Franciscopolis
mai 8th, 2013 Posted in Images, LectureFranciscopolis a été le premier nom de la ville du Havre, fondée il y a un peu moins de cinq cent ans par François premier (d’où le nom : la ville de François), dans le but de placer à l’embouchure de la Seine un port important pour aller pêcher la morue, se protéger d’éventuelles incursions des flottes du roi Henri VIII puis de l’Empereur Charles Quint, et partir à la découverte du nouveau monde.
À présent, Franciscopolis est une maison d’édition fondée par mes deux excellents collègues Yann Owens et Jean-Michel Géridan, où se sont engagés avec eux Mariina Bakic, Agnès Maupré, Jacques-Olivier-Ponce et Yves Troyard.
Ils éditent des livres (deux, à ce jour) et des multiples (Thomas Cimolaï, Shoboshobo, Jean-Louis Boissier, Vladimir Mavounia-Kouka, Jeremy Boulard le Fur, Ludovic Boulard le Fur).
Leur toute dernière publication est le catalogue de l’édition 2013 de la manifestation Une saison graphique. On m’a invité à y signer un texte sur Hervé Tullet.
Organisé par l’École supérieure d’art et de design Le Havre/Rouen, par l’espace d’art contemporain Le Portique, par la Bibliothèque Universitaire et par Graphisme au Havre, Une saison graphique en est à sa cinquième édition, et présentera du 13 mai au 29 juin les expositions Ahn Sang Soo, Helmo, Julian House, Damien Poulain, Hervé Tullet, Un Imprimeur et Lézard Graphique.
On peut suivre l’actualité de Franciscopolis sur Facebook et sur franciscopolis.com.
3 Responses to “Franciscopolis”
By Nicolas on Mai 8, 2013
Tiens ! J’ai justement lu le petit livre de Derrida récemment. Pas totalement convaincu par le contenu de la conférence. En revanche, j’ai bien aimé le clin d’œil du papier au numérique : le minutage de la conférence apparait au bas des pages, c’est très bien pour les gens qui lisent beaucoup en numérique et qui ont le réflexe de chercher de l’œil une barre de progression, même sur un livre imprimé.
By Jean-Michel on Mai 8, 2013
@Nicolas : Il faut dire qu’initialement le projet de retranscription qui nous avait été confié devait être destiné au support cd audio. Nous avions trouvé plus pertinent d’avoir un fichier audio numérique téléchargeable accompagné d’une retranscription et d’une post-face, importante complétant la thématique abordée. De fait, le clin d’œil de la pagination, de ce « livre augmenté » m’est apparu comme une évidence.
By Nicolas on Mai 8, 2013
Très bon choix le fichier téléchargeable, bien meilleur que le cd.
Le texte de Derrida, j’en reparlerai un de ces quatre sur mon petit blog je pense. Sa métaphore de l’aveuglement est intéressante mais c’est une vision très fantasmée du dessin. Je suis dans une phase où je lis pas mal de textes sur le dessin, un sujet passionnant mais très difficile à mettre en mots.