j’ai visité comme jury ou ceux où j’ai été moi-même étudiant) me laisse penser qu’on peut et qu’on doit, en tant qu’enseignant, aménager son propre espace, en faisant un peu abstraction de ces questions. Je ne peux rien te dire sur l’ENA, X ou que sais-je, par contre, je ne connais pas ces établissements.
    Est-ce que le doute freine l’apprentissage ? Effectivement, la question se pose, mais elle dépend énormément de l’étudiant : certains se perdent dans l’incertitude, d’autres s’y trouvent. Il faut doser, il faut savoir consacrer un temps à chaque phase. Mais les étudiants qui veulent juste quelqu’un qui leur dise quoi faire n’ont, effectivement, aucun intérêt à étudier en école d’art.

  194. By Menestrel on Mar 30, 2015

    Merci beaucoup de tes précisions sur le sens de  » lettré » entre  » « . Tu aurais pu me renvoyer sur wiki plus simplement. J’ai beaucoup appris. A mon époque nous avions à 11ans un larousse. J’ai pas du le lire assez souvent et pas jusqu’à la lettre « l ». Et toi à 11 ans tu as eu une BD?
    Oui, tout le monde est lettré maintenant: Les architectes lisent, les avocats lisent, les médecins lisent, le patissiers lisent, les infographistes lisent, les diplômes lisent.. C’est incroyable le nombre de lettrés. Mais personne pour changer mon ampoule! Il lit.

    C’est dommage que tu n’ais aucune information sur le fonctionnement de ton CA. Ni connaissance des grilles de salaires. Cela rend difficile une comparaison avec les écoles privées.

    Oui, cela dépend des étudiants. Mais il ne faudrait pas, à mon avis, que les étudiant patissent de la priorité donnée à la recherche de la convivialité des profs entre eux. Que ce soit les étudiants qui paient la mauvaise gestion de la différence chez les profs.

  195. By elo de courville on Mar 30, 2015

    Menesrel, quand on voit la manière dont des entreprises peuvent tenter de manipuler les bénévoles de Wikipédia, je conseille de ne pas trop s’y fier !

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Discussion:Créapole

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