mars 2010

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Sonar

Sonar par Renaud Hallée sur Vimeo.

Animation flash sans programmation. Sélectionné pour les festivals d’Annecy, des sommets du cinéma d’animation de Montréal et du festival  des Films de la Relève (merci Julien pour la trouvaille).

Avis de concours : réaliser un court-métrage (<5mn) d’animation sur le thème « Happy Birthday Mr festival » pour fêter le cinquantenaire du festival d’animation d’Annecy. Date limite : 1er mai 2010.
Informations : http://www.youtube.com/annecyfestival?gl=FR&hl=fr

Nature by Numbers de Cristóbal Vila, sur Vimeo.
(trouvaille d’Isabelle Gruet)

Par ailleurs, Chris Dabin me signale Constructal Theory, par Adrian Bejan, un site extrèmement laid mais apparemment bourré de choses passionnantes sur le sujet de la géométrie dans la nature.

TVPaint est un bon outil d’animation bitmap, particulièrement adapté aux rendus traditionnels.

Je lui ai consacré un article sur mon blog, pas besoin de tout répéter ici.

Sebastien Tellier Look

Air – Sing sang sung

Et un autre clip de Air, Don’t be light :
http://www.youtube.com/watch?v=ysk_dQ39ctE
Mais aussi une animation typographique pour le clip de Philippe Catherine, Excuse moi :
http://www.youtube.com/watch?v=9Mus_Xw7dDg
Et cette autre animation :
http://www.youtube.com/watch?v=Ww8s9I1Zuu0

Plus d’informations et des photos de certaines de leurs œuvres et de leurs expositions qui portent toutes des titres de James Bond : http://www.airdeparis.com/jfp.html

Et je vous apporterais par ailleurs un livre qui donne un très bon aperçu de leur travail : Trois fois rien, publié par les requins marteaux en 2006, qui est devenu un peu difficile à trouver. Le titre fait référence à un autre de leurs livres, Trois fois plus, publié en 2000.

(31/03/2010) Lire sur Arts des nouveaux médias : Mrzyk & Moriceau, le micro-récit en contexte pour mobile.

Steve Jobs, qui refuse l’implémentation du player Flash sur iPhone, lui oppose le standard HTML5, qui a l’avantage d’avoir été développé en toute transparence par le consortium W3 et de ne réclamer aucun logiciel particulier. De plus, les sources des programmes réalisés en HTML5 sont directement accessibles, il est donc possible de se former en consultant le code d’autres développeurs.

Comme tous les standards des navigateurs, son défaut est d’être tributaire de la bonne volonté des éditeurs de navigateurs web : si Firefox ou Microsoft n’intègre pas une fonction HTML5, l’usage de celle-ci sera problématique. L’avantage d’environnements tels que le lecteur Flash ou la machine virtuelle Java est (en théorie) de protéger le développeur contre la diversité des implémentations du langage qu’il utilise.

Cette faiblesse est aussi une force : le développeur Flash est tributaire de seule la politique d’Adobe (qui peut décider subitement de reprendre son langage de programmation à zéro ou de ne plus assurer certaines rétro-compatiblités, par exemple), tandis que le développeur HTML5 peut suivre sans mauvaises surprises l’évolution du langage.
Autre différence : HTML5 n’a pas (encore ?) d’outil d’authoring associé, contrairement à Flash qui est aussi un outil d’animation puissant et agréable à manipuler (ce qui semble laisser assez froids les gens d’Adobe, non ?).

Reste que les exemples d’HTML 5 qui commencent à apparaître ici ou là laissent à penser que cet environnement de développement est puissant et rapide, les standards du web quittent l’ère du bricolage.
Quelques exemples pointés par Benoît sur son blog : http://jaiunblog.com/2573/html-5/

http://mrdoob.com/lab/javascript/harmony/

Un petit film interactif… http://www.dansedance.com/dansedance/play.html

Merci à Liliane Terrier

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