Flash

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Sebastien Tellier Look

Air – Sing sang sung

Et un autre clip de Air, Don’t be light :
http://www.youtube.com/watch?v=ysk_dQ39ctE
Mais aussi une animation typographique pour le clip de Philippe Catherine, Excuse moi :
http://www.youtube.com/watch?v=9Mus_Xw7dDg
Et cette autre animation :
http://www.youtube.com/watch?v=Ww8s9I1Zuu0

Plus d’informations et des photos de certaines de leurs œuvres et de leurs expositions qui portent toutes des titres de James Bond : http://www.airdeparis.com/jfp.html

Et je vous apporterais par ailleurs un livre qui donne un très bon aperçu de leur travail : Trois fois rien, publié par les requins marteaux en 2006, qui est devenu un peu difficile à trouver. Le titre fait référence à un autre de leurs livres, Trois fois plus, publié en 2000.

(31/03/2010) Lire sur Arts des nouveaux médias : Mrzyk & Moriceau, le micro-récit en contexte pour mobile.

Un petit film interactif… http://www.dansedance.com/dansedance/play.html

Merci à Liliane Terrier

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Chalmers

http://web.student.chalmers.se/groups/idp09-7/flashgame/

Un jeu très astucieux, qui mélange le principe du taquin avec un jeu de plateau, réalisé sous flash par des étudiants de l’école polytechnique de Chalmers, en Suède. Le principe est très simple : le bonhomme doit accéder par la porte en prenant au préalable la clé. Mais le décor ne s’y prête pas toujours si simplement… Il faut alors le reconfigurer. On utilise la barre espace pour zoomer dans un des modules et les flèches servent alors à manipuler le personnage. Lorsqu’on clique à nouveau sur la barre espace, on revient sur l’ensemble de la scène et on peut alors déplacer les modules de sorte  à recomposer le décor.

(signalé par Fabien Delpiano, de Pastagames)

Après Canabalt, récemment mentionné ici-même, les jeux de Terry Cavanagh/DistractionWare reposent sur un principe volontaire de simplicité, teinté d’une bonne dose de nostalgie pour les jeux de l’époque des Sinclair ZX Spectrum et des consoles Atari 2600 : graphismes rudimentaires, gameplay simplissime et musique (faussement) « 8bits », associés à de discrets détails (sonores notamment) d’un grand raffinement. Le créateur de ces jeux n’est pourtant âgé que de 25 ans, c’est à dire qu’il se réfère à une époque à laquelle il n’était pas né, ou tout juste.

dontlookback

Le jeu comme Don’t look back (« ne regarde pas en arrière » – titre assez ironique pour un jeu qui relève du retro-gaming), reprend le mythe d’Orphée sous forme d’aventure interactive en installant une ambiance extrêmement forte et poétique par des moyens frustes et au service d’un sujet certes omniprésent dans le jeu vidéo mais rarement de manière réfléchie : la mort.
Lire en ligne : Don’t look back, par Astrid Girardeau (Écrans)

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